BFM DICI

MAG DICI - Page 20

DECOUVERTE : Electravia, une success story haut-alpine

DECOUVERTE : Electravia, une success story haut-alpine

C’est l’histoire d’une succès story locale. L’entreprise Electravia, basé sur l’aérodrome de Sisteron-Vaumeilh, fabrique des hélices ultra-légères en Carbone Titane pour différents types d’aéronefs. Parti de rien, et grâce à des techniques développés à l’origine dans un garage, les hélices fabriquées par Electravia sont aujourd’hui mondialement reconnues. C’est dans ces ateliers, qui couvrent 2200 m² de l’aérodrome de Sisteron-Vaumeilh, que travaillent les ingénieux d’Electravia. L’entreprise emploie en tout 40 salariés. Leader mondial des hélices de paramoteurs, Electravia fabrique 45 000 pièces carbone par an et exporte 87% de sa production dans 80 pays différent. Pour faire face à son succès, l’entreprise souhaite faire construire une nouvelle usine intelligente, plus grande et éco-responsable. La réalisation de ce projet permettra de doubler le nombre de salariés pour porter l’effectif à 70 personnes sous 3 ans. Pour mener à bien cet investissement, Electravia bénéficie d’une subvention de l’Etat de 800 000 euros. La société fait partie des entreprises ayant été choisi pour bénéficier du plan Relance. – Territoire d’Industrie

MAISON DICI : Era immobilier, une agence proche de ses clients

MAISON DICI : Era immobilier, une agence proche de ses clients

Era Immobilier GAP est une agence immobilière spécialisée dans la transaction immobilière et le viager. Implantée depuis plusieurs années dans le centre-ville de Gap, cette agence se veut proche de ses clients. Si la profession d’agent immobilier fait l’objet de nombreux clichés peu flatteur, Era Immobilier veut démontrer le contraire en accompagnant les clients dans leurs projets. Pour réussir la vente ou l’achat d’un bien immobilier, l’accompagnement d’un bon agent peut rapidement s’avérer nécessaire. Afin d’être au plus proche de ses clients, l’agence Era Immobilier de Gap est ouverte du lundi au samedi de 9h à 19h, sans interruption.

  Les Trophées de l’entreprise, avec la CCI 05 : Blacks Legend, la marque de vêtements “made in Champsaur”

Les Trophées de l’entreprise, avec la CCI 05 : Blacks Legend, la marque de vêtements “made in Champsaur”

C’est au cœur du Champsaur, à Chabottes, que naissent les vêtements Blacks Legend. La société a remporté les Trophées de l’entreprise en 2018. Aujourd’hui, les 45 salariés poursuivent, saisons après saison, un travail marqué par une qualité constante. Fierté de la marque : les motifs sont créés en interne, depuis deux ans. C’est Nicolas Bigeon, responsable de la création graphique, qui s’en occupe. Durant 11 années, Blacks Legend était Classic All Blacks. Mais la licence avec l’équipe de rugby néo-zélandaise a récemment pris fin. Un coup dur, dont l’entreprise a fait une force. Images : Ariane Pollaert.

DECOUVERTE : Une auto-école sociale bénéficie du plan France Relance

DECOUVERTE : Une auto-école sociale bénéficie du plan France Relance

Face à une situation épidémique qui touche lourdement les populations les plus précaires, les associations de lutte contre la pauvreté jouent un rôle incontournable. Pour soutenir les personnes en difficulté face à la crise sanitaire, France Relance, un plan de soutien de 100 milliards d'euros a été adopté. Ce plan de relance a pris la forme d'un appel à projet ouvert en novembre dernier. 576 projets régionaux ont été sélectionnés. Dans les Alpes-de-Haute-Provence, 4 lauréats ont été choisis. Parmi les projets sélectionnés, Nos Routes Solidaires, une association aidant les personnes en difficulté qui souhaitent passer le permis de conduire afin de gagner en autonomie.

