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L’édito de Christophe Barbier: La colère des nationalistes corses

L’édito de Christophe Barbier: La colère des nationalistes corses

Le discours d’Emmanuel Macron en Corse a provoqué la colère des nationalistes. En effet, le président de la République s'est déclaré favorable à ce que la Corse soit mentionnée dans la Constitution française. En même temps, il a rejeté les principales revendications des nationalistes. Ces derniers ont dénoncé un discours "très en deçà des attentes et des enjeux". À quelles conséquences pourrait-on s'attendre ? - L’édito de Christophe Barbier, du jeudi 8 février 2018, sur BFMTV. Chaque matin, au cœur de Première Edition, Christophe Barbier révèle les coulisses du pouvoir dans sa chronique et donne ses bonnes et ses mauvaises notes aux acteurs de la vie politique. BFMTV, 1ère chaine d’information en continu de France, vous propose toute l’info en temps réel avec 18h d’antenne live par jour et plus de 1000 duplex par mois. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.

Macron en Corse: Simeoni regrette un discours "très en-deçà des attentes et des enjeux"

Macron en Corse: Simeoni regrette un discours "très en-deçà des attentes et des enjeux"

Gilles Simeoni a réagi au discours tenu par Emmanuel Macron à Bastia, ce mercredi. Le président du conseil exécutif de Corse a fait part de sa déception et a dénoncé un discours "très en-deçà des attentes et des enjeux". En effet, le chef de l'État a rejeté la plupart des exigences formulées par les nationalistes, à l'exception de l'inscription de la spécificité du statut de la Corse dans la Constitution. Gilles Simeoni considère ainsi que c’est "une occasion manquée".

Emmanuel Macron en Corse: "Le bilinguisme, ce n'est pas la coofficialité"

Emmanuel Macron en Corse: "Le bilinguisme, ce n'est pas la coofficialité"

Emmanuel Macron s'est prononcé ce mercredi à Bastia contre la "coofficialité" de la langue corse. "Le bilinguisme, ce n'est pas la coofficialité", a déclaré le chef de l'État, prévenant qu'il n'accepterait "jamais de réserver à celui qui parle corse tel ou tel emploi". Le président de la République est en revanche favorable au bilinguisme et estime qu’il est indispensable que celui-ci soit "reconnu". Selon lui, il est une "ouverture" et un "enrichissement". 

Emmanuel Macron est "favorable à ce que la Corse soit mentionnée dans la Constitution"

Emmanuel Macron est "favorable à ce que la Corse soit mentionnée dans la Constitution"

Le président de la République a affirmé ce mercredi, lors de son discours à Bastia, avoir “entendu” chez les Corses “l’expression d’un besoin légitime de reconnaissance” de l’île par la République, et “la volonté d’un ancrage fort dans le texte constitutionnel”. “Pour toutes ces raisons, a-t-il poursuivi, je vous annonce solennellement aujourd’hui que je suis favorable à ce que la Corse soit mentionnée dans la Constitution”. Des dispositions dans ce sens devraient être proposées dans le projet constitutionnel qui sera soumis au Parlement au printemps.

Corse: "La mise en oeuvre d'un statut de résident n'est pas la bonne réponse", dit Macron

Corse: "La mise en oeuvre d'un statut de résident n'est pas la bonne réponse", dit Macron

Emmanuel Macron a abordé, lors de son discours très attendu à Bastia, la question du logement, qu’il a qualifié de “problème endémique” et d’”enjeu majeur”. Le président de la République a estimé que "la mise en oeuvre d'un statut de résident" en Corse, une exigence des élus nationalistes, n'était "pas la bonne réponse" aux problèmes immobiliers sur l'île." Aujourd'hui, quand les prix montent et que les terrains sont vendus, ce sont rarement des gens qui ne sont pas corses qui en bénéficient", a-t-il déclaré, avant de s’engager à "favoriser la construction de logements" et à "simplifier les règles d'urbanisme", face à des "contraintes parfois exorbitantes" liées à la spécificité géographique de l'île.

Bastia: une figure du grand banditisme tuée par balle à l’aéroport

Bastia: une figure du grand banditisme tuée par balle à l’aéroport

Un homme a été tué d'une balle dans la tête ce mardi en fin de matinée sur le parking de l'aéroport corse de Bastia-Poretta. Il s'agit de Tony le Boucher, une figure du grand banditisme corse. Deux autres personnes ont été blessées, dont une gravement. La police est à la recherche d’un véhicule de couleur sombre qui aurait pu servir au tueur. Le lieu reste accessible au public même si des agents de police procèdent encore à des prélèvements.

