BDO Software & Services : l’accompagnement et l’expertise autour de la facturation électronique

Reconnu pour son expertise et son savoir-faire, l’intégrateur de solutions de gestion BDO Software & Services accompagne aujourd’hui les entreprises à travers la mise en place du nouveau système de facturation électronique. L’objectif ? Transformer cette contrainte en opportunité.

Un intégrateur de logiciel expérimenté

Appartenant au groupe BDO France — expert en audit, conseil, expertise-comptable, juridique et fiscale auprès des TPE, PME et ETI —, la société BDO Software & Services cumule à ce jour près de quarante années d’expérience dans la mise en place de logiciels de gestion issus des plus grands éditeurs du marché, auprès des petites et moyennes entreprises.

En fonction des besoins de chaque acteur, la société est ainsi capable de délivrer des solutions logicielles pleinement adaptées à leur contexte et à leurs besoins, afin d’optimiser durablement leurs infrastructures de gestion.

« Nos 37 années d’expertise nous permettent en effet d’apparaître comme un interlocuteur crédible sur le marché, avec un savoir-faire désormais connu et reconnu. C’est justement ce qui nous permet d’accompagner nos clients dans la mise en place de la nouvelle législation sur la facturation électronique », confient à ce sujet Hervé Viallat et Patrice Boivin, tous deux Directeurs Généraux du département.

Facturation électronique : bien anticiper pour mieux produire

Alors que la nouvelle législation liée aux factures électroniques devrait progressivement se mettre en place à partir de septembre 2026, les équipes de BDO Software & Services sensibilisent un maximum d’entreprises quant à l’importance d’anticiper ce nouveau système.

Grâce à l’accompagnement et aux conseils apportés, la société spécialisée aide ainsi ses clients à transformer cette contrainte légale en opportunité, tout en leur évitant de nombreuses erreurs. Cela passe notamment par la mise en place de nouveaux outils de gestion, mais également par la formation des collaborateurs à travers une politique de changement claire et efficace.

Chaque acteur pourra alors profiter d’un gain de temps, mais aussi de productivité, en automatisant de nombreux process chronophages. « Hormis la date butoir de septembre 2026, les entreprises doivent, rapidement, être en mesure de recevoir et d’émettre des factures électroniques, afin de répondre aux attentes de leurs propres clients, et ne pas perdre des points face à des concurrents qui, eux, sont déjà à jour », concluent Hervé Viallat et Patrice Boivin.

Ce contenu a été réalisé en partenariat avec OpenMedias. La rédaction de BFM Business n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

En partenariat avec OpenMedias