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Jean-Luc Azoulay défend Dorothée après les propos d'Antoine de Caunes

Jean-Luc Azoulay et Antoine de Caunes

Jean-Luc Azoulay et Antoine de Caunes - Joel Saget - AFP

Antoine de Caunes a déclaré que Dorothée a "abandonné" sa mère Jacqueline Joubert en rejoignant TF1. Jean-Luc Azoulay, qui produisait l'émission de la Une, offre une autre version.

Il y a quelques jours, Antoine de Caunes expliquait pourquoi il en avait toujours voulu à Dorothée. Selon lui, l'animatrice avait abandonné sa mère à lui, la productrice Jacqueline Joubert, en quittant France 2 pour monter le Club Dorothée sur TF1. Jean-Luc Azoulay, qui produisait l'émission de la Une, répond ce mercredi sur Twitter. 

Le producteur d'Hélène et les garçons et des Mystères de l'amour publie une chanson des Musclés datée de 1992, diffusée dans le Club Dorothée. À l'époque, Antoine de Caunes se moquait souvent de l'animatrice dans ses sketches pour Nulle part ailleurs. Les Musclés lui avaient répondu avec ce titre, intitulé Antoine Daicône; une marionnette à l'effigie de l'acteur apparaît dans la vidéo. "Cher Antoine, comme Julio Iglesias, tu n'as pas changé...", écrit Jean-Luc Azoulay. 

"Une femme extraordinaire"

Dans un second tweet, Jean-Luc Azoulay offre une version différente du départ de Dorothée pour TF1: "La mère d'Antoine de Caunes, Jacqueline Joubert, était une femme extraordinaire. Elle devait faire partie avec nous de l'aventure TF1 mais a décidé au dernier moment de ne pas nous suivre. Cela n'enlève en rien l'admiration et la reconnaissance que Dorothée et moi lui portons", explique-t-il.

C'est dans Midi Libre qu'Antoine de Caunes a expliqué la brouille qui l'oppose à l'animatrice depuis des décennies: 

"J’en voulais surtout à Dorothée parce qu’elle s’était mal conduite avec ma mère qui l’avait formée, mise à l’antenne et avait créé Récré A2, qui prenait en compte l’intelligence des mômes, avec le Téléchat, Cabu", a-t-il déclaré. "Cédant aux sirènes de TF1, Dorothée l’a lâchement abandonnée en route, et je lui en voulais beaucoup pour ça. Mes têtes de turc n’étaient jamais complètement gratuites."
Benjamin Pierret