Bastia: heurts et cocktails Molotov après une manifestation nationaliste

Bastia: heurts et cocktails Molotov après une manifestation nationaliste

Stéphanie Zénati, envoyée spéciale de BFMTV, est revenue sur les violents incidents qui ont éclaté ce samedi, à Bastia, entre forces de l'ordre et manifestants nationalistes. Plusieurs dizaines de jeunes cagoulés ont jeté des cocktails Molotov sur des voitures de police, peu de temps après une manifestation de soutien à de jeunes nationalistes corses condamnés début octobre pour un attentat commis en 2012. - Week-end Direct, du samedi 15 octobre 2016, présenté par François Gapihan, sur BFMTV.

Rixe de Sisco: le procès s'ouvre à Bastia

Rixe de Sisco: le procès s'ouvre à Bastia

Le procès de la rixe de Sisco s'ouvre ce jeudi 15 septembre au tribunal correctionnel de Bastia, sur fond de tensions. Le tribunal doit juger trois frères marocains et deux habitants du village du Cap Corse pour respectivement violences en réunion avec armes et violences en réunion. La bagarre, qui avait éclaté le samedi 13 août, avait fait plusieurs blessés et nécessité l'intervention d'une centaine de gendarmes et policiers. - Avec: Jean-Guy Talamoni, président de l'Assemblée de Corse. - 19h Ruth Elkrief, du jeudi 15 septembre 2016, sur BFMTV.

Supporter corse blessé: "J'ai été passé à tabac après avoir reçu le flashball"

Supporter corse blessé: "J'ai été passé à tabac après avoir reçu le flashball"

Le supporter corse blessé par les forces de l'ordre alors qu'il allait assister au match de Ligue 1 Reims-Bastia le 13 février, a témoigné sur BFMTV. "J'ai été passé à tabac après avoir reçu le flashball alors que j'étais dans une flaque de sang, j'ai été menotté et traîné dans un camion", a raconté Maxime Beux. "J'ai été amené au commissariat pendant quarante minutes avant qu'on ne daigne appeler les secours une fois que je perds connaissance". Selon lui, tout est facilement vérifiable grâce aux caméras de surveillance et aux témoignages des autres interpellés.

Bastia: la manifestation en soutien au supporter corse blessé s'est déroulée dans le calme

Bastia: la manifestation en soutien au supporter corse blessé s'est déroulée dans le calme

Ce samedi, plusieurs milliers de personnes ont participé à une manifestation à Bastia, pour soutenir un supporter du SC Bastia blessé lors de heurts avec les forces de l'ordre à Reims. Cet après-midi, ils ont défilé dans le calme derrière une banderole "Ghjustizia per Maxime" ("Justice pour Maxime"). L'appel à la sérénité, à la dignité et au calme fait ce matin par Maxime Beux, le supporter corse blessé, semble avoir été entendu par les manifestants. - Avec: Ani Basar, envoyée spéciale à Bastia. - Week-end Direct, du samedi 20 février 2016, présenté par Philippe Gaudin, sur BFMTV.

Corse: Bastia se prépare à une nouvelle manifestation sous haute tension

Corse: Bastia se prépare à une nouvelle manifestation sous haute tension

À l'issue d'une semaine marquée par de violents incidents en Corse, une nouvelle manifestation à hauts risques est prévue samedi à Bastia. Cette grande mobilisation a pour objectif de soutenir le jeune homme blessé à Reims et les supporters bastiais interpellés lors des incidents du 13 février. - Avec: Pierre Savelli, maire de Bastia (Corse). - Week-end Direct, du vendredi 19 février 2016, présenté par Philippe Gaudin, sur BFMTV.

Reims-Bastia: des supporters "ont été renversés par une voiture de police"

Reims-Bastia: des supporters "ont été renversés par une voiture de police"

En marge du match de Ligue 1 Reims-Bastia samedi 13 février, des affrontements ont eu lieu entre supporters du club corse et la police. Ce vendredi, sept d'entre eux ont décidé de porter plainte contre X pour violences aggravées. Selon Paul Salort, le porte-parole du mouvement étudiant Ghjuventu Indipendentista (Jeunesse Indépendantiste), "ils ont été renversés par une voiture de police qui les chargeait, dans leur fuite on leur a lâché les chiens". "On les soutient dans leurs démarches", a également déclaré le jeune homme. Samedi, une manifestation de soutien sera organisée à Bastia.

