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Culture

Prêt-à-porter: Kenzo célèbre ses racines seventies

Présentant lundi son prêt-à-porter pour l'hiver prochain, la maison Kenzo a choisi de célébrer ses 40 ans d'existence en revenant à ses racines dans un vestiaire iconique et gai, où les chapeaux en feutre s'accompagnent de robes longues et d'imprimés flor

Présentant lundi son prêt-à-porter pour l'hiver prochain, la maison Kenzo a choisi de célébrer ses 40 ans d'existence en revenant à ses racines dans un vestiaire iconique et gai, où les chapeaux en feutre s'accompagnent de robes longues et d'imprimés flor - -

par Mathilde Gardin PARIS - La maison Kenzo a choisi de célébrer ses 40 ans d'existence en revenant à ses racines dans un vestiaire iconique et gai...

par Mathilde Gardin

PARIS (Reuters) - La maison Kenzo a choisi de célébrer ses 40 ans d'existence en revenant à ses racines dans un vestiaire iconique et gai pour l'hiver prochain.

A cette occasion, le créateur sarde Antonio Marras avait installé des branchages sur le podium pour symboliser ces racines qui ont grandi.

La griffe, fondée en 1970 par Kenzo Takada et aujourd'hui propriété de LVMH, présentait son prêt-à-porter sous une tente montée dans le jardin des Tuileries, à Paris.

Sur une bande sonore composée de succès des années 1970, Kenzo dévoile une "melting-mode" brassant les imprimés et les couleurs automnales.

Robes longues et amples et combinaisons fluides se portent avec des étoles de laine, des gilets de fourrures et des bottes fourrées.

Les couleurs - rouille, jaune, violet -, se fondent dans des tonalités de gris et s'accaparent des imprimés floraux.

L'essence de Kenzo s'impose dans les jeux de patchwork, qui mêlent motifs à carreaux, broderies argentées, mailles rayées et soies fleuries sur des silhouettes légères.

Les mannequins à la silhouette "hippie chic" défilent chapeau en feutre, type Borsalino, vissé sur la tête et grande besace sous le bras. Un modèle plus sage porte un ample pantalon aux chevilles, une longue tunique fleurie et un spencer rayé.

"C'est toutes ces années 70 où la femme jouissait d'un esprit de liberté totale, que Kenzo fut le premier à interpréter avec sa mode et à laquelle Antonio (Marras) rend aujourd'hui hommage", a expliqué l'attaché de presse, le couturier sarde ayant refusé de répondre aux questions des journalistes.

Edité par Yves Clarisse