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Élysée

Macron en visite officielle aux Etats-Unis du 23 au 25 avril prochains

Emmanuel Macron et Donald Trump se reverront en avril.

Emmanuel Macron et Donald Trump se reverront en avril. - Ludovic MARIN / AFP

Ce lundi soir, l'Elysée a annoncé avoir accepté l'invitation de Donald Trump, pour un déplacement du 23 au 25 avril prochains. Emmanuel Macron sera ainsi le premier dirigeant étranger reçu dans le cadre d'une visite d'Etat par le président américain.

On savait depuis la fin du mois de janvier que Donald Trump avait lancé une invitation à se rendre sur le territoire américain à l'attention d'Emmanuel Macron. Ce lundi soir, on apprend que la date est à présent fixée. L'Elysée a ainsi indiqué dans un communiqué que le "Président de la République a accepté l'invitation du Président Trump à Washington du 23 au 25 avril". Il s'agira, comme le texte élyséen ne manque pas de le rappeler, de la première visite d'Etat d'un dirigeant étranger aux Etats-Unis depuis l'élection de Donald Trump. 

Un possible passage par La Nouvelle-Orléans 

"Cette invitation reflète la profondeur des liens historiques entre nos deux pays, amis et alliés et la force des relations entre les deux Présidents", avance encore le bulletin. Le programme du déplacement, encore en cours d'élaboration, n'est pas complètement connu mais le communiqué souligne que le voyage comprendra notamment "une réunion de travail à la Maison blanche, une conférence de presse conjointe, plusieurs cérémonies protocolaires et un dîner d'Etat".

La présidence des Etats-Unis a précisé qu'Emmanuel Macron serait reçu à la Maison blanche le 24 avril. Des sources diplomatiques, citées par l'AFP, avancent que le chef de l'Etat français pourrait se rendre à La Nouvelle-Orléans durant ce déplacement car la ville fête son tricentenaire. En 1718,elle avait été fondée par un Français, alors gouverneur de la Louisiane au nom du roi de France, Jean-Baptiste Le Moyne de Bienville. Il avait choisi de baptiser la nouvelle cité en hommage au régent du royaume à l'époque, le duc Philippe d'Orléans. 

R.V. avec AFP