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Dmitri Medvedev rassure la Russie sur le sort de son chat

Le président russe, Dmitri Medvedev, a tenu mercredi à rassurer les Russes sur le sort de son chat Dorofeï, après des rumeurs de disparition qui ont suscité de multiples échanges amusés sur Twitter. /Photo d'archives/REUTERS/Sergei Karpukhin

Le président russe, Dmitri Medvedev, a tenu mercredi à rassurer les Russes sur le sort de son chat Dorofeï, après des rumeurs de disparition qui ont suscité de multiples échanges amusés sur Twitter. /Photo d'archives/REUTERS/Sergei Karpukhin - -

MOSCOU (Reuters) - Le président russe, Dmitri Medvedev, a tenu mercredi à rassurer les Russes sur le sort de son chat Dorofeï, après des rumeurs de...

MOSCOU (Reuters) - Le président russe, Dmitri Medvedev, a tenu mercredi à rassurer les Russes sur le sort de son chat Dorofeï, après des rumeurs de disparition qui ont suscité de multiples échanges amusés sur Twitter.

"A propos du chat. Une source proche de #Dorofei dit qu'il ne s'est nullement égaré. Merci à tous pour avoir fait part de votre inquiétude !", a écrit Medvedev sur Twitter au cours d'un voyage en Asie.

Le propre compte Twitter du matou, récemment ouvert, a actuellement près de 400 abonnés. Les bruits sur la disparition de Dorofeï ont inspiré les passionnés du tweet qui se sont rués avec humour sur ce fait divers insolite.

"C'est tout simple. Je me suis tiré de chez Medvedev parce qu'il voulait me donner à Vladimir Poutine. Aidez-moi à me planquer !", pouvait-on lire sur @KotDorofey.

Vladimir Poutine, qui a largement remporté au début du mois l'élection présidentielle, prendra ses fonctions au mois de mai et l'actuel chef de l'Etat devrait devenir son Premier ministre.

Les rumeurs sur une escapade de Dorofeï se sont répandues après un article du tabloïd Sobesednik, qui affirmait que le félin, un magnifique "neva mascarade" au pelage gris clair et aux yeux bleus, acheté environ 1.000 dollars en 2003, avait disparu et que d'actives recherches étaient en cours autour de la résidence présidentielle de Gorki, près de Moscou.

"Cours, #Dorofei, cours ! C'est maintenant ou jamais !", conseillait un tweet d'un plaisantin probablement inquiet de voir le magnifique chat confié à la garde du "tsar Vladimir".

Alissa de Carbonnel, Guy Kerivel pour le service français, édité par Gilles Trequesser