Hynamics, de l'hydrogène bas carbone pour l'industrie et la mobilité

Filiale du groupe EDF, Hynamics produit et commercialise de l’hydrogène bas carbone et renouvelable pour les secteurs de l’industrie et de la mobilité.

Selon un rapport réalisé par McKinsey, la consommation d’hydrogène représentera 18 % de la demande en énergie finale dans le monde en 2050. Sachant que l’hydrogène est actuellement produit à 90 % à partir d’énergie fossile, les conséquences de telles perspectives constitueraient un véritable désastre sur le plan environnemental. C’est en partant de ce constat que le groupe EDF a décidé, en 2019, de créer Hynamics, une nouvelle filiale en charge de proposer une offre d’hydrogène bas carbone et/ou renouvelable et destinée aux deux secteurs les plus émetteurs de CO2 en France : l’industrie et la mobilité. C’est par l’électrolyse de l’eau, une technologie non émettrice de gaz à effet de serre lorsque l’électricité utilisée dans le processus est bas carbone ou renouvelable, que la filiale d’EDF produit son hydrogène.

Hynamics présent sur l’ensemble de la chaîne de valeur

Actif sur l’ensemble du marché européen et notamment en France, au Royaume-Uni et en Allemagne, Hynamics a pour mission première d’accompagner les industriels et les territoires en soutenant leurs projets de décarbonation. Ainsi, Hynamics est présent sur l’ensemble de la vie du projet, du développement jusqu’à la maintenance, en passant par la construction des ouvrages. « Nous sommes exploitants mainteneurs, cela implique d’avoir la capacité à superviser les actifs de production partout dans le monde et de pouvoir déployer des équipes sur place afin d’effectuer des maintenances préventives ou correctives » précise Christelle Rouillé, directrice générale de la filiale.

Facteur clé de la transition écologique, la production d’hydrogène sans émission de CO2 représente un vecteur d’avenir, capable de répondre à la décarbonation de l’industrie et de l’économie de façon générale. Si l’ambition d’Hynamics est de continuer à développer son activité, elle souhaite également se développer plus nettement à l’international. « Cela implique de trouver les moyens d’être plus compétitif quant à la production de cet hydrogène électrolytique, mais aussi d’être en mesure de pouvoir le transporter » conclut Christelle Rouillé.

Ce contenu a été réalisé en partenariat avec OpenMedias. La rédaction de BFM Business n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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