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La responsabilité de la justice pointée dans la mort d'Eléonore, premier féminicide de l'année 2022

La responsabilité de la justice pointée dans la mort d'Eléonore, premier féminicide de l'année 2022

C’est le premier féminicide de l’année 2022. Eléonore, 27 ans, est morte tuée de dix coups de couteau par son compagnon le 1er janvier. Ses parents, par le biais de leur avocate, dénoncent la terrible faillite de la justice qui n’a pas su protéger leur fille. La victime avait porté plainte deux fois, pour violences et menaces de mort. Malgré les coups et les ecchymoses, son agresseur était resté libre et sans bracelet anti-rapprochement.

Igor Bogdanoff emporté à son tour par le Covid-19, six jours après son frère jumeau Grichka

Igor Bogdanoff emporté à son tour par le Covid-19, six jours après son frère jumeau Grichka

Igor Bogdanoff, jumeau de Grichka, est mort six jours après lui, mettant fin à la saga de ces stars "intergalactiques", révélées par leur émission télé d'anticipation dans les années 1980 avant d'être mises en cause notamment sur la crédibilité de leurs travaux scientifiques. Tous deux étaient hospitalisés depuis décembre. Si des proches de Grichka se sont refusés jusqu'ici à révéler les causes de son décès, d'autres avaient assuré qu'il n'était pas vacciné et qu'il était mort du Covid-19. La famille d'Igor a indiqué pour sa part qu'il était "parti vers la lumière".

Dans ce camp du nord-est de la Syrie, ces enfants français vivent dans des conditions précaires

Dans ce camp du nord-est de la Syrie, ces enfants français vivent dans des conditions précaires

Faut-il faire rentrer les petits Français dont les parents ont rejoint Daesh en Syrie et en Irak ? Depuis la chute de l’État islamique, près de 300 enfants de nationalité française sont détenus par les Kurdes dans des camps aux confins de l'est syrien. La majorité a moins de 6 ans. Quelques uns sont des orphelins, livrés à eux-mêmes, les autres sont accompagnés par leur mère : une centaine de Françaises, toutes sous mandat d'arrêt international pour avoir rejoint une organisation terroriste. Conforté par une opinion publique encore très marquée par les vagues d’attentats islamistes, le gouvernement assume une politique de retour très restrictive : des rapatriements au cas par cas pour les enfants les plus jeunes, aucun retour pour les adultes. Les autorités estiment qu’il faut laisser ces Françaises radicalisées en Syrie pour des raisons de sécurité. Fanny Morel et Noé Pignède ont pu entrer dans un camp de détention où de petits Français sont retenus dans des conditions précaires. Tous demandent à rentrer, mais l’État n’a organisé aucun rapatriement depuis janvier 2021.

 "Après Daesh, l'impossible retour": emmené par sa mère à Raqqa, Mathéo veut rentrer en France

"Après Daesh, l'impossible retour": emmené par sa mère à Raqqa, Mathéo veut rentrer en France

Faut-il faire rentrer les petits Français dont les parents ont rejoint Daesh en Syrie et en Irak ? Depuis la chute de l’État islamique, près de 300 enfants de nationalité française sont détenus par les Kurdes dans des camps aux confins de l'est syrien. La majorité a moins de 6 ans. Quelques uns sont des orphelins, livrés à eux-mêmes, les autres sont accompagnés par leur mère : une centaine de Françaises, toutes sous mandat d'arrêt international pour avoir rejoint une organisation terroriste. Conforté par une opinion publique encore très marquée par les vagues d’attentats islamistes, le gouvernement assume une politique de retour très restrictive : des rapatriements au cas par cas pour les enfants les plus jeunes, aucun retour pour les adultes. Les autorités estiment qu’il faut laisser ces Françaises radicalisées en Syrie pour des raisons de sécurité. Fanny Morel et Noé Pignède ont pu rencontrer Mathéo, un adolescent de 17 ans. Les Kurdes qui le détiennent disent qu’il est assez âgé pour avoir été un enfant soldat. Lui répond qu’il n’a jamais demandé à rejoindre Daesh.