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Le festival de Cannes décerne sa palme ce samedi (photo d'illustration)

Festival de Cannes

Le festival de Cannes se tient cette année du 14 au 25 mai sur la Croisette. Le jury, présidé cette année par la réalisatrice et actrice Greta Gerwig, est composé de l'actrice française Eva Green, l'actrice amérindienne Lily Gladstone, l'acteur français Omar Sy, l'acteur italien Pierfrancesco Favino, le cinéaste espagnol Juan Antonio Bayona, la réalisatrice libanaise Nadine Labaki, 50 ans, et la scénariste et photographe turque Ebru Ceylan, 48 ans, et le réalisateur japonais Hirokazu Kore-Eda.

La série BFMTV "7 ans au pouvoir, les maux de Macron"

7 ans au pouvoir, les maux de Macron

Le 7 mai 2024, Emmanuel Macron célèbrera son 7e anniversaire à la tête de l'Etat. BFMTV s'est intéressée à l'exercice du pouvoir de ce président arrivé à l'Elysée par surprise, sans jamais avoir été élu, et qui a été confronté à une succession accélérée de grandes crises. Dans cette série inédite, Caroline Mier et Sandra Boulanger reviennent sur des moments forts qui ont marqué ce "septennat", de sa relation tendue avec les Français à sa confrontation avec Vladimir Poutine.

Les secours mobilisés le 13 novembre 2015, lors des attentats de Paris.

Attentats du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis

A Paris, l'horreur des attentats. "Carnage" et "scènes de guerre" : au moins 130 personnes ont été tuées et près de 300 blessées, dont 80 gravement, vendredi 13 novembre 2015 dans une série d'attaques terroristes sans précédent à Paris et près du Stade de France, avec pour la première fois en France des actions kamikazes. Après une première attaque à Saint-Denis, les fusillades s'enchaînent dans les rues de Paris et visent des terrasses de cafés et restaurants : Le Petit Cambodge, Le Carillon, Café Bonne Bière, Casa Nostra, La Belle Équipe, Comptoir Voltaire. Simultanément, des terroristes entrent au Bataclan et ouvrent le feu sur le public assistant au concert des Eagles of Death Metal, puis retiennent des otages. Peu après minuit, l'assaut de la BRI est donné. L'état d'urgence est décrété par le gouvernement. Quelques jours après, Abdelhamid Abaaoud est retrouvé et tué avec deux complices dans un assaut à Saint-Denis. A Bruxelles, également en état d'alerte, Salah Abdeslam est arrêté après quatre mois de fuite. Le seul survivant du commando du 13 novembre est le principal accusé du procès des attentats qui débute à Paris en septembre 2021.

Jean-Luc Mélenchon lors de la séance de questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, le 12 décembre 2018 -

Jean-Luc Mélenchon

Ancien sénateur et ministre socialiste, Jean-Luc Mélenchon a donné un coup de barre à gauche en 2008 lorsqu’il a quitté le PS pour fonder le Parti de gauche, qu’il a codirigé jusqu’à 2014. Candidat du Front de gauche à la présidentielle de 2012, allié avec le Parti Communiste, il échoue aux municipales face à Marine Le Pen en 2014. Il mène désormais sa barque seul. En février, il lance le mouvement “La France Insoumise” (LFI), une plateforme participative et annonce sa candidature à la présidentielle “hors cadre des partis”. Il se présente à l’élection présidentielle en 2017 sous cette étiquette et termine à la quatrième place avec 19,58% des suffrages exprimés. Il préside le groupe La France Insoumise à l’Assemblée Nationale et est député.

Des soldats israéliens circulent à Sdérot, où des combattants du Hamas avaient pris possession d'un poste de police, le 8 octobre 2023.

