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"Ça nous permet d'accéder à nos parcs [à huîtres] qui sont le plus au large": les grandes marées profitent aux ostréiculteurs

"Ça nous permet d'accéder à nos parcs [à huîtres] qui sont le plus au large": les grandes marées profitent aux ostréiculteurs

Avec le retrait de la mer sur plusieurs kilomètres lors de la marée basse, les parcs à huîtres sont à nus et accessibles à pied. L'occasion pour les ostréiculteurs d'accéder à leurs parcs qui sont les plus éloignés et d'avoir plus de temps pour travailler. Certains producteurs en profitent même pour doubler leurs effectifs le temps de ces grandes marées.

Des douches remplies de moisissures, des repas périmés... Une colonie tourne au vinaigre dans les Hautes-Alpes

Des douches remplies de moisissures, des repas périmés... Une colonie tourne au vinaigre dans les Hautes-Alpes

Des enfants âgés de 9-15 ans, partis en colonie de vacances au ski du 11 au 18 février, à Crévoux dans les Hautes-Alpes. Sur place, ils découvrent un chalet hyper vétuste, sanitaires remplis de champignons et plâtre et peinture qui s'effritent (dans leurs assiettes). Les quatre animatrices recrutées par le directeur de la colo sont choquées également de l'état du chalet. Très vite, des enfants tombent malades et sont emmenés consulter un médecin aux urgences.

Les mains d'une femme âgée

Fin de vie

Euthanasie? Suicide assisté? Développement des soins palliatifs? Après de longs mois de réflexion et plusieurs reports, Emmanuel Macron a dévoilé le dimanche 10 mars 2024 son "modèle français de la fin de vie": une "aide à mourir" qui doit permettre à certains patients, selon des "conditions strictes", de recevoir une "substance létale". Cette possibilité concernera uniquement les majeurs, à condition qu'ils soient "capables d'un discernement plein et entier" - ce qui exclut par exemple les malades psychiatriques ou les cas d'Alzheimer -, atteints d'une pathologie "incurable" avec "pronostic vital engagé à court ou moyen terme", et subissant des souffrances "réfractaires" que l'on ne peut soulager. Si un patient souhaite, dès lors, accéder à cette nouvelle "aide", il pourra en formuler la demande et recevra l'avis "collégial" de l'équipe médicale sous quinze jours. En cas d'avis favorable, il lui sera délivré une prescription, valable pendant trois mois, d'un produit létal qu'il pourra absorber seul. Ou, lorsqu'il est dans l'incapacité de le faire, notamment dans le cas de certaines maladies neuro-dégénératives comme la maladie de Charcot, avec l'assistance d'un membre du corps médical ou d'une personne volontaire qu'il aura désigné. La personne pourra "se rétracter à tout moment", précise le président Il s'agit, plaide-t-il, d'une loi "nécessaire parce qu'il y a des cas qu'on ne peut pas accepter humainement", mais aussi d'une "loi de rassemblement", "de fraternité", "qui concilie l'autonomie de l'individu et la solidarité de la Nation". "Avec ce texte, on regarde la mort en face", dit-il. Emmanuel Macron affirme que le projet de loi du gouvernement, qui inclura aussi un volet pour renforcer les soins palliatifs, sera présenté en avril 2024 en Conseil des ministres pour un examen en première lecture à l'Assemblée nationale en mai, avant les élections européennes de juin. Changer la loi sur la fin de vie de 2016, qui admet une "sédation profonde et continue" en cas de souffrances intolérables lorsque le pronostic vital est engagé à court terme, était une promesse de campagne d'Emmanuel Macron. À sa demande, une convention citoyenne, réunissant des Français tirés au sort, s'est prononcée au printemps 2023 dans un avis non contraignant pour l'ouverture d'une "aide active à mourir" sous conditions. Le sujet est sensible: si plusieurs sondages décrivent des Français majoritairement favorables à la légalisation d'une forme d'aide à mourir, cette perspective suscite l'opposition des cultes et d'un grand nombre de soignants.

Effondrement d'un immeuble à Toulouse: "La probabilité d'avoir des victimes est extrêmement minime" selon Stéphane Lévêque, responsable du SDIS 31

Effondrement d'un immeuble à Toulouse: "La probabilité d'avoir des victimes est extrêmement minime" selon Stéphane Lévêque, responsable du SDIS 31

La scène s'est déroulée à quelques pas de la place du Capitole. Dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 mars 2024, un immeuble de trois étages, déjà fragilisé les jours précédents, s'est effondré rue Saint-Rome, à Toulouse. Comme l'annonce le capitaine Stéphane Lévêque, responsable du SDIS 31, un dispositif de recherches a été mis en place, mais aucune victime ne semble à déplorer.

Sarah Durocher (présidente du planning familial): "Aujourd'hui, vous tapez sur internet:  'Je suis enceinte j'ai envie d'avorter", vous avez une chance sur deux de tomber sur un site anti-choix"

Sarah Durocher (présidente du planning familial): "Aujourd'hui, vous tapez sur internet: 'Je suis enceinte j'ai envie d'avorter", vous avez une chance sur deux de tomber sur un site anti-choix"

Ce 8 mars, pour la Journée internationale des droits des femmes, Emmanuel Macron a voulu une cérémonie populaire place Vendôme pour sceller la constitutionnalisation de l'IVG. Ce protocole lui permet de récolter les fruits de ce moment historique, quatre jours après le vote par le Congrès à Versailles.

Sarah Durocher (présidente du planning familial): "Le planning familial est attaqué, et par ça, le droit à l'avortement, le droit à l'éducation à la sexualité et également les droits des personnes LGBTQIA+"

Sarah Durocher (présidente du planning familial): "Le planning familial est attaqué, et par ça, le droit à l'avortement, le droit à l'éducation à la sexualité et également les droits des personnes LGBTQIA+"

Ce 8 mars 2024, Journée internationale des droits des femmes, la statue de Simone Veil érigée sur la place éponyme de La Roche-sur-Yon (Vendée) a été vandalisée. Une mise en scène faite de poupons recouverts de faux sang était installée. Les locaux du planning familial à Lille a aussi été pris pour cible.