Art Can Die : les nouvelles technologies au service de l’art

Blockchain, cryptomonnaies, finance décentralisée, DAO, NFT, ou encore contrats intelligents : la société spécialisée Art Can Die utilise de nombreux outils technologiques pour bâtir un solide pont entre des artistes d’exception et sa grande communauté de contributeurs.

Un écosystème décentralisé et entièrement sécurisé

La force et la puissance des nouvelles technologies au service du monde de l’art : voilà comment pourrait être définie l’activité de l’entreprise Art Can Die. Celle-ci développe un écosystème décentralisé permettant à tout un chacun de participer activement au financement d’un projet ou d’une œuvre d’art, à travers une plateforme entièrement sécurisée via la Blockchain.

Pour parvenir à former un pont entre l’art et les nouvelles technologies, Art Can Die s’appuie sur une équipe d’experts pluridisciplinaire, mettant leur savoir-faire au service d’artistes établis et en devenir.

Le système gagnant-gagnant d’Art Can Die

"Art Can Die porte un projet ambitieux qui a été créé par la communauté et pour la communauté. C’est un système que l’on peut décrire comme “win-win”, dans le sens où chaque participation apporte un bénéfice. Un contributeur aura ainsi la chance de pouvoir participer activement à la mise en valeur de l’artiste et de son travail. Il pourra par exemple être consulté pour donner son avis quant à l’organisation d’un évènement, ou sur la façon dont une œuvre doit être mise en avant ", explique l’un des co-fondateurs du projet, l’avocat Gaël Boven.

À travers son projet de valorisation de l’art, la société souhaite s’adresser à des personnes de tous âges et de tous niveaux sociaux. Dix projets sont actuellement en cours de réalisation et 385 000 euros viennent d’ores et déjà d’être levés.

Les nouvelles technologies pour optimiser le marché de l’art

Grâce à la communauté Art Can Die, l’objectif est alors de permettre le financement et la promotion d’artistes exceptionnels, en s’appuyant sur une plus grande diversité d’acteurs.

Si sur le marché de l’art, l’âge moyen des collectionneurs est de plus de 45 ans, Art Can Die parvient à ramener cette moyenne d’âge autour de 25 ans, grâce à l’utilisation de la technologie Blockchain, aux NFT, à la digitalisation, et plus généralement à la décentralisation du secteur. Un moyen utile de décloisonner concrètement cet univers encore très opaque et longtemps réservé à une certaine élite, alors même que l’art est, plus que jamais, l’affaire de tous.

Ce contenu a été réalisé en partenariat avec OpenMedias. La rédaction de BFM Business n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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