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Police-Justice

24 chiens asphyxiés et un pilote miraculé: la semaine des faits divers

Un chien dans un refuge SPA à Gennevilliers en 2007

Un chien dans un refuge SPA à Gennevilliers en 2007 - -

BFMTV.com revient pour vous sur les faits divers marquants des sept derniers jours. Cette semaine, un bon samaritain se fait poignarder à Paris, une mère part en week-end en laissant ses enfants et un homme poignarde à mort sa fille de 4 ans.

Si vous avez manqué l'actualité des faits divers cette semaine, BFMTV.com vous permet de vous mettre à la page en un coup d'oeil.

Agression. Un chauffeur de poids lourd portait secours à une passante molestée par deux hommes, jeudi après-midi à Paris, quand il a été poignardé à six reprises. Il a pu être hospitalisé en urgence et est rentré chez lui le lendemain. Un appel à témoins a été lancé pour retrouver ses agresseurs.

Pause. Âgée d'une trentaine d'années, une mère est partie en week-end pendant quatre jours avec un ami pour "faire une pause", laissant ses deux enfants de 9 et 12 ans seuls à son domicile, à Périgueux. Avec l'argent laissé à leur intention, ils se sont nourris de "pizzas et de kebabs".

Drame familial. Un homme de 27 ans, retranché dans la maison de son ancienne compagne, au Kremlin-Bicêtre, a poignardé au moins quatre fois sa fille de quatre ans vendredi 9 mai. L'enfant, blessée au thorax et au bras, est décédée dans la matinée à l'hôpital Necker de Paris.

Asphyxie. 24 des 38 chiens de la SPA transportés le 23 avril de Tarbes vers Paris à la demande des pouvoirs publics sont morts asphyxiés en cours de route, a-t-on appris cette semaine.

Chanceux. Un Mirage 2000 de l'Armée de l'air, qui effectuait un vol d'entraînement et n'était pas armé, s'est écrasé lundi dans un champ de Meurthe-et-Moselle) sans faire de victimes. Le pilote est parvenu à s'éjecter et est sorti indemne de l'accident. Il s'agirait d'un "incident technique".

Chevaline, suite. L'ex-suspect de la tuerie de Chevaline, qui a perdu son emploi à la suite de son interpellation, a annoncé qu'il allait écrire au président François Hollande pour lui demander des "explications". "Je suis deux fois victime dans cette affaire. Je voudrais savoir si le président de la République trouve cette situation normale", a-t-il expliqué.

A. D.