Grèce : confusion après la réunion pour former une coalition
Mais à l'issue de la première réunion du jour, les trois principaux partis faisaient des déclarations contradictoires.
Celle-ci a abouti à "une impasse", a déclaré à la sortie le leader socialiste du Pasok, Evangelos Vénizélos, qui a dit avoir encore toutefois "un optimisme limité", avec l'espoir d'un éventuel accord avec le petit parti de gauche pro-européen Dimar.
De son côté, le leader conservateur de la Nouvelle Démocratie, Antonis Samaras, a assuré que Syriza avait à nouveau refusé de participer à, et même de simplement soutenir, un gouvernement de coalition, même si celui-ci s'engageait à "renégocier" l'accord avec les créanciers du pays, UE et FMI, qui ont exigé une sévère cure d'austérité.