      DÉCOUVERTE : vivement la rentrée 2021 aux Écuries de la Luye, à Gap

DÉCOUVERTE : vivement la rentrée 2021 aux Écuries de la Luye, à Gap

Refaire les gestes, inexorablement. Trouver la parfaite harmonie entre soi et le cheval. Un cours d’équitation, comme il s’en déroule des dizaines, chaque semaine, aux Écuries de la Luye, à Gap. Dans ce centre créé dans les années 1990, les deux gérants mettent un point d’honneur au bien-être animal. Plusieurs labels ont récompensé leurs efforts. Les Écuries de la Luye prévoient d’installer un nouveau manège couvert. Fin des travaux prévue pour janvier 2022. De quoi pratiquer l’équitation été comme hiver. Images : Ariane Pollaert

VU DICI : L’époustouflante grande histoire de l’alpinisme dans les Ecrins. Rencontre exceptionnelle au Granon avec Francois Labande

VU DICI : L’époustouflante grande histoire de l’alpinisme dans les Ecrins. Rencontre exceptionnelle au Granon avec Francois Labande

Il a 81 ans et on le sent encore capable de faire le pilier sud des Écrins où le doigt de Dieu de la Meije, Francois Labande, par ailleurs administrateur du parc national des Écrins, est tout simplement peut-être celui qui connaît le mieux le massif et en particulier l’histoire de l’alpinisme. C’est ce qu’il raconte parfaitement bien dans la saga des Écrins, un livre sorti en 2014 à l’occasion de l’anniversaire des 150 ans de la première ascension de la barre des Écrins et ré/édité cette année. Plus qu’un livre c’est une encyclopédie pour ne pas dire une bible sur ces presque 200 années de haute montagne dans ce massif qui n’a pas à rougir de celui du Mont-Blanc ou d’autres grands sites de la planète. Alors pour bien visualiser le massif c’est au col du Granon que Jean-Marc Passeron a rencontré Francois Labande avec une vue imprenable sur le massif, peut-être l’une des plus belle des Alpes du Sud.

  DÉCOUVERTE : avec l'appli Veolia et moi Méditerranée, les usagers Odalp peuvent contrôler leur consommation d’eau

DÉCOUVERTE : avec l'appli Veolia et moi Méditerranée, les usagers Odalp peuvent contrôler leur consommation d’eau

“Veolia et moi Méditerranée”, c’est le nom de la nouvelle appli mobile lancée par Odalp, le gestionnaire de l’eau dans les Alpes du Sud. Une interface connectée pour gérer sa consommation d’eau, pleine d’info utiles et à portée de pouce. Avec l’application, chaque utilisateur peut payer ses factures et contrôler sa consommation, en quelques secondes. Tous les relevés y sont sauvegardés et disponibles. Autres fonctionnalités pour optimiser sa consommation d’eau : des simulations et des conseils. Une application complète et simple d’utilisation, disponible gratuitement sur les plateformes de téléchargement. Images : Ariane Pollaert

DÉCOUVERTE : la rénovation énergétique du Quartier général Guillaume à Gap, avec France Relance

DÉCOUVERTE : la rénovation énergétique du Quartier général Guillaume à Gap, avec France Relance

Quartier général Guillaume, à Gap. Cette base de défense accueille notamment le 4e régiment chasseur. En tout, ce sont près de 2 000 personnes qui passent chaque année dans ce centre militaire. Un vaste programme de rénovation énergétique a été lancé ici. Coût total : 18 millions d’euros. 12 millions sont apportés par France Relance. Le Quartier général Guillaume a été construit au début des années 1980. A l’époque, les performances énergétiques sont loin d’être prioritaires. Vingt-sept bâtiments vont bénéficier des rénovations, soit 69.000 mètres carrés. Les travaux devraient s’achever au printemps 2022. De quoi permettre des économies d’énergies, mais aussi plus de confort pour les militaires des Hautes-Alpes. Images : Ariane Pollaert

Gens DICI : Vars les pieds sur terre, les mains dans la farine et la tête dans les étoiles

Gens DICI : Vars les pieds sur terre, les mains dans la farine et la tête dans les étoiles

Les pieds sur terre et la tête dans les étoiles. Voilà qui résume bien l’état d’esprit qui règne dans nos montagnes tout au long de l’année. Et l’on s’en rend compte encore mieux chaque été au moment des festivités où les habitants livrent une part de leur identité. C’est le cas à Vars lors de la traditionnelle fête du pain ou les villageois de Sainte-Catherine refont les gestes d’antan devant des vacanciers les yeux grands ouverts. Et il ne faut que quelques mètres pour se retrouver dans les étoiles lors du festival d’astronomie ou encore dans un concert de musique classique.

