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Mediapart attaqué par Nicolas Sarkozy: "Il ne faut pas le croire", répond Edwy Plenel

Mediapart attaqué par Nicolas Sarkozy: "Il ne faut pas le croire", répond Edwy Plenel

Ce jeudi soir, sur le plateau de TF1, Nicolas Sarkozy, mis en examen dans l'affaire du financement présumé de sa campagne présidentielle de 2007, a clamé son innocence et remis en cause le travail journalistique de Mediapart, les accusant d'avoir appuyé leurs articles sur un faux. Edwy Plenel, fondateur de Mediapart, lui a répondu dans la soirée: "Il ne faut pas croire Nicolas Sarkozy. Qu’il aille s’expliquer devant les juges, qu’il arrête de s’en prendre à un journal indépendant qui n’a fait que son métier".

La garde à vue de Sarkozy choisie "pour ce qu'elle représente d'incriminant?", s'interroge Dupond-Moretti

La garde à vue de Sarkozy choisie "pour ce qu'elle représente d'incriminant?", s'interroge Dupond-Moretti

Invité de Ruth Elkrief ce jeudi sur BFMTV, Eric Dupond-Moretti a exprimé son étonnement sur le choix de la garde à vue de Nicolas Sarkozy dans l'affaires des soupçons de financement libyens pour la présidentielle de 2007. L'avocat pénaliste se demande pourquoi l'ancien chef de l'Etat n'a pas été entendu comme un témoin. "N'aurait-on pas choisi la garde à vue pour ce qu'elle représente dans l'opinion publique d'incriminant ", s'interroge le ténor du barreau. "C'est les mots 'garde à vue' qui sont signifiants dans l'opinion publique", a-t-il insisté. 

Dupond-Moretti trouve "stupéfiant" que la garde à vue de Sarkozy ait été interrompue la nuit

Dupond-Moretti trouve "stupéfiant" que la garde à vue de Sarkozy ait été interrompue la nuit

Le ténor du barreau Eric Dupond-Moretti a réagi ce jeudi sur BFMTV à la garde à vue de Nicolas Sarkozy qui a conduit à sa mise en examen dans l'enquête sur des soupçons de financement de sa campagne présidentielle de 2007 par la Libye de Mouammar Kadhafi. "Ce qui est assez stupéfiant, c'est que c'est une garde à vue interrompue pendant la nuit", s'est étonné l'avocat pénaliste ajoutant "en 35 ans d'exercice professionnelle, je n'ai jamais vu". L'homme de loi se demande alors pourquoi l'ancien président n'a pas étendu comme un témoin comme Brice Hortefeux cité dans la même affaire. 

Alain Juppé fait "confiance à Nicolas Sarkozy pour apporter les preuves de son innocence"

Alain Juppé fait "confiance à Nicolas Sarkozy pour apporter les preuves de son innocence"

Le maire de Bordeaux Alain Juppé a réagi ce jeudi à la mise en examen de Nicolas Sarkozy ce mercredi dans l'enquête sur des soupçons de financement de sa campagne présidentielle de 2007 par la Libye de Mouammar Kadhafi. "Je me suis fixé pour règle de ne pas commenter les procédures judiciaires", a-t-il déclaré évoquant le principe de présomption d'innocence. "Tant qu'on n'est pas condamné, on est considéré comme innocent et je fais confiance à Nicolas Sarkozy pour apporter les preuves de son innocence", a-t-il assuré. 

Nicolas Sarkozy mis en examen: que signifient les chefs d'inculpation

Nicolas Sarkozy mis en examen: que signifient les chefs d'inculpation

Nicolas Sarkozy, qui nie les faits qui lui sont reprochés, a été mis en examen ce mercredi pour "corruption passive", "financement illégal de campagne électorale" et "recel de fonds publics libyens" et placé sous contrôle judiciaire. Cette mise en examen a lieu à la suite de l'enquête sur des soupçons de financement libyen de sa campagne électorale de 2007. Evelyne Sire-Marin, magistrate et vice-présidente du TGI de Paris, est revenue sur BFMTV sur la signification des chefs d'inculpation. Le plus lourd est la corruption passive, "c'est le fait d'avoir reçu des fonds de quelqu'un qui cherche à vous corrompre pour en retirer un avantage quelconque". Le recel de fonds publics libyens signifie "que les juges d'instruction considèrent qu'à un titre ou à un autre […] que Nicolas a détenu illégalement des fonds" de la Libye.

