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Champs-Élysées: à quoi correspond l'épaisse fumée orange qui s'échappe de la voiture ?

Champs-Élysées: à quoi correspond l'épaisse fumée orange qui s'échappe de la voiture ?

Un homme a délibérément percuté une fourgonnette de gendarmerie avec sa voiture, sur les Champs-Élysées à Paris, ce lundi vers 15h40. Le parquet antiterroriste a été saisi de l'enquête. L'assaillant, fiché S, est décédé. Des images témoins BFMTV montrent le véhicule, une Renault Mégane, dégageant une épaisse fumée orangée. "Ce n'est pas une fumée normale", s'étonne Jacques Poinas, ancien chef d'unité de coordination de lutte antiterroriste. "S'agit-il d'un mélange explosif qui n'aurait pas détonné mais aurait brûlé en provoquant une fumée d'une couleur particulière ? C'est possible", ajoute-t-il.

Champs Elysées : "La voiture contenait des explosifs. L’individu est décédé", Gérard Collomb

Champs Elysées : "La voiture contenait des explosifs. L’individu est décédé", Gérard Collomb

Des bonbonnes de gaz, une kalachnikov et des armes de poing ont été retrouvées dans la voiture de l'homme qui a foncé sur un fourgon de la gendarmerie sur les Champs-Élysées lundi après-midi, a-t-on appris de source policières. Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a ajouté, lors d'un point de presse, que de "l'explosif" avait également été trouvé à l'intérieur de la voiture, qui s'est embrasée lors de la collision peu avant 16h, sans faire de blessés côté forces de l'ordre.

Fourgon de gendarmerie percuté sur les Champs-Élysées: "L'individu pourrait être mort", indique la préfecture de police

Fourgon de gendarmerie percuté sur les Champs-Élysées: "L'individu pourrait être mort", indique la préfecture de police

Un homme a délibérément percuté une fourgonnette de gendarmerie avec sa voiture, sur les Champs-Élysées à Paris, ce lundi vers 15h40. Le parquet antiterroriste a été saisi de l'enquête. La porte-parole de la préfecture de police de Paris, Johanna Primevert, s'est exprimée lors d'un point presse: "Un véhicule Renault Mégane a percuté le véhicule de tête d'un escadron de gendarmes mobiles. Le véhicule Renault Mégane a commencé à prendre feu. Nous n'avons pas de militaires blessés ni de public blessé. L'individu pourrait être mort. Vraisemblablement, il était armé", a-t-elle indiqué.

Fourgon de gendarmerie percuté sur les Champs-Élysées: "Déminage en cours", précise le ministère de l'Intérieur

Fourgon de gendarmerie percuté sur les Champs-Élysées: "Déminage en cours", précise le ministère de l'Intérieur

Un homme a délibérément percuté une fourgonnette de gendarmerie avec sa voiture, sur les Champs-Élysées à Paris, ce lundi vers 15h40. Le parquet antiterroriste a été saisi de l'enquête. Le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Pierre-Henry Brandet, s'est exprimé lors d'un point presse. Il a notamment précisé que "des opérations de déminage était en cours" et que "le quartier était bouclé".

Affaire Grégory : "on n’a rien, c’est criminel de jeter en pâture le nom d’un couple", dit l'avocat de Marcel Jacob

Affaire Grégory : "on n’a rien, c’est criminel de jeter en pâture le nom d’un couple", dit l'avocat de Marcel Jacob

Marcel et Jacqueline Jacob ont été mis en examen ce vendredi pour enlèvement et séquestration suivie de mort, dans le cadre de l’affaire Grégory. Les époux ont nié toute implication dans le meurtre du petit garçon retrouvé assassiné en octobre 1984. "On vous dit 'ils ont peut-être participé', on n’en sait rien (…), si, un homme et une femme auraient fait des repérages si j’ai bien compris et l’homme avait une moustache", a déclaré l’avocat de Marcel Jacob. Pour Stéphane Giuranna, "c’est criminel de relancer cette affaire sur ce genre d’éléments (…) et encore plus criminel de jeter en pâture le nom d’un couple, de les incarcérer provisoirement dans l’attente d’un débat où on vous dit ‘on va commencer l’enquête’".

Affaire Grégory: les personnes qui ont participé à l'enlèvement "sont les auteurs du crime"

Affaire Grégory: les personnes qui ont participé à l'enlèvement "sont les auteurs du crime"

Le procureur général de la Cour d'appel de Lyon a tenu une deuxième conférence de presse concernant l'affaire Grégory, ce vendredi. Jean-Jacques Bosc a précisé que "les personnes qui ont participé à l'acte d'enlèvement sont les auteurs du crime". Pour rappel, le petit Grégory a été retrouvé mort dans les eaux de la Vologne en octobre 1984. L'enquête a été relancée mercredi avec l'interpellation de trois membres de la famille Villemin.