Attaques du 7 octobre 2023 du Hamas contre Israël

Les Brigades Al-Qassam, la branche militaire du Hamas, ont annoncé ce samedi 7 octobre 2023, avoir déclenché l'opération "déluge d'Al-Aqsa" contre Israël et avoir tiré plus de "5.000 roquettes" pour "mettre fin à tous les crimes de l'occupation". L'armée israélienne a déclenché l'opération "Sabres de fer" et mené des frappes aériennes sur l'enclave palestinienne, disant avoir détruit plusieurs bâtiments présentés comme des "centres de commandement" du Hamas. Les combats se sont poursuivis au sol entre forces israéliennes et combattants palestiniens infiltrés. La date de l'attaque est doublement symbolique. D'abord car les personnes de confessions juives sont en plein Shabbat et en pleine fête juive de Simha Torah. Ensuite, car elle survient au lendemain de la commémoration de la guerre du Kippour qui avait frappé le pays à partir du 6 octobre 1973. Une guerre lancée, là aussi, par une attaque surprise, le jour de la fête de Yom Kippour. En France, la communauté juive s'inquiète de potentielles répercussions dans l'Hexagone. Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin assure que la sécurité des "lieux communautaires juifs" sera renforcée.

Des portraits d'otages retenus à Gaza, le 21 novembre 2023

"Histoires d'otages": environ 240 hommes, femmes et enfants kidnappés par le Hamas

Eden Zacharia, 28 ans. Maya Goren, 56 ans. Eitan, 12 ans... Environ 240 personnes ont été enlevées en Israël le 7 octobre 2023, jour de l’attaque terroriste menée par le Hamas. Outre ces otages, l’attaque, d’une ampleur et d'une violence inédites dans l'histoire de l’État hébreu, a également fait quelque 1.200 morts - en majorité des civils - selon les autorités israéliennes. Parmi ces quelque 240 personnes retenues dans la bande de Gaza figurent de nombreux enfants, dont certains en bas âge. BFMTV vous propose de découvrir le portrait de quelques uns de ces otages, à l’heure où les négociations pour les libérer se poursuivent.

Un jeune automobiliste tué à Nanterre

Mort de Nahel, tué par un tir de police à Nanterre

Un automobiliste âgé de 17 ans, Nahel M., a été tué le 27 juin 2023 au matin à Nanterre (Nanterre) par un policier qui a fait usage de son arme, après un refus d'obtempérer du mineur. La victime est décédée peu de temps après avoir été atteinte, malgré l'intervention du Samu qui lui a prodigué un massage cardiaque sur place. Les faits ont eu lieu vers 8h30 près de la station de RER Nanterre-Préfecture, aux abords de la place Nelson-Mandela, derrière le quartier d'affaires de la Défense. Selon les premiers éléments de l'enquête rapportés de source policière, le conducteur du véhicule, une Mercedes AMG qui avait été louée, avait commis plusieurs infractions au code de la route. Une vidéo de l'incident relayée sur les réseaux sociaux montre deux policiers contrôler une voiture jaune passage François-Arago. L'un d'entre eux, debout, accoudé sur le pare-brise, tient le conducteur en joue avec son pistolet. Quand le conducteur redémarre, le policier tire à bout portant depuis le côté du véhicule. La voiture a fini sa course quelques dizaines de mètres plus loin, encastrée dans un poteau. Dans un premier temps, des sources policières ont affirmé que le véhicule avait foncé sur les forces de l'ordre. L'un des avocats de la famille, Yassine Bouzou, a dénoncé un "mensonge" des policiers, à la vue des images relayées sur les réseaux sociaux: "On voit clairement un policier abattre un jeune homme de sang-froid, sans raison juridique puisqu'un refus d'obtempérer ne permet pas un tir à bout portant", a-t-il argué. Une enquête, confiée au commissariat de Nanterre et à la sûreté territoriale des Hauts-de-Seine, a été ouverte pour refus d'obtempérer et tentative d'homicide volontaire sur personne dépositaire de l'autorité publique, a indiqué le parquet. Une autre enquête, ouverte pour homicide volontaire par personne dépositaire de l'autorité publique, a été confiée à l'IGPN (Inspection générale de la police nationale), la police des polices. Le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, dit attendre "que la lumière soit faite le plus rapidement possible sur ces faits" et "les conditions dans lesquelles tout ça s'est produit". "Que s'est-il passé à l'intérieur du véhicule? Les policiers se sont-ils sentis menacés? Le conducteur, qu'a-t-il fait? Quelle a été sa réaction? Je ne le sais pas. Ils seront entendus par la justice et nous verrons si ces gestes étaient appropriés ou pas", a-t-il réagi.