Soupçons de financement libyen: Nicolas Sarkozy mis en examen et placé sous contrôle judiciaire

Soupçons de financement libyen: Nicolas Sarkozy mis en examen et placé sous contrôle judiciaire

Après la fin de sa garde à vue dans l'enquête sur des soupçons de financement de sa campagne présidentielle de 2007 par la Libye de Mouammar Kadhafi, Nicolas Sarkozy a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire ce mercredi en milieu de soirée. L'ancien président de la République est mis en examen pour corruption passive, financement illicite de campagne électorale et recel de détournement de fonds publics libyens. Il nie les faits qui lui sont reprochés. Ce dossier est instruit par des magistrats du pôle financier depuis près de cinq ans. Depuis la publication en mai 2012 par le site "Mediapart" d'un document libyen accréditant un financement d'environ 50 millions d'euros, pour permettre notamment à la Libye de sortir de son isolement diplomatique, les investigations ont considérablement avancé. 

Campagne de 2007: des membres de l'équipe de Sarkozy auraient reçu des primes en espèces... mais d'où venaient ces sommes ?

Campagne de 2007: des membres de l'équipe de Sarkozy auraient reçu des primes en espèces... mais d'où venaient ces sommes ?

La garde à vue de l'ancien chef de l'Etat Nicolas Sarkozy a repris mercredi matin, après une interruption dans la nuit, dans l'enquête sur des soupçons de financement de sa campagne présidentielle de 2007 par la Libye de Mouammar Kadhafi. Des témoignages de membres de l'équipe de campagne de Nicolas Sarkozy affirment avoir reçu des primes en espèce. Aujourd'hui, certains se demandent d'où provenaient ces fonds.

Focus Première: Nicolas Sarkozy, la garde à vue reprend

Focus Première: Nicolas Sarkozy, la garde à vue reprend

Nicolas Sarkozy est entendu pour la deuxième journée consécutive par les policiers de l'Office anticorruption à Nanterre, au sujet des soupçons de financement libyen de sa campagne en 2007. Quelle pourrait être l'issue de cette garde à vue ? Quels sont les nouveaux éléments qui ont accéléré l'enquête ? - On en parle avec: Alexandra Gonzalez, journaliste au service Police-Justice de BFMTV. Et Laurent Neumann, éditorialiste politique de BFMTV. - Focus Première, du mercredi 21 mars 2018, sur BFMTV. Focus première est le lieu de débat et d'approfondissement de "Première Edition": chaque jour en direct, invités et experts répondent à la question du jour sur le plateau de Christophe Delay et Adeline François. BFMTV, 1ère chaîne d'information en continu de France, vous propose toute l’info en temps réel avec 18h d’antenne live par jour et plus de 1000 duplex par mois. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.

Takieddine et Djouhri: qui sont les hommes de l’ombre de l’affaire Sarkozy-Kadhafi

Takieddine et Djouhri: qui sont les hommes de l’ombre de l’affaire Sarkozy-Kadhafi

Au coeur de l'enquête du financement libyen, deux hommes: Ziad Takieddine, multimilliardaire né au Liban, et Alexandre Djouhri, un homme d’affaires issu d'une famille modeste de banlieue parisienne. Tous deux sont des intermédiaires. À l’époque, Takieddine aide l'industrie de l'armement à faire des affaires avec la France, et développe un puissant réseau dans les pays arabes. Djouhri, quant à lui, est plus actif en Afrique, où il sert les intérêts des entreprises et de la diplomatie françaises. Mais si Takieddine a reconnu les faits en 2013, admettant avoir reçu 5 millions d’euros en liquide, Djouhri nie toujours avoir mis en place des montages financiers pour faire passer l'argent libyen en France.