Affaire Gregory: comment sont réalisées les analyses en écritures

Affaire Gregory: comment sont réalisées les analyses en écritures

Grâce à de nouvelles analyses en écriture, l'enquête sur l'affaire Gregory a franchi une nouvelle étape. Une lettre de menace envoyée en 1983 a été comparée à d'autres écrits orientant désormais les soupçons vers la grande-tante de l'enfant. Comparer des écrits pour en trouver les similitudes, c'est le travail de Susanne Schmitt, experte honoraire en documents et en écritures. "On peut trafiquer mais jusqu'à un certain point. Il y a toujours quelque chose de personnel qui reste dans l'écriture", assure-t-elle.

Affaire Grégory: "Il n'y a aucun élément" contre la tante du garçon, dit son avocat

Affaire Grégory: "Il n'y a aucun élément" contre la tante du garçon, dit son avocat

Ginette Villemin, la tante du petit Grégory, l'enfant assassiné en octobre 1984, a été remise en liberté ce jeudi. "Elle a répondu à toutes les questions des enquêteurs au long des auditions", a rapporté, sur BFMTV, Rémi Stephan, avocat de Ginette Villemin. Il a également assuré qu'il n'y avait "strictement aucun élément contre elle dans ce dossier". "Madame Villemin est choquée d'avoir été placée en garde à vue."

Affaire Grégory: "Jean-Marie Villemin a été médusé d'entendre le nom de sa propre mère"

Affaire Grégory: "Jean-Marie Villemin a été médusé d'entendre le nom de sa propre mère"

L'enquête sur la mort du petit Grégory, assassiné en octobre 1984, a été relancée mercredi avec l'interpellation de trois membres de la famille Villemin. Alors qu'une conférence de presse a été tenue par le procureur général de la Cour d'appel de Dijon ce jeudi, l'avocate des parents s'est exprimée sur BFMTV en début de soirée. Marie-Christine Chastant-Morand a révélé que "Jean-Marie Villemin a été médusé d'entendre le nom de sa propre mère". En effet, le nom de Monique Jacob, la grand-mère de l'enfant tué, a été cité. Cette femme serait l'auteure d'un courrier de menaces envoyé au juge de l'époque.

Les parents du petit Grégory "ont le sentiment d'avoir fait ce qu'ils pouvaient", dit leur avocate

Les parents du petit Grégory "ont le sentiment d'avoir fait ce qu'ils pouvaient", dit leur avocate

Alors que des rebondissements ont lieu depuis 24 heures dans l'affaire Grégory, l'avocate des parents du petit garçon assassiné en 1984 s'est exprimée, ce jeudi sur BFMTV. Marie-Christine Chastant-Morand a indiqué que ses clients avaient "le sentiment d'avoir fait ce qu'ils pouvaient faire pour que cette affaire puisse continuer et pour qu'un jour, ils puissent avoir la vérité". Le procureur général de la Cour d'appel de Dijon avait indiqué, lors d'une conférence de presse dans l'après-midi, que plusieurs personnes pourraient être à l'origine du crime de Grégory Villemin, qui était âgé de quatre ans lorsqu'il a été assassiné.

Affaire Grégory: ce qu'il faut retenir de la conférence de presse du procureur général

Affaire Grégory: ce qu'il faut retenir de la conférence de presse du procureur général

L’enquête sur la mort du petit Grégory, qui dure depuis près de 33 ans, a été relancée mercredi avec l’interpellation de trois membres de la famille Villemin. Selon le procureur général de Dijon, qui a tenu une conférence de presse ce jeudi, "plusieurs personnes ont concouru à la réalisation du crime". L’expert en écriture "dit clairement que deux personnes sont impliquées dans l’écriture des lettres: la mère Jean-Marie Villemin, donc la grand-mère de Grégory, qui s’appelle Monique Villemin et la tante de Jean-Marie Villemin, donc la grande tante de Grégory, qui s’appelle Jacqueline Jacob", a précisé Dominique Rizet, spécialiste police-justice BFMTV.

Affaire Grégory : "Plusieurs personnes ont concouru à la réalisation du crime", selon le procureur général

Affaire Grégory : "Plusieurs personnes ont concouru à la réalisation du crime", selon le procureur général

Le procureur général près de la Cour d'appel de Dijon, Jean-Jacques Bosc, donne une conférence de presse, ce jeudi, alors que des rebondissements ont eu lieu mercredi dans l'affaire Grégory avec la mise en garde à vue de trois personnes. Le magistrat a indiqué que "les investigations (…) montrent qu'à l'évidence plusieurs personnes ont concouru à la réalisation du crime". "Il apparaît que dans les jours précédents le passage à l'acte, des repérages ont été réalisés (…) par un homme qui portait une moustache, quelque fois accompagné par une femme", a-t-il ajouté. En 1984, le petit Grégory Villemin, 4 ans, a été retrouvé dans la Vologne, les poings et pieds liés.