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Musique

Johnny Hallyday, musicien français le mieux payé de 2012

Johnny Halliday, en 2012

Johnny Halliday, en 2012 - -

Selon le classement annuel établi par le magazine "Challenges", l'ex-yéyé a empoché pas moins de 7,6 millions d'euros cette année.

L'idole des jeunes (et des moins jeunes) se porte bien. En 2012, Johnny Hallyday a été le musicien français le mieux payé, selon le classement annuel établi par le magazine Challenges à partir de leurs activités musicale en France. Avec 7,6 millions d'euros, il devance largement David Guetta et Mylène Farmer, deuxième et troisième du classement.

A croire que ses déboires de santé, hernies discales et complications ne sont que de mauvais souvenirs. En 2012, Johnny "a bouclé un marathon d’une quarantaine de concerts dont trois au Stade de France, attirant 650.000 spectateurs", note Challenges. Et son nouvel album "L'attente" s'est écoulé à près de 380.000 exemplaires en moins de deux mois.

Selon Challenges, le producteur de sa tournée Gilbert Coullier lui aurait versé "une avance de 2,5 millions d’euros pour une nouvelle série de concerts en 2013".

Guetta et Farmer distancés

Une vitalité telle que David Guetta, deuxième du classement, n'a pas réussi à empocher la moitié de ses gains. Le DJ empoche 3,1 millions d'euros grâce notamment à ses concerts et prestations dans des discothèques et ses 200.000 ventes d'albums.

Première femme du classement, Mylène Farmer se hisse sur la troisième marche du podium grâce au succès de son album "Monkey Me", écoulé à 400.000 exemplaires en un mois. Ses revenus pour 2012 atteignent 3 millions d'euros. Suivent le juré de "The Voice" Florent Pagny (1,4 million d'euros), Patrick Bruel (1,4 million), Nolwenn Leroy (1,3 million) et M Pokora (1,2 million).

Challenges a établi ce palmarès en collaboration avec Weave, cabinet de conseil en stratégie opérationnelle. Le classement porte sur les revenus 2012 des chanteurs français vivants, générés par leur activité musicale sur le territoire national, hors revenus connexes (contrats cinématographiques, publications, prises de participation dans des sociétés, cachets télévisuels…), avances et droits.

M. T. avec AFP