Takieddine demande à Sarkozy la levée du secret-défense
Au cours de cet entretien exclusif, Ziad Takieddine s'est directement adressé à Nicolas Sarkozy. "Arrêtez tout de suite, puisque vous êtes garant de la Constitution, levez le secret défense sur tous les contrats et notamment sur Agosta, et notamment sur Sawari II", a demandé l’homme d’affaires Franco-Libanais, faisant allusion aux ventes de sous-marins et de frégates au Pakistan et à l’Arabie Saoudite en 1994.
Considéré comme un homme-clef de l’affaire Karachi, Ziad Takieddine a été mis en examen le 14 septembre dernier pour des malversations présumées, sur fond de soupçons de financement illicite de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995.
Ziad Takieddine a lancé un ultimatum au chef de l’Etat : « il lui appartient de faire ça tout de suite, dans les 24 heures. C'est digne, il est digne, il le fera ".
En l'état, le président de la République n'a pas le pouvoir de lever le secret-défense. La décision appartient au ministère de l'Economie, concerné par l'enquête, et donc à François Baroin. Mais à condition que le juge le demande, et après l'avis d'une commission consultative.
Considéré comme un homme-clef de l’affaire Karachi, Ziad Takieddine a été mis en examen le 14 septembre dernier pour des malversations présumées, sur fond de soupçons de financement illicite de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995.
Ziad Takieddine a lancé un ultimatum au chef de l’Etat : « il lui appartient de faire ça tout de suite, dans les 24 heures. C'est digne, il est digne, il le fera ".
En l'état, le président de la République n'a pas le pouvoir de lever le secret-défense. La décision appartient au ministère de l'Economie, concerné par l'enquête, et donc à François Baroin. Mais à condition que le juge le demande, et après l'avis d'une commission consultative.
Considéré comme un homme-clef de l’affaire Karachi, Ziad Takieddine a été mis en examen le 14 septembre dernier pour des malversations présumées, sur fond de soupçons de financement illicite de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995.
Ziad Takieddine a lancé un ultimatum au chef de l’Etat : " Il lui appartient de faire ça tout de suite, dans les 24 heures. C'est digne, il est digne, il le fera ".
En l'état, le président de la République n'a pas le pouvoir de lever le secret-défense. La décision appartient au ministère de l'Economie, concerné par l'enquête, et donc à François Baroin. Mais à condition que le juge le demande, et après l'avis d'une commission consultative.