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Le roi des belges nomme de nouveaux médiateurs

Le roi Albert II à la sortie du Palais royal de Laeken, à Bruxelles. Le roi des Belges a accepté la démission d'Elio di Rupo, chef de file des socialistes wallons, qui avait été chargé de former un gouvernement et a confié aux présidents de la chambre des

Le roi Albert II à la sortie du Palais royal de Laeken, à Bruxelles. Le roi des Belges a accepté la démission d'Elio di Rupo, chef de file des socialistes wallons, qui avait été chargé de former un gouvernement et a confié aux présidents de la chambre des - -

BRUXELLES (Reuters) - Le roi des Belges Albert II a accepté la démission d'Elio di Rupo, chef de file des socialistes wallons, qui avait été chargé...

BRUXELLES (Reuters) - Le roi des Belges Albert II a accepté la démission d'Elio di Rupo, chef de file des socialistes wallons, qui avait été chargé de former un gouvernement et a confié aux présidents de la chambre des Représentants et du Sénat une nouvelle mission de médiation, a annoncé samedi le palais royal dans un communiqué.

Les négociations avaient déjà été sur le point d'échouer à plusieurs reprises au mois d'août, mais Albert II avait remis le chef du parti socialiste wallon en selle à chaque fois.

Di Rupo avait été chargé le 9 juillet dernier d'engager des consultations pour tenter de former une coalition gouvernementale après une première mission confiée au séparatiste flamand Bart de Wever.

La Belgique attend un nouveau gouvernement depuis les élections législatives, qui ont eu lieu il y a trois mois.

La répartition des pouvoirs au sein des régions, la réforme de l'arrondissement électoral BHV (Bruxelles-Hal-Vilvoorde) et le financement de Bruxelles continuent de diviser partis flamands et partis wallons.

Jan Strupczewski, Julien Toyer et Pascal Liétout pour le service français