Élections européennes
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L'essentiel de l'actu: Le Pen cherche des alliés, les chiffres du chômage attendus

Marine Le Pen se rend à Bruxelles, les chiffres du chômage d'avril sont attendus et les Bleus enflamment le Stade de France.

Marine Le Pen se rend à Bruxelles, les chiffres du chômage d'avril sont attendus et les Bleus enflamment le Stade de France. - -

Pour assurer à la machine à café dès votre arrivée au bureau, BFMTV.com a sélectionné les infos dont vous allez entendre parler ce mercredi 28 mai.

> A Bruxelles, Marine Le Pen cherche des alliés

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Marine Le Pen se rend ce mercredi à Bruxelles pour y rencontrer ses alliés. Forte de 24 eurodéputés, la présidente du FN espère pouvoir constituer un groupe autour de son parti, devenu dimanche la première force europhobe au Parlement européen. Mais si elle peut compter sur le PVV néerlandais, la Ligue du Nord italienne, le Vlaams Belang belge et le FPÖ autrichien, les Britannique du Ukip, forts de 23 sièges, ont jusqu'à présent refusé toute alliance avec le FN, qu'ils jugent antisémite.

> Chômage, les chiffres de la peur

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A peine trois jours après le "séisme" des élections européennes qui a vu le FN l'emporter et la gauche balayée, les chiffres du chômage du mois d'avril sont attendus avec fébrilité par l'exécutif ce mercredi. Après la quasi-stabilisation du mois de mars, une rechute serait en effet un nouveau coup dur. A l'inverse, une baisse du nombre de demandeurs d'emploi pourrait donner un nouveau souffle à François Hollande et à son gouvernement.

> Les Bleus passent une belle soirée

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De quoi se rassurer à deux semaine de leur départ pour le Brésil. Pour le premier de leurs trois matches de préparation avant la Coupe du Monde, les Bleus ont facilement battu la Norvège, mardi soir au Stade de France, par 4 buts à 0. En inscrivant un doublé (50e et 70e), dont une superbe volée dans la lucarne, Olivier Giroud a notamment fait oublier l'absence de Karim Benzema. Paul Pogba (16e) et Loïc Rémy (67e) sont les deux autres heureux buteurs de la rencontre.

> Copé démissionne mais affirme son "honnêteté"

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L'affaire Bygmalion aura eu raison de Jean-François Copé. Le président de l'UMP, contesté depuis son élection par toute une frange de son parti, a annoncé mardi qu'il en quitterait la tête le 15 juin. Un triumvirat composé d'Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et François Fillon doit remplacer la direction démissionnaire jusqu'au prochain congrès du parti, fixé au 12 juin.

Invité au 20 Heures de TF1 mardi soir, Jean-François Copé a néanmoins demandé aux Français de "ne pas douter de son intégrité" et clamé que "des collaborateurs avaient abusé de [sa] confiance" dans ce scandale de fausses factures qui ébranle l'UMP depuis lundi.

M. T. avec Y. D.