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Aifi donne les clés pour faire du business en Italie

[CONTENU PARTENAIRE] Les relations commerciales entre la France et l’Italie sont plus fortes que jamais. Pour guider les entreprises et entrepreneurs qui souhaitent travailler entre ces deux pays, Sara Gallinari a créé Aifi, un cabinet de conseil avec une offre à 360 degrés.

Comment votre parcours vous a-t-il mené à la création d’Aifi ?

Je suis arrivée en France en 2007, suite à une mobilité professionnelle. Je me suis rendu compte que les écarts de codes professionnels de communication et de management entre la France et l’Italie sont très sous-estimés. Malgré une formation, il m’a fallu six mois d’adaptation, et de nombreuses erreurs. Cela m’est resté en tête, et j’ai connu d’autres italiens qui avaient rencontré ces mêmes contraintes.

Après des questionnements professionnels, j’ai repris mes études pour obtenir un diplôme en management interculturel à Paris Dauphine. J’ai commencé à travailler comme formatrice dans le domaine interculturel, avec une spécialisation sur la France et l’Italie. Progressivement, j’ai élargi la palette de mes services. Aifi est désormais un petit cabinet de spécialistes dans les relations franco-italiennes qui offre des services à 360 degrés, entièrement clés en main.

Quels sont les services proposés par Aifi ?

Nous avons trois formules : Squadra, qui s’adresse aux entreprises qui ont besoin de faire travailler ensemble des équipes franco-italiennes ; Impresa, qui est consacré aux entrepreneurs qui veulent ouvrir un marché ou investir en Italie ou en France ; enfin Trédunion, pour accompagner les expatriés dans leurs démarches d’installation.

Notre raison d’être est de créer un pont entre les deux pays et d’accompagner nos clients avec un interlocuteur unique et un service all inclusive.

Quels sont les enjeux qui se présentent dans les relations franco-italiennes ?

En France, la communication passe beaucoup par l’écrit et par niveaux hiérarchiques. En Italie, si la personne ne vous connaît pas ou n’occupe pas la même position, elle ne répondra peut-être même pas. Il est souvent plus efficace d’aller sur place et se faire présenter. Les personnes travailleront avec vous en confiance si elles vous perçoivent comme « l’un des leurs ». Il faut donc prendre le temps de discuter pour pouvoir instaurer une relation de travail.

Pour les expatriés, arriver en Italie peut être déstabilisant. On n’y parle pas forcément français, plutôt anglais ou italien, les villes sont structurées différemment : plus petites, avec une notion différente de centre et de banlieues. Sans parler des démarches administratives ! En plus, il y a des différences entre régions, car elles régissent beaucoup de compétences comme l’école ou la santé, qui en France sont gérées par l’État.

C’est un marché qui se développe ?

La France est le premier investisseur européen en Italie et l’Italie est également un investisseur important en France. Pour des raisons historiques et culturelles, les échanges commerciaux entre les deux pays ont toujours été très riches. C’est destiné à continuer avec la ratification récente du traité du Quirinal, un accord bilatéral entre la France et l’Italie.

Vous avez prévu d’organiser un évènement pour les entreprises souhaitant commercer avec l’Italie ?

J’organise une à deux fois par an des journées de rencontre dédiées aux entreprises qui souhaitent mieux comprendre comment travailler avec les Italiens. Courant 2024, nous allons organiser un nouvel évènement sur la thématique « faire du business en Italie ». Ce sera aussi un moment privilégié entre clients pour networker, s’informer sur les dernières nouvelles en termes de relations franco-italiennes et échanger sur les meilleures pratiques.

Ce contenu a été réalisé avec SCRIBEO. La rédaction de BFMBUSINESS n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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