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Jacob veut un groupe UMP soudé derrière Sarkozy

Le nouveau président du groupe UMP de l'Assemblée, Christian Jacob, entend faire tous ses efforts pour aider Nicolas Sarkozy à mener à bien les réformes engagées jusqu'à la fin du quinquennat. /Photo prise le 24 novembre 2010/REUTERS/Jacky Naegelen

Le nouveau président du groupe UMP de l'Assemblée, Christian Jacob, entend faire tous ses efforts pour aider Nicolas Sarkozy à mener à bien les réformes engagées jusqu'à la fin du quinquennat. /Photo prise le 24 novembre 2010/REUTERS/Jacky Naegelen - -

PARIS (Reuters) - Le nouveau président du groupe UMP de l'Assemblée, Christian Jacob, entend faire tous ses efforts pour aider Nicolas Sarkozy à...

PARIS (Reuters) - Le nouveau président du groupe UMP de l'Assemblée, Christian Jacob, entend faire tous ses efforts pour aider Nicolas Sarkozy à mener à bien les réformes engagées jusqu'à la fin du quinquennat.

Christian Jacob a été élu mardi président du groupe UMP de l'Assemblée en remplacement de Jean-François Copé devenu la semaine dernière secrétaire général de l'UMP et simple député.

Il a annoncé mercredi, lors de son premier point de presse en tant que "patron" du groupe UMP, qu'il gardait à ses côtés les deux vice-présidents de Jean-François Copé, Jean Leonetti, candidat malheureux au poste de président, et le libéral Bernard Deflesselles (ex Démocratie Libérale, DL).

"Notre objectif c'est que le président de la République soit dans les meilleures conditions pour terminer les réformes engagées jusqu'à la fin du quinquennat et les nouvelles qu'il a pu annoncer", a déclaré le député de Seine-et-Marne.

Pour le nouveau président du groupe UMP de l'Assemblée, tout repose sur un "trépied" qui "s'articule autour d'un gouvernement resserré, rassemblé, d'un parti redynamisé et puis d'un groupe majoritaire complètement soudé autour du président de la République et du gouvernement".

Il a ajouté que "la marque de fabrique" du groupe sous la présidence de Jean-François Copé restait la même. "Celle du respect des diversités, de la liberté d'expression et de la coproduction législative", a-t-il souligné.

Emile Picy, édité par Yves Clarisse