GENS DICI : L’Embrunais/Serre-Ponçon se veut exemplaire en matière de mobilité douce

GENS DICI : L’Embrunais/Serre-Ponçon se veut exemplaire en matière de mobilité douce

Dans ce secteur au cœur du département des Hautes-Alpes, le respect de l’environnement et la prise en compte du réchauffement climatique n’est pas une nouveauté comme on l’a vu par exemple avec le développement des chaudières bois sur la ville d’Embrun. Alors plus que jamais la communauté de communes de l’ Embrunais/Serre-Ponçon poursuit sur cette voie. Parmi les exemples très concrets et réussis, la passerelle sur la Durance où nous avons retrouvé la présidente Chantal Eyméoud par ailleurs maire d’Embrun. Dans les tuyaux à présent un projet qui va voir le jour dès l’été prochain : une voie douce entre Embrun et Crots avant que celle-ci ne s’étende à Savines.

DÉCOUVERTE : chez une famille indienne, venue à Manosque pour le programme Iter

DÉCOUVERTE : chez une famille indienne, venue à Manosque pour le programme Iter

    Dans cette rue de Manosque, on devine des effluves gourmandes et épicées, venues d’Inde. Il est 7h30, Farheen Sulaiman, la maîtresse de maison, est en pleine préparation d’un petit déjeuner comme dans le sud de l’Inde. La femme au foyer et ses deux enfants ont suivi Dilshad, le papa. Il est ingénieur à Iter. L’immense programme scientifique siège à une vingtaine de kilomètres de Manosque. La famille est arrivée en février 2021, tout droit venus d’Ahmedabad, dans le nord-ouest de l’Inde. Les Sulaiman s’adaptent, petit à petit, à ce changement de vie radical. Aabid, 5 ans, va à l’école internationale de Manosque, où il étudie en anglais et en français, avec aussi quelques cours d’hindi. Européennes, indiennes, chinoises, russes, coréennes, états-uniennes ou encore japonaises… presque toutes les familles sont ici pour Iter. Les quelque 5 000 personnes qui travaillent sur le site de Saint-Paul-lez-Durance partagent la même fierté que Dilshad Sulaiman. Parmi elles, des centaines de travailleurs étrangers, reconnus pour leurs compétences. L’impact économique pour la région est gigantesque. Les salariés d’Iter Organization injectent chaque année 100 millions d’euros dans l’économie locale.

DÉCOUVERTE : la Caserne Rochambeau à Mont-Dauphin restaurée avec France Relance

DÉCOUVERTE : la Caserne Rochambeau à Mont-Dauphin restaurée avec France Relance

C’est un bâtiment historique qui impressionne, en dominant la place forte de Mont-Dauphin. La caserne de Rochambeau, construite à la fin du 18e siècle, bénéficie d’un vaste plan de rénovation, financé par France Relance : 3,6 millions d’euros seront déboursés. Les deux-tiers de la toiture et de la charpente seront restaurés, en continuité avec les travaux déjà réalisés il y a six ans, dans l’aile Est du bâtiment. Le chantier devrait débuter en janvier 2022. Images : Ariane Pollaert.

Vu DICI : Que la montagne est belle à Orcières. 1ère partie.

Vu DICI : Que la montagne est belle à Orcières. 1ère partie.

"Il quittent un à un leur pays pour s’en aller gagner leur vie, loin de la terre où ils sont nés…" Ces beaux mais si tristes mots de Jean Ferrat sont heureusement contredis dans nos vallée de montagne grâce à la détermination mais surtout à la capacité d’adaptation des montagnards. C’est le cas à Orcières dans le Champsaur. Avant d’être la station réputée que l’on connaît, Orcières est avant tout une commune de montagne où au fil des décennies on s’est organisé pour garder de la vie au pays avec souvent plusieurs métiers au fil de l’année ou encore des savoirs-faire agricoles et techniques qui se transfèrent  de père en fils, de mère en fille. Que la montagne est belle en effet mais elle ne l’est pas simplement grâce à ses paysages. Elle est belle de celles et ceux qui la font vivre dans les bons et les mauvais moments. Rencontres à Orcières. Coproduction DICI/commune d’Orcières Reportage Jean Marc Passeron, Ariane Pollaert