Eric Zemmour le 22 avril 2021 à Paris

Eric Zemmour

Eric Zemmour, candidat à l'élection présidentielle, sillonne la France pour faire la promotion de son livre, La France n'a pas dit son dernier mot, et en profite pour s'inviter dans le débat public. Après avoir laissé planer le doute, il se déclare officiellement candidat à la course à l'Elysée le 30 novembre 2021. Dans les sondages, il gagne chaque semaine des places. Le polémiste d'extrême droite est désormais au coude-à-coude avec Marine Le Pen, pour la seconde place du premier tour de l'élection présidentielle 2022, selon les intentions de vote. En moins de deux mois, Eric Zemmour s'est hissé au rang de la candidate du Rassemblement national dans les sondages, avec une radicalité assumée. Lors de ses sorties, il adopte volontiers la théorie dite du "grand remplacement" et ses propositions sont souvent centrées sur la question migratoire: immigration zéro, fin du regroupement familial ou encore l'interdiction des prénoms étrangers et la suppression du droit du sol. L'auteur du "Suicide Français" dirige l'essentiel de ses critiques contre l'Islam et promeut des positions sociétales conservatrices, notamment concernant la place des femmes. Souvent poursuivi devant la justice pour discrimination et haine raciale Eric Zemmour a souvent été relaxé. En 2011, il est toutefois condamné de manière définitive pour des propos tenus dans une émission de télévision, où il assurait "que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes". A la suite de ces propos, le tribunal correctionnel estime que le discours de l'essayiste s’apparente bien à de la provocation à la discrimination raciale. Eric Zemmour est né à Montreuil le 31 août 1958. Il a 63 ans. Il est marié avec l'avocate Mylène Chichportich. Il n'appartient à aucun parti mais envisagerait de créer le sien, sous le nom de "Vox Populi". Son QG de campagne a été inauguré le 26 octobre 2021, en présence de son équipe et de sa proche conseillère Sarah Knafo.

Les mains d'une femme âgée

Fin de vie

Euthanasie? Suicide assisté? Développement des soins palliatifs? Après de longs mois de réflexion et plusieurs reports, Emmanuel Macron a dévoilé le dimanche 10 mars 2024 son "modèle français de la fin de vie": une "aide à mourir" qui doit permettre à certains patients, selon des "conditions strictes", de recevoir une "substance létale". Cette possibilité concernera uniquement les majeurs, à condition qu'ils soient "capables d'un discernement plein et entier" - ce qui exclut par exemple les malades psychiatriques ou les cas d'Alzheimer -, atteints d'une pathologie "incurable" avec "pronostic vital engagé à court ou moyen terme", et subissant des souffrances "réfractaires" que l'on ne peut soulager. Si un patient souhaite, dès lors, accéder à cette nouvelle "aide", il pourra en formuler la demande et recevra l'avis "collégial" de l'équipe médicale sous quinze jours. En cas d'avis favorable, il lui sera délivré une prescription, valable pendant trois mois, d'un produit létal qu'il pourra absorber seul. Ou, lorsqu'il est dans l'incapacité de le faire, notamment dans le cas de certaines maladies neuro-dégénératives comme la maladie de Charcot, avec l'assistance d'un membre du corps médical ou d'une personne volontaire qu'il aura désigné. La personne pourra "se rétracter à tout moment", précise le président Il s'agit, plaide-t-il, d'une loi "nécessaire parce qu'il y a des cas qu'on ne peut pas accepter humainement", mais aussi d'une "loi de rassemblement", "de fraternité", "qui concilie l'autonomie de l'individu et la solidarité de la Nation". "Avec ce texte, on regarde la mort en face", dit-il. Emmanuel Macron affirme que le projet de loi du gouvernement, qui inclura aussi un volet pour renforcer les soins palliatifs, sera présenté en avril 2024 en Conseil des ministres pour un examen en première lecture à l'Assemblée nationale en mai, avant les élections européennes de juin. Changer la loi sur la fin de vie de 2016, qui admet une "sédation profonde et continue" en cas de souffrances intolérables lorsque le pronostic vital est engagé à court terme, était une promesse de campagne d'Emmanuel Macron. À sa demande, une convention citoyenne, réunissant des Français tirés au sort, s'est prononcée au printemps 2023 dans un avis non contraignant pour l'ouverture d'une "aide active à mourir" sous conditions. Le sujet est sensible: si plusieurs sondages décrivent des Français majoritairement favorables à la légalisation d'une forme d'aide à mourir, cette perspective suscite l'opposition des cultes et d'un grand nombre de soignants.

