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Les bonnes pratiques du risque de crédit : une approche pragmatique par Tinubu Square

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Dans son dernier livre blanc, Tinubu Square, éditeur de solutions de gestion du risque de crédit, met en avant les bénéfices d’une culture intelligente du risque. Une telle politique aide l’entreprise à ma

Dans son dernier livre blanc, Tinubu Square, éditeur de solutions de gestion du risque de crédit, met en avant les bénéfices d’une culture intelligente du risque. Une telle politique aide l’entreprise à maîtriser les problèmes en temps réel, améliore sa prise de décisions et ses flux de trésorerie. Pour cela, elle doit diffuser la culture d’anticipation du risque et de régulation tout au long du cycle order-to-cash, et ce, auprès de chaque département de l’entreprise.
Tinubu Square revient sur les 6 règles de gouvernance nécessaires à une politique de credit management adaptée à la nouvelle donne économique. Bien maîtrisées, elles permettent de réduire le délai moyen de recouvrement des créances clients.

L’encours clients pèse plus que jamais sur la trésorerie des entreprises, il représente environ un tiers du bilan et la priorité des dirigeants de PME consiste trop souvent à réagir pour trouver des liquidités mais pas assez à agir pour anticiper. L’adoption d’une politique de credit management par l’ensemble des services de l’entreprise permet pourtant de maîtriser le risque commercial domestique et à l’export et de faciliter la mise en conformité avec les règles de gouvernance.

1) Surveiller les créances impayées. Les sommes dues représentent, en moyenne, un tiers du bilan. Les conséquences sont très couteuses, tant en termes de temps passé à recouvrir les impayés, que d'efforts pour trouver des financements à court terme. Il est recommandé de mettre en place des solutions qui permettent d'automatiser le processus et le contrôle de la gestion du poste clients.

2) Fédérer l'ensemble de l’entreprise. Les processus pour identifier, analyser et gérer l’exposition au risque nécessitent de mobiliser l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise, des équipes de credit management aux commerciaux.

3) Choisir ses clients. Procéder à une analyse détaillée de la solvabilité, des habitudes de paiement et du marché sur lequel le prospect opère. Qualifier les prospects, vérifier leur solvabilité et établir des conditions financières strictes. Définir des directives afin de mesurer le rapport bénéfice/risque d’une future relation commerciale.

4) Etablir un suivi du portefeuille clients. Evaluer régulièrement la solidité financière des clients existants et adopter une méthodologie adaptable pour parer à toute information négative et ainsi réduire l’exposition au risque.

5) Si nécessaire, envisager de transférer le risque vers un assureur crédit en souscrivant une police d'assurance-crédit. Le recouvrement des impayés reste à la charge de l'assureur-crédit, et l’entreprise reçoit une indemnisation que l'assureur ait recouvré la créance ou non.

6) Maîtriser l’export commercial. Les facteurs exogènes, qu'ils soient politiques, commerciaux, financiers, logistiques ou légaux impactent le risque encouru. Le credit management automatise une grande partie des processus clés, tels que la surveillance des changements impactant l'environnement commercial du client, ou le suivi des changements dans les conditions générales.

Pour plus de détails sur le livre blanc : Livre blanc Tinubu Square

Tinubu Square
Meiji Communication
Sandra Labérenne, 06 43 19 13 88
slaberenne@meiji-communication.com

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