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Comment vivre sa transition après 50 ans ? Céline Audebeau raconte son parcours

Comment vivre sa transition après 50 ans ? Céline Audebeau raconte son parcours

Céline Audebeau est née deux fois. Une première fois en 1964, et une deuxième fois en 2017. Cette année-là, alors qu'elle est âgée de 53 ans, elle achève sa transition d'homme vers femme après plusieurs opérations en Thaïlande. Cette directrice d'usine au Viêt-Nam explique pourquoi elle a attendu si longtemps pour réaliser cette transition, et pourquoi elle a privilégié le pays d'Asie à la France. Elle relate son histoire dans un livre, "Du masculin au féminin, mon parcours singulier".

Où en est l'enquête des chiens tueurs, près de deux semaines après la mort d'Élisa Pilarski?

Où en est l'enquête des chiens tueurs, près de deux semaines après la mort d'Élisa Pilarski?

Le corps d'Élisa Pilarski a été retrouvé le samedi 16 novembre. Alors qu'elle se promenait dans une forêt de Retz, dans l'Aise, la jeune femme enceinte de 6 mois a été mordue par un ou plusieurs chiens. L'autopsie a confirmé les causes de sa mort, mais l'identité des canidés impliqués n'est toujours pas connue. Ses obsèques auront lieu ce samedi à Rébénacq, son village natal, dans les Pyrénées-Atlantiques.

Sécurité: les professeurs de ce lycée d'Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, lancent un cri d'alerte

Sécurité: les professeurs de ce lycée d'Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, lancent un cri d'alerte

Le 4 octobre, Kewi, 15 ans, avait été mortellement poignardé aux Lilas en marge d’un cours d’EPS, sur fond de rivalités entre quartiers. Samedi, c’est Djadje, 19 ans, qui est mort des suites de ses blessures, après avoir été poignardé en bas de son immeuble de Saint-Ouen. Conséquence: les professeurs du lycée d’Alambert à Aubervilliers ont décidé d’exercer leur droit de retrait lundi. Ils décrivent une situation intenable.

"Charnier" à Paris: "L'ensemble de la communauté médicale se retrouve profondément salie par cette affaire" (Union Française pour une médecine libre)

"Charnier" à Paris: "L'ensemble de la communauté médicale se retrouve profondément salie par cette affaire" (Union Française pour une médecine libre)

Ce sont des scènes dignes d’un film d’horreur : des cadavres démembrés, amoncelés, certains débordant de sacs poubelles. Des images insoutenables, pourtant photographiées en 2018 en plein Paris, au sein de l’Université Paris-Descartes. Des hommes et des femmes qui avaient fait don de leur corps pour la science. "L'ensemble de la communauté médicale se retrouve profondément salie par cette affaire", explique ce jeudi sur BFMTV le président de l'Union Française pour une médecine libre.