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Stéphane Plaza bouleversé par l’agression de la directrice d’une de ses agences

Le réseau d'agences de Stéphane Plaza se développe très rapidement

Le réseau d'agences de Stéphane Plaza se développe très rapidement - AFP

La victime avait été enlevée, séquestrée et violée par un faux client après lui avoir fait visiter une maison.

Un mois après les faits, Stéphane Plaza est revenu sur l’agression subie par la directrice de son agence immobilière d’Auxerre, survenue le 1er mars dernier. Le célèbre animateur et agent immobilier, qui avait déjà fait part de son soutien à la victime, s’est exprimé ce jeudi dans les colonnes de Femme Actuelle. Il s’est dit “très touché" et affirme avoir des nouvelles de la directrice, Manuella, “tous les jours”.

"J'essaie de la soutenir comme je peux, a-t-il confié au magazine. Évidemment, dès que je rentre quelque part, j'ai une pensée pour elle tout le temps. [...] Même d’en parler j’ai beaucoup de mal, mais j’essaie de lui apporter mon soutien et tout le groupe essaie de lui apporter son soutien. [... ]Je ne peux pas en dire plus hélas parce que là, ça va me peiner fort", a-t-il conclu.

Stéphane Plaza a affirmé avoir reçu des messages de soutien à destination de la directrice de son agence de la part d’autres groupes immobiliers, tels que Century 21 ou Orpi. "Ils m'ont appelé, m'ont laissé des messages pour elle (...) j'ai transféré parce que ça touche tout l'immobilier, et c'est très compliqué, parce que ça ne devrait pas exister", a-t-il déploré.

Le suspect mis en examen

La directrice de l’agence avait été enlevée par un faux client après lui avoir fait visiter une maison sur la commune de Venoy, dans l’Yonne. Elle avait ensuite été séquestrée et violée par son agresseur, qui l’avait relâchée le lendemain matin à Blois, à plus de 200 kilomètres de son domicile. 

Le suspect, arrêté quelques jours plus tard en possession d’un pistolet d’alarme chargé, a nié toute violence physique à l’encontre de la victime. Déjà condamné à plusieurs reprises pour des faits de viol, enlèvement ou séquestration, ou violences aggravées, l'homme de 50 ans a depuis été mis en examen pour "enlèvement ou séquestration pour préparer ou faciliter la commission d'un crime ou délit, et viol, sous la menace d'une arme”, avait annoncé la procureure de la République d'Auxerre, Sophie Macquart-Moulin, dans un communiqué.

Juliette Mitoyen