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Un partenaire de confiance dans la transformation digitale des entreprises

[CONTENU PARTENAIRE] Fondé par Jean-Louis Bouchard, le groupe franco-belge Econocom s’est d’abord spécialisé dans la distribution de produits informatiques. Aujourd’hui, il accompagne les entreprises dans leur transformation numérique. Samira Draoua, directrice générale d’Econocom France, nous en dit plus sur les enjeux de son secteur.

Pouvez-vous décrire l’activité d’Econocom ?

Nous œuvrons autour de trois métiers principaux :

● L’achat/revente de matériel informatique (reconditionné et neuf), la toute première activité d’Econocom ;

● Le leasing, c’est-à-dire la location et la mise à disposition de matériel informatique ;

● Les services autour de ces actifs.

Pourquoi vous décrivez-vous comme un acteur du numérique responsable ?

Cette notion d’acteur du numérique responsable se retrouve dans nos métiers et dans la genèse de ces métiers. Econocom a commencé son activité par des métiers de reconditionnement de matériel informatique. Notre ADN porte ainsi une notion de durabilité. D’ailleurs à l’époque, l’achat/revente ne se faisait pas par un souci d’économie circulaire, mais par la rareté des matériels. Il y a 50 ans, les utilisateurs se tournaient vers le reconditionné, car on pouvait attendre une machine IBM neuve pendant très longtemps !

Comment le groupe Econocom a-t-il tenu face à la pandémie ?

Tout s’est bien passé pendant ces trois années de Covid, même si ça a été sportif pour nos clients. Le Groupe Econocom a pu garder la tête hors de l’eau grâce à ses trois métiers, qui ont trouvé beaucoup de sens pendant la période Covid. Nous avons pu maintenir l’activité d’hôpitaux et d’écoles en intervenant sur place, notamment grâce au service numérique.

Notre accompagnement a aussi été précieux pour les entreprises et les grandes administrations françaises : elles n’étaient pas préparées à l’arrivée du télétravail. Les équipes d’Econocom se sont donc démultipliées pour répondre aux besoins de nos clients.

L’une de vos ambitions est de réduire l’empreinte carbone du numérique. Comment ?

80 % de l’empreinte carbone du numérique provient de la fabrication de l’asset. En tant qu’Econocom, nous ne fabriquons pas de matériel : nous l’achetons, nous le vendons, nous le maintenons, et nous le reconditionnons. Nous pouvons agir à notre échelle sur les 20 % restants, c’est-à-dire sur la durabilité et l’usage de ces assets.

Econocom participe à la réduction de cette empreinte carbone en donnant aux équipements une deuxième vie, voire une troisième vie. Nous accompagnons aussi nos clients par des offres extrêmement impactantes, pragmatiques et faciles, pour les aider à mesurer et réduire leur empreinte carbone.

Depuis sa création, Econocom repose sur une notion de culture entrepreneuriale. Comment vous y êtes-vous adaptée ?

Comme pour toute culture d’entreprise, c’est une fois sur le terrain, et en s’y heurtant, que l’on comprend cette culture entrepreneuriale. Je me définirais presque comme une évadée des grands groupes français et internationaux, dans lesquels il existe des carcans. La rencontre avec Econocom a été particulière, car j’y ai trouvé un espace d’expression et d’action.

Cette entreprise permet à tous les collaborateurs de prendre une initiative et de la mener jusqu’au bout. Econocom peut par exemple les accompagner très simplement, des prémices d’un projet à la création d’une entreprise. Nous avons ainsi participé à la création d’une joint venture avec un groupe du CAC 40.

Ce contenu a été réalisé avec SCRIBEO. La rédaction de BFMBUSINESS n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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