Halloween: privée de sa traditionnelle fête, Heidi Klum a tourné un film d'horreur à domicile

L'animatrice et top model a diffusé sur Instagram un court-métrage d'épouvante, dans lequel jouent ses enfants et son mari, Tom Kaulitz.

Heidi Klum est incontestablement la reine d'Halloween. Chaque année, le top model sort le grand jeu et se transforme des pieds à la tête, optant généralement pour un costume qui la rend parfaitement méconnaissable. Elle est aussi connue pour organiser la fête d'Halloween la plus prisée, où est invitée une ribambelle de célébrités.

La pandémie de coronavirus a évidemment bouleversé les plans de l'animatrice télé et mannequin. Mais hors de question pour elle d'annuler Halloween. Heidi Kum a ainsi tourné un mini-film d'horreur à domicile, mettant à contribution ses quatre enfants et son mari Tom Kaulitz. Une oeuvre qu'elle a diffusé sur son compte Instagram.

"Halloween est différent cette année, mais cela ne doit pas nous empêcher d'être créatifs à la maison! Prenez soin de vous, soyez effrayants, et passez du temps avec votre famille!", a-t-elle indiqué en description.

"Faire circuler la créativité"

"Cette année, à cause du confinement partout dans le monde, pas de fêtes d'Halloween ni de chasse aux bonbons. Je savais que je voulais faire un projet amusant à domicile avec ma famille, alors j’ai eu l’idée de tourner un court-métrage d’horreur dans lequel nous pourrions tous jouer", a-t-elle raconté au site américain People.

"C’était une façon tellement amusante de faire participer toute ma famille, et mes enfants ont vraiment apprécié le processus. Même s’ils sont déjà venus me voir sur des plateaux de tournage à de nombreuses reprises, ils n’ont jamais été devant la caméra comme ici, à avoir à apprendre un texte et à suivre la création de costumes et de maquillage pour un court-métrage", a poursuivi Heidi Klum.

"C'est très important de s'amuser avec l'art et de faire circuler la créativité", a-t-elle affirmé. "J’aime divertir les gens et les faire rire, les surprendre, les choquer ou les effrayer".

Nawal Bonnefoy