Moscovici : « On ne pourra pas cacher la vérité »
Dimanche 27 janvier, la Société Générale a étayé sa version de la fraude : « Rien ne permet de penser que Jérôme Kerviel a bénéficié de complicités tant internes qu'externes". La banque révèle également que le trader avait pris pour "environ 50 milliards d'euros de positions frauduleuses". Dès qu'elle l'a découvert le 20 janvier, elle a chargé un autre trader de vendre les positions de Jérôme Kerviel.
Sceptique, le député socialiste du Doubs, Pierre Moscovici, souhaite que le Parlement se penche sur cette affaire. « Il faut entendre la Banque centrale, le gouvernement, les responsables de la Société Générale… On ne pourra pas cacher la vérité », ajoute-t-il, confiant (voir extrait sonore ci-contre).