Ce qu'il faut savoir sur les soupçons de financement libyen de la campagne de Sarkozy en 2007

Ce qu'il faut savoir sur les soupçons de financement libyen de la campagne de Sarkozy en 2007

Nicolas Sarkozy est placé en garde à vue depuis ce mardi matin pour s’expliquer sur les soupçons de financement libyen de sa campagne en 2007. Depuis les révélations de "Mediapart" en mai 2012, Abdallah Senoussi, l'ancien directeur du renseignement militaire du régime Kadhafi ou encore l’homme d’affaires franco-libanais Ziad Takieddine, ont affirmé que plusieurs millions d’euros avaient été remis à Claude Guéant pour financer la campagne de Nicolas Sarkozy. Des accusations toujours réfutées par l’ancien chef de l’Etat.

Quand Mouammar Kadhafi assurait avoir "aidé Sarkozy à prendre le pouvoir"

Quand Mouammar Kadhafi assurait avoir "aidé Sarkozy à prendre le pouvoir"

La campagne présidentielle victorieuse de Nicolas Sarkozy en 2007 a-t-elle profité de financements libyens? L'ex-chef de l'Etat a été placé en garde à vue ce mardi, pour la première fois dans ce dossier sur lequel les juges enquêtent depuis cinq ans. Dans un document, le colonel Mouammar Kadhafi assurait l'avoir aidé. "C'est moi qui ai aidé Sarkozy à prendre le pouvoir. Je lui ai donné de l'argent avant qu'il ne devienne président", a-t-il déclaré. "Il est venu ici, il m'a rendu visite dans ma tente quand il était ministre de l'Intérieur et m'a demandé de l'aide", a-t-il ajouté.

Quand Mouammar Kadhafi était reçu à l’Elysée par Nicolas Sarkozy

Quand Mouammar Kadhafi était reçu à l’Elysée par Nicolas Sarkozy

Mouammar Kadhafi s’était rendu à Paris en visite d’état en décembre 2007. Le leader libyen avait rencontré Nicolas Sarkozy, président de la République, ainsi que le président de l’Assemblée nationale. Kadhafi avait étonné en arrivant en limousine. Il avait aussi planté une tente bédouine dans les jardins de l’hôtel Marigny, une dépendance de l’Elysée. Cette visite avait été critiquée notamment par de nombreux députés.

Soupçons de financement libyen: plusieurs sources affirment que de l’argent liquide a été remis aux équipes de Nicolas Sarkozy

Soupçons de financement libyen: plusieurs sources affirment que de l’argent liquide a été remis aux équipes de Nicolas Sarkozy

Nicolas Sarkozy a été placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur le financement de la campagne présidentielle de 2007. L’ancien président est entendu pour la première fois. Plusieurs sources affirment que de l’argent liquide a été transporté entre Tripoli et Paris et remis aux équipes de Nicolas Sarkozy. La garde à vue peut durer jusqu’à 48h. À son terme, l’ancien président pourrait être mis en examen.

Esclavage en Libye: sommet d'urgence

Esclavage en Libye: sommet d'urgence

En marge de sa visite en Côte d'Ivoire, Emmanuel Macron a participé ce mercredi au 5ème Sommet Union africaine/Union européenne, un rendez-vous qui réunit à Abidjan 83 chefs d'État et de gouvernement. Pendant deux jours, les discussions porteront principalement sur les questions de sécurité et d'immigration. Dans la foulée, l'Élysée a annoncé la tenue d'une réunion d'urgence dès ce soir sur l'esclavage en Libye. "C'est une initiative visant à lancer des actions concrètes militaires et policières sur le terrain pour remonter ces filières", a il expliqué le président de la République sur RFI et France 24. - On en parle avec: Bruno Jeudy, éditorialiste politique de BFMTV. Pierre Tavares, philosophe, conférencier, spécialiste de l'Afrique. Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV. Et Ulysse Gosset, éditorialiste politique étrangère de BFMTV. - News & Compagnie, du mercredi 29 novembre 2017, présenté par Nathalie Levy, sur BFMTV.