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Élysée

Trierweiler ne "regrette rien" et tape sur Hollande et Royal

Si c'était à refaire, l'ancienne compagne de François Hollande réécrirait son livre Merci pour ce moment "mot pour mot", malgré les attaques dont elle a été victime, et juge que le chef de l'Etat et la ministre ont "le pouvoir comme obsession". 

Valérie Trierweiler égratigne à nouveau François Hollande mercredi dans les colonnes du Parisien. Mais, cette fois, elle associe directement le président de la République à son ancienne compagne, mère de ses enfants et membre du gouvernement, Ségolène Royal. Les deux, issus de la même promotion Voltaire à l'ENA, partagent selon Valérie Trierweiler "le pouvoir" comme "obsession commune".

"Le pouvoir est leur raison de vivre. (...) Je m'incline. Ils sont indissociables", juge-t-elle pour célébrer la sortie en poche de son livre Merci pour ce moment. Grâce à ce succès de librairie, l'ex-première dame va "comme 60% des Français devenir propriétaire de sa résidence principale".

"Pas de place pour une autre femme"

Quant à François Hollande et Ségolène Royal, "cela dépasse leurs enfants", précise-t-elle avant d'ajouter que "l'enjeu a longtemps été de savoir lequel des deux accéderait à l'Elysée. Il n'y avait pas de place pour une autre femme dans cette histoire. Maintenant, ils peuvent se retrouver et s'entraider", assure Valérie Trierweiler qui s'était faite remarquer dès l'arrivée de François Hollande à l'Elysée par un tweet de soutien à Olivier Falorni, concurrent PS de la ministre de l'Ecologie aux législatives de 2012.

Puis en écho aux photos faisant état de la relation de François Hollande avec l'actrice Julie Gayet:

"Ma liberté m'a été rendue assez... soudainement et brutalement. (...) C'est un témoignage sur le coeur et le fonctionnement du pouvoir", explique Valérie Trierweiler au Parisien.

Si c'était à refaire, Valérie Trierweiler assure aussi qu'elle "réécrirait" Merci pour ce moment "mot pour mot" malgré les "flèches" reçues de "ceux qui ne l'avaient pas lu". Ne ferait-elle rien différemment néanmoins? "Je ne pense pas que c'est à moi que devrait s'adresser cette question". Fermez le ban.

S.A.