GENS DICI : la renaissance de Dormillouse, le seul village qui n’est accessible qu’à pied

GENS DICI : la renaissance de Dormillouse, le seul village qui n’est accessible qu’à pied

Chaque été ce sont 30 000 personnes qui viennent découvrir ou redécouvrir le seul village habité à l’année et qui n’est accessible qu’à pied : Dormillouse sur la commune de Freissinières. Pour certains, c’est un pèlerinage sur les traces de ses ancêtres qui ont déserté le village fuyant la misère vers l’Algérie comme le racontera la manifestation "retour à Dormillouse" le 31 juillet prochain. Pour d’autres, c’est le souvenir de la période hippie dans les années 70/80 qui a redonné vie au village. Pour certains, enfin c’est un point de passage vers les superbes lac Palluel et Faradel ou vers le col de Freissinères qui rejoint Prapic dans le Champsaur. Aujourd’hui Dormillouse reprend vie à l’année avec le gîte de l’école repris depuis quatre ans par Paul et Sarah au bien connu Serge Baridon, de superbes chambres d’hôtes ou encore ces guillestrins qui n’ont pas eu peur d’investir 700 000 € (à Dormillouse !) pour offrir l’été prochain des logements hauts de gamme. Mais Dormillouse ce sont aussi des contraintes, celle de l’électricité avec le projet de relancer la micro-centrale abandonnée alors que paradoxalement il y a le téléphone, celle de l’accès et du transport… Un équilibre délicat, une ligne de crête sur laquelle veille le parc national des écrins. Et c’est justement avec Pierre Commenville le directeur du parc national des écrins que Jean-Marc Passeron est allé assister à cette renaissance de la pépite que constitue Dormillouse. Reportage : Jean-Marc Passeron, Ariane Pollaert et Gary Beaujoin.

VU DICI : le site archéologique de Faudon, près du col de Moissière à Ancelle, enfin valorisé

VU DICI : le site archéologique de Faudon, près du col de Moissière à Ancelle, enfin valorisé

C’est avant toutes choses un site idéal pour les promenades familiales ou les premières sorties en montagne, avec au bout une récompense : un panorama exceptionnel sur le Champsaur et les Écrins, sur Serre-Ponçon et le Val de Durance, sur le bassin gapençais et le massif de Bure. Au départ du col de Moissières ou du Collet d'Ancelle ou encore par le télésiège du château d’Ancelle, vous parvenez aisément à ce secteur exceptionnel. Exceptionnel parce que c'est la frontière climatique entre deux climats, exceptionnel par sa géologie (sentier des lentilles) mais aussi pour toutes les activités de nature, VTT, rando, course d'orientation, trail, etc. Mais il est surtout exceptionnel parce qu’on y retrouve les traces bien visibles du village médiéval de Faudon, au pied de la Croix Saint-Philippe, où l’on peut remonter jusqu’à 4000 ans d’histoire de l’homme dans les montagnes. Alors Gérard Godrie et la mairie d'Ancelle ont eu la bonne idée de valoriser ce site injustement méconnu. Depuis cet été, vous retrouvez ainsi une douzaine de panneaux qui racontent l’histoire de la présence de l’homme sur ces crêtes, mais également quelques légendes, comme celle de "la Chair du Diable". Jean-Marc Passeron et Ariane Pollaert s'y sont baladés, en compagnie du passionné d'histoire et de Lionel Brochier, conseiller municipal à Ancelle.

  DÉCOUVERTE : France Relance soutient l’entreprise Alpes Bois Collage, dans les Hautes-Alpes

DÉCOUVERTE : France Relance soutient l’entreprise Alpes Bois Collage, dans les Hautes-Alpes

    Nouveau numéro Découverte en partenariat avec la Préfecture des Hautes-Alpes. C’est un projet qui est encore à l’étape des plans de construction, mais dès la fin du mois de septembre 2021, la nouvelle usine Alpes Bois Collage commencera à sortir de terre, quelque part dans le département. Un vaste chantier qui va dynamiser toute l’industrie française du bois. Au programme, la fabrication de bois massifs aboutés, des bois massifs reconstitués et des carrelets mélèze. La production sera certifiée “Bois des Alpes”, un label d’excellence, gage de qualité. France relance a apporté un coup de pouce conséquent au projet : 800 000 euros. Dix emplois directs seront créés. La production Alpes Bois Collage devrait démarrer à partir de l’été 2023. Images : Ariane Pollaert.

