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Politique

Quand vie sexuelle rime avec opinion politique

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Un sondage Ifop paru ce vendredi montre que les personnes votant à droite et au centre ont une vie sexuelle « plus stable » et « moins intense » que les électeurs de gauche.

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Le sexe et la politique, plus proches qu'on le pense ? L'institut Ifop s'est penché pour le magazine HotVidéo sur la relation entre pratiques sexuelles et tendances politiques. Résultat : les électeurs de droite ont une vie sexuelle "plus stable" et "moins intense" que ceux de gauche.
Ainsi, les électeurs de Nicolas Sarkozy ont une moyenne de 6,7 rapports sexuels par mois, et ceux de François Bayrou 5,9 : soit un chiffre plus faible que pour les électeurs de gauche, qui en profitent 7,6 fois dans le mois. Les plus actifs se trouvent à l’extrême gauche et à l’extrême droite, avec respectivement 7,7 et 8 rapports mensuels.

L'insatisfaction plus forte chez les extrêmes

Non content d’avoir une vie sexuelle plus intense, les sympathisants de gauche déclarent aussi plus de partenaires : ils disent en avoir eu 9 dans leur vie, contre 7 pour les sympathisants de droite et 10 pour les électeurs d’extrême droite. Enfin le sentiment d’ « insatisfaction sexuelle » ne semble pas ancré à gauche ou à droite. Il serait surtout présent chez ceux qui votent pour des partis protestataires : 35% chez les électeurs de Mélenchon et 31% chez ceux de Marine Le Pen.

Fellation et échangisme, pratiques de gauche ?

C’est dans ces mêmes partis que la pratique de la sodomie est la plus élevée : 55% des électeurs d’extrême gauche ou d’extrême droite l’ont déjà pratiquée, contre 45% pour les « partis de gouvernement » et l’ensemble des Français.
La fellation en revanche semble plus généralisée à gauche : 81% des femmes disent l’avoir déjà pratiquée, contre 69% des femmes de droite et 73% pour l’ensemble d’entre elles. Les électeurs de gauche (6% et même 9% au Front de gauche) sont aussi plus nombreux à déclarer avoir vécu une « expérience échangiste » que ceux de droite (4%).

La Rédaction, avec AFP.