Guerre en Ukraine: où faire des dons pour les réfugiés dans les Alpes du Sud?

Plusieurs communes des Hautes-Alpes et des Alpes-de-Haute-Provence s'organisent pour recueillir des dons à envoyer à la population ukrainienne.

La solidarité en faveur de la population ukrainienne s'organise dans les Alpes du Sud. À l'image de Gap (Hautes-Alpes), dont le maire Roger Didier, a annoncé une collecte de dons jusqu'à jeudi inclus, avant l'envoi d'un convoi vendredi à destination de la Pologne.

Jouets, couvertures, vêtements, médicaments et nourriture non-périssable sont notamment acceptés pour les dons. Ils sont à déposer dans quatre grandes surfaces (Auchan, Géant, Intermarché et Leclerc), à la mairie centrale et dans les mairies annexes (Romette et Fontreyne), à la salle de concert le Quattro, aux centres sociaux, à l'ancien garage Speedy, au Sun Valley Systems, au restaurant Papi Ours et au CPE.

La ville de Briançon s'organise également, avec une collecte (fourniture pour bébés, produits d'hygiène, nourriture, vêtements) au Centre Communal Action Social, les lundis et mercredis de 16h à 19h, les mardis et jeudis de 10h à 14h et les samedis de 10h à 13h.

Des collectes dans les Alpes-de-Haute-Provence

À Digne-les-Bains, un point de collecte est installé depuis ce mardi au stade Robert Gage. Il sera ouvert du lundi au vendredi de 10h30 à 12h30 et de 16h30 à 18h30. Parmi les produits de première nécessité demandés figurent des couvertures, des sacs de couchage, du dentifrice, des couches, des tentes, de l'eau, des aliments instantanés, des conserves...

Une collecte de produits de première nécessité est également mise en place du côté de Sisteron dans le hall de l'Hôtel de Ville, aux heures d'ouverture de la mairie.

Enfin, à Manosque, la Maison des Associations accueille du lundi au vendredi, de 8h à 12h et de 13h30 à 17h les dons pour l'Ukraine à partir de ce mercredi. Il s'agit, là aussi, de denrées non-périssables, de vêtements chauds, de produits d'hygiène, de médicaments sans ordonnance, mais aussi de piles, de bougies et de torches.

Clément Boutin Journaliste BFMTV