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« Johnny a ouvert les yeux et souri à sa femme »

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Réveillé d'un coma artificiel, le chanteur Johnny Hallyday est toujours hospitalisé à Los Angeles. Mais son producteur Jean-Claude Camus se montre rassurant.

Opéré dans la nuit de mercredi à jeudi à Los Angeles en raison de "lésions" importantes après son opération de la hernie discale, la star française Johnny Hallyday a été plongé dans un coma artificiel pour éviter la douleur et les complications. Mais jeudi soir, il a repris conscience et « a souri à sa femme » Laeticia, comme le raconte son producteur Jean-Claude Camus. Son service de presse assure également que la situation est stable.

« Les dégâts sont réparés et il réagit très bien aux antibiotiques »

« Beaucoup moins inquiet » qu'il y a deux jours, le producteur de notre Johnny national, Jean-Claude Camus, qui a eu la famille du chanteur au téléphone cette nuit, assure que « les dégâts sont réparés » : « Johnny s'est réveillé. Il était environ 19h, heure de Paris. Il a vu sa femme, l'a regardée et lui a souri. [...] Les dégâts sont réparés et on m'a dit qu'il réagissait très bien aux antibiotiques. Maintenant, il faut que Johnny reprenne des forces. On ne se réveille pas en une heure ; quand on a été plongé dans un coma, les choses reviennent petit à petit. »

« Il y avait un vrai risque »

Tandis que le doute plane sur l'opération subie par le chanteur fin novembre à Paris, Jean-Claude Camus explique, prudent : « Je répète simplement ce que j'entends dire dans l'hôpital américain et dans la bouche de Laeticia Hallyday ; il paraît qu'en effet, l'opération n'était pas des meilleures.
Une huitaine de jours avant, je m'étonnais du délai si court, et le médecin m'a confirmé que Johnny restait 2 jours à l'hôpital et que 4 jours après il pouvait partir à Los Angeles. J'en suis resté pantois, puisque moi-même j'ai eu deux hernies discales et que ça m'a duré bien plus de temps que ça.
Les médecins américains étaient totalement surpris de la façon dont Johnny avait été opéré. Il y avait un vrai risque. Il semblerait que c'était en train de toucher la moelle épinière. Mais les choses sont en train de prendre un bon côté. Les inquiétudes seront définitivement levées quand je le verrai monter les trois premières marches de la scène. »

La rédaction, avec Philippe Gril et BFM TV-Bourdin & Co