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Robert Kennedy Junior veut bousculer la campagne présidentielle

Robert Kennedy Junior veut bousculer la campagne présidentielle

Robert Kennedy Junior veut bousculer la campagne présidentielle

19:52

Une majorité d'Américains ne veulent pas d'une revanche entre Biden et Trump comme duel pour prochaine élection présidentielle. C'est pourtant bien ce qui les attend, puisque les deux candidats ont obtenu la majorité absolue des délégués de leur parti respectif. Les regards se tournent désormais vers d'autres noms qui pourraient émerger et perturber la rivalité traditionnelle entre républicains et démocrates. Parmi ces prétendants: Robert Kennedy Junior, le neveu de John Fitzgerald Kennedy, est crédité de 10% d'intentions de vote dans les sondages. Il espère jouer les trouble-fête de cette campagne présidentielle.

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La contestation populaire en faveur des Palestiniens de Gaza a trouvé un nouveau souffle quand, le 17 avril dernier, des étudiants de l'université Columbia à New-York ont installé un campement à l'intérieur de leur campus. Jour après jour, le mouvement protestataire a pris de l'ampleur aux Etats-Unis, jusqu'à contraindre le président Biden à réagir. Et cette colère des jeunes étudiants américains, un phénomène déjà observé au siècle dernier, risque bien de s'inviter dans la campagne présidentielle, jusqu'au 5 novembre, l'Election Day.
Dans un livre à paraître, Kristi Noem, gouverneure du Dakota du Sud, raconte avoir tué un de ses chiens de chasse de sang froid, il y a plusieurs années. L'anecdote n'aurait pas suscité une telle polémique si Kristi Noem ne figurait pas parmi les favoris pour le poste de vice-président aux côtés de Donald Trump, pour la prochaine élection présidentielle. L'issue de cette course annexe est donc plus que jamais incertaine.
L'ancien président américain et candidat à l'élection présidentielle de novembre, Donald Trump, n'y aura pas échappé. Hier à New York, un premier procès au pénal contre lui s'est ouvert, dans l'affaire dite "Stormy Daniels". Un procès historique car jamais un ancien président américain n'a été jugé par un tribunal pénal aux États-Unis.
Jeudi 28 mars dernier, les 42e, 44e et 46e présidents des États-Unis étaient réunis dans une même salle de New York: Joe Biden s'est entouré de Bill Clinton et Barack Obama pour un dîner de campagne et une levée de fonds record, avec 26 millions de dollars récoltés. Mais la présence de Clinton, et surtout celle d'Obama, aux côtés de Biden, n'est pas seulement utile pour financer la campagne du président candidat à sa réélection. Barack Obama sera un atout précieux pour Joe Biden dans les mois à venir.
La justice de New York a allégé ce lundi la pression financière sur Donald Trump en ramenant à 175 millions de dollars sa caution dans une procédure civile, procédure dans laquelle l'ancien président américain fait appel après avoir été condamné pour fraude fiscale. Le magnat de l'immobilier et candidat républicain à l'élection présidentielle de novembre, s'est félicité de la décision de la cour d'appel de New York sur sa caution, qui lui évite d'avoir à faire face à la saisie de ses propriétés immobilières, symboles affirmés de sa réussite personnelle.
Dans la course à la Maison Blanche, les deux candidats sont désormais connus. Joe Biden côté démocrate, et Donald Trump côté républicain. Une compétition qui verra s'affronter les deux candidats les plus âgés de l'histoire américaine, et sur laquelle planera le spectre de la justice américaine, Donald Trump étant visé par quatre inculpations au pénal. Si un candidat venait à se désister volontairement ou à y être contraint, que se passerait-il ? Les partis politiques et la constitution des États-Unis ont tout prévu.
L'attaque du 7 octobre et les représailles d'Israël contre le Hamas à Gaza ont contraint les Etats-Unis à se positionner en faveur d'Israël, même si le président américain a récemment opéré un changement de ton, avec un discours plus critique à l'égard de la politique guerrière de Benjamin Netanyahu. Sans pour autant appeler à un cessez-le-feu total. Entre la volonté de soutenir son allié historique, et la nécessité d'apaiser la colère citoyenne aux Etats-Unis face au terrible bilan humain dans ce conflit, Joe Biden est contraint à une diplomatie d'équilibriste, dont le risque principal est de s'aliéner de nombreux jeunes électeurs traditionnellement démocrates dans les urnes en novembre prochain.
Samedi, Donald Trump a remporté la primaire républicaine de Caroline du sud avec 60% des suffrages, contre 40% pour son adversaire, Nikki Haley. Une défaite humiliante pour l'ancienne gourverneure de cet Etat du sud-est des Etats-Unis, qui jouait donc à domicile. Pour autant, Nikki Haley a une nouvelle fois refusé de jeter l'éponge et mise sur une mise hors jeu pendant la campagne de l'ancien président américain. Jusqu'à présent, rien ne semble pouvoir empêcher Donald Trump d'obtenir l'investiture du Parti républicain. Ce qui ne lui garantira pas pour autant une victoire en novembre prochain face à Joe Biden.
