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Gouvernement

Les ministres du gouvernement Castex félicitent Borne pour son arrivée à Matignon

Gérald Darmanin, Roselyne Bachelot ou encore Eric Dupond-Moretti ont félicité la nouvelle Première ministre Élisabeth Borne, tout en lui souhaitant une bonne réussite pour ses nouvelles fonctions.

Les messages de félicitations et les voeux de réussite se multiplient parmi les membres du gouvernement de Jean Castex.

Gérald Darmanin, Roselyne Bachelot, Eric Dupond-Moretti ou encore Marlène Schiappa y sont allés de leur mot pour célébrer la nomination d'Élisabeth Borne à Matignon ce lundi soir, alors que nombre d'entre eux ne feront certainement pas partie du nouveau gouvernement qui sera annoncé par l'ancienne ministre du Travail.

Selon toute vraisemblance, ce sera le cas de la ministre de la Culture Roselyne Bachelot, qui a souhaité " plein succès" à son ex-collègue dans "cette nouvelle et passionnante mission au service des Français".

Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a lui aussi félicité cette arrivée, souhaitant à la nouvelle locataire de Matignon "courage, réussite et force au service de notre pays".

"Femme d'action" et "jour historique pour l'égalité femmes-hommes"

Le Garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti a quant à lui adressé un mot à "une femme d'action, une femme d'État et désormais une Première ministre, qui saura relever les grands défis de notre pays au service de tous nos concitoyens.".

La ministre du Logement Emmanuelle Wargon a de son côté adressé à Élisabeth Borne "tous (s)es voeux de succès pour cette nouvelle responsabilité", alors que la ministre déléguée en charge de la Citoyenneté Marlène Schiappa a fait part de son "'immense joie" à l'annonce de cette nouvelle, saluant "les valeurs ancrées, les engagements forts et le grand sens de l’Etat" d'Élisabeh Borne.

Marlène Schiappa a également remercié le président de la République Emmanuel Macron, qui a selon elle permis un "jour historique pour l’égalité femmes-hommes" avec la nomination d'Élisabeh Borne, deuxième femme nommée à Matignon, trente-et-un ans après Édith Cresson.

Louis Augry