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Case départ, dans les coulisses de la première comédie française sur l'esclavage

Case départ, dans les coulisses de la première comédie française sur l'esclavage

Case départ, dans les coulisses de la première comédie française sur l'esclavage

24:10

Le 6 juillet 2011, Fabrice Éboué, Thomas Ngijol et Lionel Steketee sortent leur premier film, la comédie Case Départ. Un film couronné de succès qui raconte une page sombre de l'Histoire avec humour. L’histoire de deux Noirs qui retournent dans le passé, en pleine période esclavagiste en Guadeloupe. Jérôme Lachasse raconte les coulisses de cette comédie politique.

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Dans les années 1990, Etienne Chatiliez est le roi du box-office avec "La Vie est un long fleuve tranquille", "Tatie Danielle", "Le Bonheur est dans le pré" et "Tanguy". En 2004, il chute pour la première fois de son piédestal avec "La Confiance règne", l'histoire tragicomique d'un couple d'arnaqueurs à la petite semaine, avec Vincent Lindon et Cécile de France. Vingt ans après, il revient sur ce flop qui l'a marqué à jamais.
En 1998, trente-huit ans après le succès de "Borsalino", Belmondo et Delon reforment leur duo légendaire pour la comédie d'action "Une chance sur deux". Sous la direction de Patrice Leconte, ils tournent les dernières cascades de leur carrière. Complices et heureux d'être là, les deux stars vieilissantes se chamaillent avec humour sur le tournage. Des anecdotes que Patrice Leconte nous raconte avec gourmandise.
Après le succès colossal de "Brice de Nice", le réalisateur James Huth met en scène Jean-Baptiste Maunier, la star des "Choristes", dans un teen movie d'horreur sur un portable tueur d'ados. Une parabole sur le paraître et la pression du groupe doublée d'une réflexion sur l'emprise de la technologie. James Huth nous raconte les coulisses de cet échec commercial devenu un film culte.
"Les Aventures de Philibert, capitaine puceau", pastiche des films de cape et d'épée, avait tout pour devenir un succès au bo-office. Une partie de l'équipe de "OSS 117" et de "Brice de Nice" à l'écriture et à la production, un réalisateur qui a fait ses armes dans l'émission "Groland". Et pourtant le projet enchaîne les mésaventures jusqu'à la sortie. Rejété par le public et la presse à l'époque, il a su gagner au fil des années son statut de film culte.
Sorti en décembre 1992, "La Crise" de Coline Serreau n'a pas pris une ride. La réalisatrice de "Trois hommes et un couffin" y dénonce les maux de la société, du racisme à la montée de l'extrême-droite, en passant par la déliquescence de la gauche et la malbouffe, tout en mettant en avant les combats féministes et écologistes. Coline Serreau nous raconte la genèse de cette comédie feel good saluée par un César.
La Beuze est une comédie délirante sur les aventures d'Alphonse Brown, autoproclamé roi du Frunkp et fils caché de James Brown. Après avoir découvert de la marijuana très puissante cultivée par des nazis, il est pourchassé par de dangereux dealers... Alphonse Brown est désormais indissociable de Michaël Youn, mais le trublion de M6 ne l'a pas créé. C’est le rappeur Tefa, le producteur de Diam's, et les scénaristes Philippe de Chauveron et Guy Laurent, les co-créateurs de la trilogie Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?, qui en sont les créateurs. On replonge avec Jérôme Lachasse dans cette histoire stupéfiante.
Il y a quarante ans, un jeune réalisateur de 22 ans, Paul Boujenah, tentait l’impossible : adapter sur grand écran Gaston Lagaffe. Avec un bémol : si Franquin soutient le projet, il refuse que le nom de ses personnages soit utilisés. Malgré un certain succès à l’époque, le film a depuis disparu. Il ne reste plus que quelques images sur Google et une version pirate du film sur YouTube. Plus personne ne parle de ce film. Personne n’en connaît l’histoire. Alors qu’une nouvelle BD de Gaston s’apprête à sortir en librairie, on replonge dans cette histoire avec Jérôme Lachasse.
De toutes les adaptations de BD possibles, c’était le projet le plus complexe à mener. Personnage aux mille visages, et aux mille créateurs, Spirou n’a pas d’identité propre : l’adapter au cinéma, c’est forcément trahir la vision qu’en ont ses fans. Car chacun à sa vision du personnage, qui correspond à l’âge où on l’a découvert. Voici l'histoire de l'impossible adaptation cinématographique de Spirou et Fantasio, racontée par Jérôme Lachasse.