Des agriculteurs manifestent à Toulouse (Haute-Garonne), le 22 novembre 2023

Colère des agriculteurs

Depuis l'automne 2023, la grogne des agriculteurs s'amplifie: parti du Tarn, un mouvement, pacifique, de retournement des panneaux signalétiques des communes, a essaimé partout en France. Une façon de dire qu'"on marche sur la tête" pour les éleveurs, céréaliers et autres maraîchers mobilisés. Le ton s'est durci en début d'année 2024, avec le blocage de l'autoroute A64 depuis le jeudi 18 janvier en Occitanie le blocage de l'autoroute A64 mais aussi des rassemblements devant des administrations ou sur des ronds-points - un mode d'action qui rappelle la fronde des "gilets jaunes".Arnaud Rousseau, président du premier syndicat agricole français, la FNSEA, a annoncé le 22 janvier 2024 le lancement dans toute la France d'actions d'agriculteurs appelant le gouvernement à entendre leur "ras-le-bol" et leur "colère". Si le gouvernement n'est "pas au rendez-vous" face à la colère des agriculteurs, "on peut être à l'aube d'un gros mouvement agricole", a déclaré le même jour Arnaud Gaillot, président des Jeunes agriculteurs, alliés de la FNSEA. Les deux syndicats dénoncent des charges financières et des normes environnementales jugées trop lourdes. Ils réclament notamment "l'application de la loi Egalim", qui doit garantir un juste prix aux agriculteurs, des compensations financières face à l'augmentation des normes environnementales et à la concurrence internationale. La situation n'est pas propre à la France: les mouvements d'agriculteurs se multiplient en Europe, en particulier en Allemagne où des milliers de tracteurs ont convergé sur Berlin en début de semaine. Comme outre-Rhin, une hausse de taxe amplifie le ras-le-bol. Paris a en effet décidé de relever progressivement la fiscalité du gazole non routier. 

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le 20 décembre 2022.