VU DICI : Malgré les incivilités, la Communauté de Communes Haute-Provence/Banon plus que jamais exemplaire sur le traitement des déchets

VU DICI : Malgré les incivilités, la Communauté de Communes Haute-Provence/Banon plus que jamais exemplaire sur le traitement des déchets

Sous l’impulsion de son président Jacques Depieds, la communauté de communes de Haute-Provence Pays de Banon est que plus que jamais exemplaire sur le sujet délicat et essentiel du traitement des déchets. Et l’enjeu est de taille entre autres pour le porte-monnaie de chacun. Ainsi, ce magnifique mais petit territoire bénéficie de trois déchetteries et de très nombreux points de collecte pour le carton, les journaux, le verre et les déchets ménagers. Meilleur élève de toute la région, la communauté de communes n’en reste pas là : une étude est en cours pour revoir la tarification en fonction des efforts de chacun, des sondes sont mises en place pour optimiser les collecte en camion. A cela s’ajoute la lutte contre les incivilités sachant qu’en la matière la communauté de communes entend bien durcir le ton. Reportage à Reillanne et Mane Ariane Pollaert, Jean Marc Passeron

GENS DICI : Le succès des fêtes latino-mexicaines de Barcelonnette ne se dément pas malgré le contexte…

GENS DICI : Le succès des fêtes latino-mexicaines de Barcelonnette ne se dément pas malgré le contexte…

Qu’est-ce que ça fait du bien dans la période que nous connaissons ! Nous voici comme chaque mois d’août à Barcelonnette pour les fêtes latino-mexicaines dans une ambiance « caliente » ! Dans les rues de Barcelonnette pendant la journée ou sur la place Manuel le soir, on chante, on danse dans des ambiances qui se sont malheureusement faites rares ces derniers mois. Il n’y a que les sourires qui sont dissimulés par les masques obligatoires dans le centre-ville.  Ainsi chaque année Barcelonnette et la vallée de l’Ubaye remémore toute l’histoire de l’immigration en Louisiane et au Mexique comme ce sera aussi le cas à la Toussaint pour la fête des morts. Reportage en présence du Président de la Région Sud/Provence-Alpes-Côte-d’Azur, Renaud Muselier. Reportage Jean-Marc Passeron Ariane Pollaert

GENS DICI : Les Mées et Provence-Alpes Agglomération, des paradis pour la randonnée

GENS DICI : Les Mées et Provence-Alpes Agglomération, des paradis pour la randonnée

Imaginez : vous randonnez un jour dans la lavande et le lendemain quasiment à 3000 mètre d'altitude. Cette promesse existe et elle est dans l’agglomération de Digne-les-Bains. Provence-Alpes Agglomération fait en effet beaucoup d’efforts pour créer, entretenir et mettre en valeur tous ces sentiers de randonnée de la Bléone à la Durance, du Verdon à Château-Arnoux, au sein de l'UNESCO Géoparc de Haute-Provence. Alors c’est à l’entrée de celui-ci, aux Pénitents des Mées, que nous avons évoqué ce sujet au long du célèbre sentier des pénitents. L’occasion de se souvenir de la douleur des habitants, comme René Alonso, qui ont tout perdu en décembre 2019. Reportage : Jean-Marc Passeron et Ariane Pollaert.

GENS DICI : les Médiévales de Crots 2021, un véritable succès

GENS DICI : les Médiévales de Crots 2021, un véritable succès

Déjà 14 ans que le village de Crots (à côté d'Embrun) se transforme à l'occasion de la Saint-Laurent pour nous plonger dans une ambiance médiévale. Le Moyen Âge, un thème loin d'être choisi au hasard puisque la commune compte trois monuments historiques datant de cette période : le château de Picontal, l'abbaye Notre-Dame de Boscodon et l'église Saint-Laurent. Au programme des Médiévales 2021 : fauconniers, spectacles de rue, musique, spectacle de feu, marché médiéval, création de blasons et feu d'artifices. Reportage : Pierre-Yves Lombard.