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"Nous avons passé un moment fantastique" avec Macron, confie Trump après la visite de Macron aux États-Unis

Brigitte Macron, Melania Trump, Emmanuel Macron et Donald Trump au balcon de la Maison Blanche, à Washington

Brigitte Macron, Melania Trump, Emmanuel Macron et Donald Trump au balcon de la Maison Blanche, à Washington - Nicholas Kamm / AFP

Sur la chaîne américaine Fox News, le président américain n'a pas tari d'éloges à l'endroit du président français qu'il a qualifié de "mec merveilleux". Il a par ailleurs estimé qu'il était parvenu à le faire changer de position sur l'Iran.

Donald Trump fait le bilan. Après la visite d’État d’Emmanuel Macron à Washington, le président américain a, une fois encore, chanté les louanges de son homologue français.

Dans une interview téléphonique accordée ce jeudi à Fox News et repérée par le Huff Post, il a assuré que les "Français sont subjugués par ce qu’il s’est passé avec leur grand président, qui vient de partir". "Emmanuel est un mec merveilleux. […] Nous avons passé un moment fantastique", a-t-il ajouté.

Visiblement, Donald Trump ne semble pas avoir tenu rigueur à Emmanuel Macron de son discours offensif devant le Congrès. Le chef de l’État avait notamment critiqué les positions de son homologue sur le climat, l'immigration, le multilatéralisme et l’Iran.

"Je crois qu’il voit différemment l’Iran depuis qu’il est entré dans le bureau Ovale"

Après avoir encensé Emmanuel Macron, Donald Trump a indiqué que "le plus important, c’est que nous avons accompli de grandes choses, plus que n’importe qui peut le savoir". "Vous le verrez", a-t-il promis.

Interrogé sur les avancées permises par cette rencontre bilatérale, le président américain a estimé être parvenu à changer Emmanuel Macron de position sur le dossier sensible iranien:

"Je pense qu’il a vraiment… qu’il en est venu à reconnaître le… Vous savez, je ne peux pas le dire que de mon point de vue mais je crois qu’il voit différemment l’Iran depuis qu’il est entré dans le bureau Ovale. Et je pense que c’est important", a-t-il dit.

P.L