Johnny Hallyday « n'a plus besoin d'hospitalisation »

L'état de santé de Johnny Hallyday ne nécessiterait plus d'hospitalisation, selon l'hôpital de Pointe-à-Pitre qui l'a soigné ce week-end. Le chanteur a été transféré lundi soir vers Fort-de-France. En Martinique, il subira des examens complémentaires suite à sa bronchite persistante.

Johnny Hallyday a quitté la Guadeloupe et l’hôpital de Pointe-à-Pitre lundi soir. Selon le Centre universitaire hospitalier, le chanteur s'est rendu avec sa famille en Martinique pour des « examens complémentaires ». Le chanteur avait été hospitalisé dimanche pour soigner, selon son producteur, une mauvaise bronchite persistante. « L'état de santé de M. Jean-Philippe Smet, alias Johnny Hallyday, ne nécessite plus d'hospitalisation. Le patient et son entourage ont souhaité procéder à des examens complémentaires qui seront réalisés au CHU de Fort-de-France », a annoncé l’hôpital guadeloupéen.

Des examens cardiologiques

Le chanteur a quitté l'hôpital discrètement à bord d'une ambulance pour l'aéroport, ont rapporté des témoins. Son manager, Sébastien Ferran, a expliqué sur RTL que les médecins voulaient « pousser les examens au centre cardiologique qui est en Martinique » car le caractère broncholique de ses essoufflements « a donné une possibilité de fatigue un peu cardiaque ».
Gilbert Coullier, le producteur du chanteur, a assuré de son côté que Johnny Hallyday, dont la santé est un sujet sensible depuis de longues années, avait été placé en réanimation uniquement pour des problèmes respiratoires.

Johnny avait été admis en réanimation

Dans la matinée, le CHU de Point-à-Pitre avait indiqué que le rocker avait été admis, par transfert sanitaire en provenance de l'île de Saint-Barthélemy, en réanimation au CHU où il avait reçu les premiers soins. « Son état est jugé stable », disait l'hôpital dans un premier communiqué ne précisant pas l'affection dont souffre Johnny Hallyday.
Une communication inquiétante qui avait courroucé Gilbert Coullier, pour qui le terme réanimation était jugé « inapproprié ». 

La Rédaction