Sex Education: le sexe pour les nuls de retour avec une saison 2

Les adolescents du lycée de Moordale reviennent en pleine forme dans la saison 2 de cette série britannique, disponible ce vendredi sur Netflix.

Les lycéens hardis de Sex Education sont de retour. Netflix dévoile ce vendredi la saison 2 de la série britannique, un an après le succès de la première. Et cette nouvelle salve semble avoir tout ce qu'il faut pour ravir les fans des premiers épisodes.

Comme le révélait la première bande-annonce, Otis se retrouve une nouvelle fois dans une posture embarrassante à cause de sa mère, sexologue volubile interprétée par Gillian Anderson. Lui-même est constamment sollicité par ses camarades lycéens, qui lui réclament ses conseils de sexologue amateur. Il poursuit sa relation avec Ola tandis que Maeve, la bad-girl débrouillarde qu'il convoite, cherche à réintégrer le lycée.

Cette série centrée sur les adolescents et leur rapport au sexe suit également les parcours de nombreux personnages secondaires, mettant les profils atypiques à l'honneur. Cette saison 2 compte par ailleurs sur l'arrivée d'un nouvel élève, Rahim (interprété par le Français Sami Outalbali, vu dans Mortel) qui va faire chavirer les filles comme les garçons.

La critique enthousiaste

La saison 1 avait charmé les critiques et les spectateurs, grâce à son ton irrévérencieux, son humour décapant et son approche réaliste des angoisses sexuelles des adolescents. Autant d'éléments que l'on retrouve dans la saison 2: The Independent loue une série qui rend "même son contenu le plus explicite doux et charmant". Le Telegraph salue un programme qui "parle ouvertement de sujets tels que le consentement, la masturbation et les maladies sexuellement transmissibles". Teen Vogue estime que cette saison 2 "pousse plus haut la barre" placée par la saison 1.

Et l'histoire ne devrait pas s'arrêter là; si Netflix n'a pas (encore) annoncé de saison 3, la créatrice de la série Laurie Nunn a déclaré à LADBible qu'elle planche déjà sur le scénario d'une troisième salve.

Benjamin Pierret