Corse: Une manifestation à hauts risques en soutien aux supporters de Bastia se tiendra ce samedi

Corse: Une manifestation à hauts risques en soutien aux supporters de Bastia se tiendra ce samedi

À l'issue d'une semaine marquée par de violents incidents à Bastia et à Corte, les entrées de l'université de Corse Pascal-Paoli ont de nouveau été barricadées par trois syndicats étudiants nationalistes ce vendredi. Ils dénoncent la condamnation d'un manifestant interpellé après les heurts de mardi. Rémi Di Caro, 20 ans, a été condamné par le tribunal correctionnel de Bastia à 10 mois de prison, dont cinq ferme, pour "violences en réunion". Ce regain de tension survient également à la veille d'une manifestation à hauts risques organisée à Bastia, en soutien au jeune homme blessé à Reims et aux supporters bastiais interpellés lors des incidents du 13 février. - Avec: Paul Salort, porte-parole du mouvement étudiant "Ghjuventù Indipendentista" (Jeunesse Indépendantiste). - BFM Story, du vendredi 19 février 2016, présenté par Olivier Truchot, sur BFMTV.

Corse: la condamnation d'un manifestant ravive les tensions

Corse: la condamnation d'un manifestant ravive les tensions

Après plusieurs jours de tensions en Corse, la condamnation de Rémy Di Caro, ce jeudi à Bastia, a mis de l'huile sur le feu. Ce manifestant de 20 ans a été interpellé mardi lors du rassemblement de Corte qui avait tourné à l'affrontement entre forces de l'ordre et jeunes nationalistes. Il a été condamné à dix mois de prison, dont cinq ferme pour violences en réunion. Un verdict intolérable pour ses proches. Samedi, une manifestation soutenue par le SC Bastia est organisée dans la ville.

Corse: Gilles Simeoni appelle à l'apaisement

Corse: Gilles Simeoni appelle à l'apaisement

La tension monte d'un cran en Corse. De nouveaux incidents ont éclaté lundi soir devant la gendarmerie de Corte. Environ 500 personnes s'étaient rassemblées pour dénoncer les poursuites judiciaires à Reims contre 8 supporters de Bastia. Des dizaines de jeunes cagoulés ont lancé des projectiles sur les forces de l'ordre. Ces derniers ont riposté par des tirs de grenades lacrymogènes. 2 manifestants ont été interpellés. Un étudiant de 22 ans a été gravement blessé à l'oeil. La gendarmerie a, quant à elle, subi des dégâts matériels importants. Alors, comment faire retomber la tension sur l'île de beauté ? Gilles Simeoni, président du Conseil exécutif de Corse, était l'invité de BFMTV ce mardi 16 février 2016. Il a appelé à l'apaisement. "Ma première position est d'appeler à l'apaisement et de m'impliquer avec d'autres élus pour que la situation se désamorce", a-t-il déclaré. - BFM Story, du mardi 16 février 2016, présenté par Olivier Truchot, sur BFMTV.

Corse: les affrontements entre la police et les manifestants continuent

Corse: les affrontements entre la police et les manifestants continuent

Ce lundi soir, les affrontements ont repris de plus belle en Corse entre les forces de l'ordre et les manifestants. Vers 19 heures, les gendarmes avaient prié les manifestants de se disperser. Les quelques dizaines de réfractaires présents ont refusé de coopérer, et ont lancé des pierres et des fumigènes en direction des forces de l'ordre. En réponse, les gendarmes ont envoyé des gaz lacrymogènes., qui ont envahi toute la zone de Corte où ont lieu les échauffourées.

Corse: une fausse alerte au tsunami provoque la grogne d'un restaurateur

Corse: une fausse alerte au tsunami provoque la grogne d'un restaurateur

Une alerte au tsunami a fait souffler, durant une petite heure, un vent de panique, ce jeudi soir en Haute-Corse. Mais la vague annoncée n'a jamais frappé le littoral. Un restaurateur a raconté à RMC la panique qui s'était emparée de la ville et sa colère d'avoir vu ses clients déguerpir pour rien. "La police est arrivée et ils nous ont demandé d'évacuer les gens, de tout fermer, de tout couper. Vingt minutes après, ils nous ont dit que c'était une fausse alerte", se souvient Paul. "En trois minutes, l'établissement s'est vidé. Les clients étaient apeurés et pas mal sont partis sans payer", déplore le restaurateur.