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7 JOURS BFM - Merah un an après, Toulouse toujours traumatisée

Dida, un habitant du quartier du Miral, témoigne sur Mohamed Merah – février 2013.

Dida, un habitant du quartier du Miral, témoigne sur Mohamed Merah – février 2013. - -

Les cicatrices laissées par les meurtres perpétrés par le "tueur à scooter", comme on l’a surnommé, ont du mal à se refermer dans la ville rose.

Il y a un an, Mohamed Merah voulait "mettre la France à genoux". Le 11 mars prochain, la France commémorera la mémoire des sept victimes de la folie meurtrière d’un jeune délinquant passé à l'extrémisme islamiste et dont les crimes ont nourri une parole radicale et antisémite. BFMTV est allée à la rencontre des habitants de Toulouse d’où tout est parti et où le corps de Mohamed Merah est enterré.

Dans l’école juive où étaient scolarisés les trois enfants assassinés par Mohamed Merah,les parents d’élèves vivent désormais dans l’inquiétude.

Dans les quartiers où le meurtrier a vécu, ceux qui l’ont connu ont toujours du mal à croire que le Mohammed qu’ils fréquentaient soit devenu un terroriste.

Depuis les communautés juives et musulmanes tentent de se rapprocher et de dialoguer pour éviter qu’un autre drame ne se reproduise.

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