L’entreprise James, prescriptrice de la décarbonation en Normandie avec EDF

Dans un contexte marqué par les variations du prix des énergies et l’objectif d’une neutralité carbone à l’horizon 2050, une démarche responsable et collective s’impose aux entreprises : la décarbonation. L’une des missions du groupe EDF est de leur faciliter cette transition. La société James, fabricant de lamellé-collé et constructeur de bâtiments, a justement été accompagnée par le fournisseur d’énergie pour mettre en place ce projet.

La décarbonation est une initiative ambitieuse et complexe qui définit “toutes les démarches visant à réduire l’empreinte carbone d’une activité” et s’adresse aux entreprises. Mais comment mettre en place concrètement un tel projet ? Par où commencer ? Quelles sont les étapes ? Comment suivre et mesurer l’efficacité de ces actions ? Des questions que s’est naturellement posées le charpentier bâtisseur James qui a récemment entamé ce processus. Pour y répondre, l’entreprise française est accompagnée par le groupe EDF depuis “2022, lors du renouvellement de notre contrat.”

James, un projet de décarbonation ciblé

Pour l’artisan implanté dans la baie du Mont Saint-Michel, “le respect de l’environnement a toujours été au cœur de nos préoccupations. Par exemple, nous chauffons notre usine avec nos excédents de copeaux”, explique Olivier Rats, directeur général de James. Sur le site normand de 5 hectares dont 13 000 m2 sont couverts, les équipes ont toujours été sensibilisées aux écogestes : les lumières des bâtiments sont éteintes chaque soir. Si depuis 2000, l’entreprise investit “dans l’automatisation, la robotisation et les commandes numériques” pour répondre aux besoins de sa clientèle, elle poursuit ses efforts et franchit un nouveau cap en 2022, en entamant sa démarche de décarbonation. Le spécialiste de la construction de bâtiments agricoles, équestres, industriels et commerciaux a “souhaité utiliser davantage d’énergie décarbonée ainsi que réduire notre facture énergétique”, précise toujours le directeur général.

Conseillé et accompagné par le groupe EDF, James a d’abord réalisé un “relamping”, c’est-à-dire le remplacement du système d’éclairage original par une technologie LED. Un dispositif moins énergivore et plus durable combiné à une optimisation de “nos processus industriels en changeant notamment d’anciens moteurs.” En 2023, elle a ensuite déployé une solution d’autoconsommation solaire qui “devrait couvrir 30 % des besoins”. Pour ce projet, la société s’est fournie en panneaux photovoltaïques auprès de EDF ENR, filiale du groupe EDF qui a par ailleurs géré l’installation et la maintenance. Les résultats sont clairs : “Nous avons déjà réduit notre facture d’éclairage de 80 000 à 10 000 euros par an”, confirme Olivier Rats. Dans la région, James est “devenu un prescripteur local, ce qui nous a permis de déployer ces solutions de transition énergétique chez des industriels, dans des centres équestres ou des exploitations agricoles”, se réjouit Christophe Mura, chef de projets chez EDF. “C’est une responsabilité que nous avons envers les générations futures que de développer des activités industrielles propres”, vient conclure le directeur général de James.

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Ce contenu a été réalisé en partenariat avec EDF. La rédaction de BFM Business n’a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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