D-Day: Sarkozy, la tribune et la petite vengeance de Hollande
> D Day: Sarkozy et la petite vengeance de Hollande
Il avait mis un peu trop de temps à confirmer sa présence aux commémorations du Débarquement. Nicolas Sarkozy sera finalement bien là, mais Hollande lui a réservé une petite vengeance en modifiant son placement en tribune. Selon nos informations, Nicolas Sarkozy devait initialement être avec Valéry Giscard d'Estaing, derrière François Hollande. Il sera finalement au loin sur la droite, dans un autre bloc, avec le gouvernement et les anciennes personnalités politiques françaises, entre Valéry Giscard d'Estaing et Edith Cresson. Une façon, en outre, de ne pas l'avoir dans l'axe de la caméra sur François Hollande...
> "Closer" et le feuilleton Gayet-Hollande
Six unes en cinq mois. Depuis le 10 janvier dernier et les révélations sur la relation suposée entre François Hollande et l'actrice Julie Gayet, le magazine Closer s'offre sa sixième une consacré aux rumeurs sur le "couple" (là, sous les pixels). Les deux protagonistes de ce feuilleton médiatique seraient désormais "bien plus prudent", explique Closer qui affirme qu'ils se retrouveraient dans un "appartement ami situé sur les quais parisiens", "les dimanches". Selon le magazine, Julie Gayet se serait fait surprendre une fois lors "d'une de ses récentes visites au Président" par un membre du personnel de l'Elysée.
Pour rappel, en janvier dernier, Closer avait écoulé plus de 610.000 exemplaires de son numéro révélant cette liaison présumée, soit près du double de la diffusion habituelle de l'hebdomadaire. Sur les quatre premières couvertures du magazine consacrées à cette affaire, la diffusion a augmenté en moyenne de 58% selon des chiffres fournis par Closer en février dernier.
> Rebsamen corrige Cambadélis et Arthur
Jeudi matin, le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, s'était opposé au projet du ministre du Travail, François Rebsamen, sur les seuils sociaux, fustigeant "des expériences approximatives". Le soir même, François Rebsamen lui a répondu sur le plateau du Grand Journal (Canal +).
"Il est dans son rôle mais il ne connaît pas bien le dossier, a asséné le ministre. (...) Ce que j'ai dit et ce que je redis, ce n'est pas que j'allais suspendre personnellement les droits sociaux, je connais le droit du travail quand même. Je saisirai par un document d'orientation les partenaires sociaux pour qu'ils en débattent."
Décidément très en verve, François Rebsamen a également commenté à sa manière de l'exil fiscal d'Arthur. "Cela ne va pas faire un vide culturel pour la France", a ironisé François Rebsamen, préférant que l'on s'intéresse plutôt aux exilés fiscaux "qui rentrent en France".
Le Grand Journal du 05/06/14 - Part 2 Avec François Rebsamen