Volodymyr Zelensky

Né le 25 janvier 1978 à Kryvyï Rig, une ville industrielle ukrainienne au cœur d'une région majoritairement russophone, Volodymyr Zelensky a succédé à Petro Porochenko et est devenu président de l'Ukraine le 20 mai 2019. Avant de se lancer en politique, il s'était forgé une belle carrière dans la comédie - en Ukraine, comme en Russie d'ailleurs. À partir de 2015, il interprète dans Le Serviteur du peuple, une série à succès, un professeur d'histoire honnête mais naïf qui devient par hasard président de l'Ukraine. La fiction rattrape donc la réalité avec son élection en 2019 par des Ukrainiens fatigués de leur classe politique corrompue et de leur président milliardaire, Petro Porochenko. Si Volodymyr Zelesnky n'a pas su répondre aux attentes de ses électeurs au début de son mandat, la guerre a tout changé. Quelques semaines avant l'invasion russe du 24 février 2022, sa présidence semblait en perte de vitesse, l'ancien comédien peinant à tenir ses promesses électorales dans un pays rongé par la pauvreté et la corruption. Facile alors pour ses rivaux de dire que le costume présidentiel est trop grand pour un amuseur public. Et aux Occidentaux de se désoler que le nouveau dirigeant ukrainien se montre incapable de réformer le pays. Quand, à l'aube du 24 février 2022, Vladimir Poutine lance l'invasion de l'Ukraine, Moscou est convaincu que l'offensive sera courte, que le faible pouvoir ukrainien s'écroulera. Kiev, Kharkiv, Lviv, Dnipro, Odessa: toutes les grandes villes ukrainiennes sont frappées, l'armée russe se dirige vers la capitale ukrainienne. Volodymyr Zelensky marque les esprits, apparaissant dans une vidéo filmée devant les bâtiments de l'administration présidentielle, en plein centre de Kiev, flanqué de ses conseillers. Depuis, Volodymyr Zelensky et son armée ont infligé des humiliations surprises à Vladimir Poutine: en avril 2022, le Kremlin renonce à Kiev, en septembre il perd la région de Kharkiv puis en novembre Kherson, capitale de la région éponyme. Faisant de lui son homme de l'année, le quotidien britannique Financial Times n'hésite pas à le comparer à Winston Churchill, chef de guerre britannique face aux nazis. Lui-même présente régulièrement son pays comme un rempart face à l'impérialisme russe, en défenseur des valeurs démocratiques, comme en juin, lorsqu'il dit devant les députés tchèques que Moscou vise "un vaste territoire de Varsovie à Sofia, de Prague à Tallinn".

Le Titan, le sous-marin touristique porté disparu près de l'épave du Titanic

Sous-marin disparu près de l'épave du Titanic

Le Titan, un submersible de tourisme parti visiter l'épave du Titanic à près de 4000 mètres de profondeur a disparu le 18 juin 2023 dans l'Atlantique nord avec ses cinq passagers. Le contact avec l'engin, mesurant environ 6,50 mètres et disposant d'une autonomie de 96 heures, a été perdu moins de deux heures après le départ, selon les autorités. Parmi les passagers figure l'homme d'affaires britannique Hamish Harding, 58 ans, PDG d'Action Aviation, une entreprise qui commercialise des jets privés, basée à Dubaï. L'ancien officier de marine Paul-Henri Nargeolet, 77 ans, grand spécialiste français de l'épave du Titanic, est aussi du voyage. Également à bord pour cette plongée à 250.000 dollars la place, selon le site de son organisateur américain OceanGate Expeditions, un important magnat pakistanais Shahzada Dawood, vice-président du conglomérat Engro, monté avec son fils Suleman. Parti de Southampton le 10 avril 1912 pour rejoindre New York, le Titanic, plus grand paquebot du monde au moment de sa mise à l'eau, a fait naufrage après avoir percuté un iceberg cinq jours plus tard. Sur les 2224 passagers et membres de l'équipage, près de 1500 ont péri. L'épave a été découverte en 1985 à 650 kilomètres des côtes canadiennes, par 4000 mètres de fond dans les eaux internationales de l'océan Atlantique. Depuis, chercheurs de trésors et touristes lui rendent visite.

Le Premier ministre britannique Boris Johnson lors d'un point presse, le 14 novembre 2021 à Londres

Boris Johnson

Boris Johnson est le Premier ministre du Royaume-Uni de 2019 à 2022. Ancien leader du Parti conservateur, il a été maire de Londres de 2008 à 2016 et secrétaire d'État aux affaires étrangères du Royaume-Uni de 2016 à 2018. Boris Johnson a régulièrement défrayé la chronique et l’actualité internationale pour ses positions rhétoriques controversées. Il est un défenseur ardent du Brexit et a été chargé par le Royaume-Uni d'obtenir un accord de sortie de l'Union européenne pour le 31 janvier 2020.