Valérie Trierweiler: "Première dame, je n'avais pas choisi de l'être!"
Valérie Trierweiler entend le rappeler: elle n'avait pas choisi d'être Première dame. Dans la préface du livre La glace à la vanille d'Alain Deloche, à paraître mardi, l'ancienne compagne de François Hollande explique que ce rôle lui a été imposé.
"Nous étions alors au début du quinquennat, et je m'interrogeais sur le sens de l'engagement qui devait être le mien. Première dame, je n'avais pas choisi de l'être!"
"Je l'étais devenue par la force de l'histoire, parce que j'étais la compagne du président nouvellement élu", écrit-elle en préface du livre du cofondateur de Médecins sans frontières et de Médecins du monde. Un ouvrage sur le combat de ce professeur émérite pour porter secours aux enfants malades abandonnés de tous.
"Aucun statut juridique"
Pour l'occasion, l'ancienne locataire de l'Elysée revient sur l'engagement humanitaire et social que représente cette fonction: "Or, même si aucun statut juridique ne définit le rôle d'une première dame, en revanche, la tradition, veut qu'elle se penche, sur le sort de ceux - et ils sont nombreux - qui lui écrivent, parce que désespérés de contaster que la société les laisse au bord du chemin", poursuit-elle.