C'est un procès qui sera historique: aucun ancien président américain n'a jamais été jugé au pénal. Malgré des tentatives incessantes pour obtenir le report des nombreux procès contre lui, Donald Trump sera jugé à partir du 25 mars à Manhattan, dans l'Etat de New-York, pour des paiments suspects lors de la campagne présidentielle de 2016. La date du début de ce procès, qui durera 6 semaines, a été définitivement fixée la semaine dernière par un juge.
Visé par un rapport le décrivant comme un homme âgé à la mauvaise mémoire, incapable de se souvenir de la date de la mort de son fils aîné, Joe Biden a choisi de contre-attaquer. Au lieu d'éteindre la polémique, le président, âgé de 81 ans, l'a relancée en assurant dans un premier temps être en bonne santé, et en gaffant juste après. L'inquiétude des Américains est indéniable, mais le camp démocrate fait, pour l'instant, front uni derrière le président.
Le droit à l'avortement sera l'un des axes majeurs de Joe Biden pour battre son rival républicain le 5 novembre prochain. Et ce rival sera, sauf surprise, Donald Trump. En juin dernier, la Cour Suprême des Etats-Unis a annulé l'arrêt dit Roe v. Wade qui légalisait depuis une cinquantaine d'années l'avortement dans le pays. Et Donald Trump, qui a nommé lors de son précédent mandat 3 des juges de la Cour Suprême, s'est attribué la paternité de la décision. Les démocrates, Joe Biden en tête, ont donc lancé la semaine dernière une grande campagne pour convaincre les Américains du danger représenté par Donald Trump.
Donald Trump a remporté la primaire républicaine du New Hampshire, asseyant un peu plus son emprise sur le parti républicain. Mais sa seule et unique rivale, Nikki Haley, a fait mieux que ce que prévoyaient les sondages, en ne perdant que d'une dizaine de points. Avez ce résultat, elle se targue de pouvoir se maintenir dans la course à l'investiture républicaine. La compétition continue, même si une victoire finale de Haley s'apparente à une mission impossible.
Donald Trump a remporté lundi soir dans l'Iowa la première des primaires républicaines, une victoire écrasante. Le milliardaire de 77 ans, quatre fois inculpé au pénal, a obtenu 51% des voix. Et laisse derrière lui, à quelques 20%, ses principaux rivaux Ron DeSantis et Nikki Haley. Donald Trump y voit un triomphe et se projette déjà comme le candidat déclaré des Républicains. Mais ses deux adversaires n'ont pas encore dit leur dernier mot.
La justice américaine peut-elle barrer la route de la Maison Blanche à Donald Trump ? Une décision dans l’Etat du Colorado constitue un sérieux avertissement pour l’ancien président républicain. La Cour Suprême de l'Etat a estimé mi-décembre que Donald Trump était inéligible à la primaire du Colorado pour avoir pris part à une "insurrection" dans le cadre de l'assaut du Capitole par ses partisans le 6 janvier 2021.
L'élection présidentielle américaine est radicalement différente de son équivalent français. Son système de primaires et de caucus et son caractère indirect notamment, font qu'il est parfois difficile de comprendre ce prossus électoral scruté dans le monde entier. Et ce d'autant plus en 2024, avec une configuration inédite qui pourrait mener à un nouveau duel entre Joe Biden et Donald Trump. Ce mode d'emploi doit donc permettre de saisir les grands moments à suivre cette année.
En difficulté dans les sondages en cas de duel face à Donald Trump en 2024, Joe Biden pourrait compter sur une alliée de poids: la chanteuse Taylor Swift. La star américaine, forte de ses quelques 400 millions d'abonnés sur les réseaux sociaux, pourrait, si elle venait à soutenir le président démocrate, faire pencher le résultat de l'élection du côté de Joe Biden.
Les républicains veulent retrouver la présidence des Etats-Unis. En convainquant les électeurs avec un programme politique, mais pas seulement. Depuis plusieurs mois, les attaques contre Hunter Biden, le fils du président, se sont intensifiées. Le passé trouble d'Hunter Biden en fait la cible idéale pour atteindre son père, et destabliser le président des Etats-Unis dans la campagne pour sa réelection.
Dans la course à l'investiture républicaine pour l'élection présidentielle américaine de novembre 2024, cinq candidats sont encore en lice. Parmi eux, l'ancien président Donald Trump domine les sondages. Pourtant, une outsider crée la surprise. Nikki Haley, l'ancienne gouverneure de Caroline du Sud, s'impose progressivement comme la principale alternative à Trump. Arrivera-t-elle pour autant à le détrôner de la candidature?