"J'ai pas d'ennemis, c'est eux qui m'aiment pas": Aya Nakamura dévoile "Doggy", son single inachevé

La chanteuse a publié ce jeudi 28 mars sur Instagram le clip d'un single qui avait fuité il y a quelques années sur les réseaux sociaux.

Le tube de l'été? Au centre des discussions et des polémiques depuis plusieurs jours en raison de sa potentielle participation à la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques, Aya Nakamura a décidé de répondre en musique. L'artiste française la plus écoutée dans le monde a dévoilé un nouveau single, Doggy, disponible sur toutes les plateformes depuis minuit ce vendredi 29 mars.

L'annonce de cette sortie a été faite tard ce jeudi sur ses réseaux sociaux, avec la publication sur Instagram d'une story et d'un compte à rebours. Sur ce même compte, un clip vertical a également été publié et liké plus de 70.000 fois en quelques heures seulement.

Présente lors de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris?

Nouveau single? Doggy avait déjà été entendu plusieurs fois depuis 2019 sur les réseaux sociaux, en particulier sur TikTok. Depuis cinq ans, une version inachevée circule après avoir visiblement "fuité".

Jusqu'à ce vendredi, la chanson n'avait jamais été officiellement diffusée en intégralité sur les comptes d'Aya Nakamura.

Le nom de la chanteuse a été évoqué ces dernières semaines afin qu'elle chante le répertoire d'Edith Piaf lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques. Une hypothèse qui a déclenché un torrent de commentaires racistes de la part de l'extrême droite.

Sur TikTok mi-mars, le délégué interministériel à la jeunesse fait un carton en reprenant en playback Doggy . "ON VEUT TOUS AYA AUX JO 2024", écrivait Mathieu Maucourt en légende d'une vidéo vue 14 millions de fois.

Dans cette chanson au rythme entraînant, on entend notamment Aya Nakamura chanter "J’ai pas d'ennemis moi, c’est eux qui m'aiment pas, un tas d'ennemis mais j’les connais même pas".

"Pas besoin d'me valider, j'fais la une des magazines", lance aussi la chanteuse, extrêmement populaire en France et autour du globe.

Ariel Guez