Confinement saison 2: on regarde quoi? #Jour35

Comment s'occuper pendant les longues soirées de confinement? Classiques incontournables, pépites ou nouveautés, BFMTV.com vous livre une sélection de séries, films, ouvrages, BD et albums.

Série futile, classique primé, documentaire instructif, dessin animé familial, album indé ou bande dessinée trépidante... tout est bon pour peupler les soirées confinées. Voici notre sélection au #jour35 du confinement saison 2.

● À regarder: "Petite fille" (Arte)

C'est une histoire simple, et pourtant tellement compliquée. Sasha a 7 ans. Elle est née dans un corps de garçon, mais explique depuis sa plus tendre enfance qu'elle est une fille. La vie de Sasha et de sa famille, les difficultés qu'ils rencontrent, notamment vis-à-vis de l'école, leurs démarches, font l'objet d'un superbe documentaire, véritable ode à l'amour et la tolérance, signé Sébastien Lifshitz. Petite fille est disponible sur le site d'Arte, jusqu'à début 2021.

● À écouter: "Stamina,", de Dinos

Tout juste un an après la sortie de Taciturne, Dinos est de retour avec son troisième album Stamina,. Pouvant compter sur l'appui d'invités de marque, dont Nekfeu, il dévoile le projet phare de cette fin d'année. L'artiste de la Courneuve, qui a tout enregistré pendant le confinement, laisse sa plume sophistiquée s'exprimer, alternant rap à vif et mélodies mélancoliques. Il réussit la combinaison parfaite des deux sur le dernier titre de son album, 93 mesures, un classique en puissance du rap français. Même JulienBeats valide. 

● À lire: Il faut flinguer Ramirez, de Nicolas Pétrimaux

Précipitez-vous sur cette BD - non sans avoir d'abord lu le premier tome - sortie mercredi. Il faut flinguer Ramirez est un sommet d'humour décalé, dopé à l'influence des blockbusters des années 80/90 et des jeux vidéo à la Grand Theft Auto. On y retrouve Jacques Ramirez, héros au look improbable, employé d'une entreprise d’électroménager, et (peut-être) terrible assassin mexicain, embarqué dans de nouvelles aventures. S'il était impossible de savoir, dans le premier tome, si Ramirez est réellement un tueur, l’ambiguïté est levée dès le début du deuxième...

Les couvertures des deux premiers tomes de "Il faut flinguer Ramirez" de Nicolas Pétrimaux © Glénat

Il faut flinguer Ramirez, Nicolas Pétrimaux, Glénat, deux tomes, entre 19,95 et 22,95 euros.

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