Non, le Dark Web n'est pas qu'un repaire de criminels
La face cachée de l'Internet est, certes, un petit paradis pour la pègre. Mais c'est aussi un important moyen pour lutter contre le totalitarisme et pour assurer la liberté d'expression.
La face cachée de l'Internet est, certes, un petit paradis pour la pègre. Mais c'est aussi un important moyen pour lutter contre le totalitarisme et pour assurer la liberté d'expression.
Un pirate a siphonné plusieurs bases de données d'établissements de santé aux Etats-Unis. Il les revend maintenant à prix d'or dans une place de marché underground.
Sale temps pour les PDG des géants du Web. Après le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, c'est maintenant au tour de celui de Google, Sundar Pichai, de voir l'un de ses comptes de réseau social hacké par le groupe OurMine.
Les autorités américaines réfléchissent à demander leurs identifiants sur les réseaux sociaux aux touristes avant leur arrivée aux États-Unis.
En conflit avec sa direction, un employé de la Mutuelle générale de la police a copié l’ensemble des données personnelles de 112.000 policiers sur Google Drive. Une plainte a été déposée à son encontre après sa mise à pied.
Un projet de loi veut obliger les éditeurs à créer des accès pour les services de renseignement russes. Le cas échéant, ils seraient soumis à des amendes.
Chez les pirates ou dans les agences de renseignement, les logiciels d'espionnage par micro ou webcam font partie des outils standards. Ils sont utilisés depuis plusieurs années.
Les utilisateurs de smartphone sont de plus en plus en ligne de mire des cybercriminels. Sur les plateformes mobiles, les attaques sont en croissance de 5 à 6 %.
Des systèmes anti-drones ont été installés à proximité de la plupart des rencontres de la compétition. Les engins sont détectés grâce à un ensemble de capteurs et peuvent ensuite être neutralisés avec des techniques de leurre ou de brouillage des communications.
Des cybercriminels probablement d’origine russe ont créé une énorme place de marché permettant de pirater plus de 70.000 serveurs répartis dans le monde, dont plus de 2.000 en France. Plongée dans les arcanes du cybercrime.
Depuis des semaines, le pirate "peace_of_mind" vend de grandes bases de données utilisateurs. Dans un entretien, il explique d'où viennent ces données et affirme qu'il a encore du stock.