Au total, 2.294.208 premières injections de vaccin ont été administrées en France depuis le 27 décembre dernier.
Pour l'infectiologue suisse, l'aggravation de l'épidémie de Covid-19 en Moselle impose de s'interroger sur la nécessité de confiner certaines zones, mais pas de façon uniforme.
Le syndicat s'inquiète de la progression des variants du coronavirus dans le département et d'un manque de transparence des autorités sanitaires à ce sujet.
La chercheuse à l'Inserm Vittoria Colizza était ce lundi matin l'invitée de Focus Première sur BFMTV. Elle est venue évoquer les résultats de son étudie sur le variant anglais en France.
La chercheuse à l'Inserm Vittoria Colizza était ce lundi matin l'invitée de BFMTV. Elle a assuré que "les mesures prises par le gouvernement ont réussi à impacter la circulation de la souche historique" du Covid-19.
En vue d'une possible nouvelle vague de contaminations, les établissements sont appelés à anticiper, en particulier en ce qui concerne les lits en réanimation.
Touchée par le Covid-19 en février, Clara, étudiante, a été ensuite informée qu'il s'agissait d'un variant. Elle a été placée à l'isolement complet.
Plus de 26.000 personnes sont actuellement hospitalisées à cause du Covid-19. Avec la propagation des variants, les autorités de santé demandent aux hôpitaux et aux cliniques de passer en organisation de crise dès jeudi prochain. Une circulaire a été envoyée pendant le week-end.
À une semaine des vacances, les écoles de Moselle restent ouvertes malgré la progression du variant sud-africain. Cela suscite la colère de certains élus et l'inquiétude des familles.
Dans un contexte sanitaire difficile, le rôle des vacances scolaires pose question. De nombreuses familles sont contraintes de faire garder les enfants par les grands-parents.
En Moselle, les variants brésilien et sud-africain inquiètent depuis quelques jours et provoquent un vrai casse-tête. Olivier Véran souhaite accélérer la campagne de vaccination alors qu'Alain Fisher demande d'arrêter d'administrer AstraZeneca aux soignants. Le monsieur vaccin du gouvernement prône la prudence alors que l'efficacité de ce vaccin est remis en cause pour les variants.
Le nombre de nouvelles hospitalisations et entrées en réanimation de malades du Covid-19 ont continué de reculer au cours des dernières 24 heures, sans que la circulation du virus ne ralentisse.
Dans le Nord, et en particulier dans la région de Dunkerque, de nouvelles mesures sont mises en place à partir de ce lundi matin pour endiguer la propagation du variant anglais. Dans le département, le taux d'incidence est de 515 cas pour 100.000 habitants. Le variant anglais a été identifié dans 80% des cas.
Les hôpitaux et cliniques français vont recevoir une circulaire leur demandant de se réorganiser au cas où le nombre de patients Covid augmenterait de nouveau.
Solenn, une infirmière en réanimation dans un hôpital privé d'Aix-en-Provence, était l'invitée ce dimanche de Jean-Baptiste Boursier sur BFMTV.
Le Pr Christian Bréchot, ancien directeur de l'Inserm et de l'Institut Pasteur, président du Global Virus Network, était l'invité ce dimanche de Jean-Baptiste Boursier sur BFMTV.
La situation sanitaire s'est brutalement dégradée dans le Dunkerquois. La préfecture du Nord renforce alors les mesures pour lutter contre le Covid-19 et le variant anglais.
Face à la situation sanitaire préoccupante de la Moselle, où les variants explosent, le président du Conseil d’orientation vaccinale, Alain Fischer, demande de changer la stratégie dans le département. D’après le JDD, l’immunologiste demande que tous les professionnels et toutes les professionnelles de santé soient vaccinées en urgence avec les vaccins à ARN messager. Soit le vaccin Moderna, soit celui de Pfizer/BioNTech. Une position que partage la secrétaire départementale FO Santé de Moselle, Monique François, qui a réagi ce dimanche sur BFMTV.
Résidents volontaires en Ehpad, personnes âgées de plus de 75 ans, Français ayant entre 50 et 65 ans et professionnels de santé peuvent donc désormais tous recevoir une première dose. Une catégorie d’âge reste dans l’attente, se sentant légèrement oubliée : celle des jeunes seniors, les 65-75 ans, trop jeunes pour les vaccins de Pfizer-BioNTech et Moderna, et trop vieux pour celui d’AstraZeneca.
Face à une "dégradation brutale" de la situation épidémique dans la région, la préfecture du Nord a annoncé samedi un renforcement des mesures sanitaires.
Si les autorités ignorent à ce stade quelles mutations du coronavirus ont été détectées en Guyane, c'est le variant anglais qui a été identifié sur l'île de Saint Barthélemy.
21.231 nouveaux cas positifs ont par ailleurs été rapportés entre vendredi et samedi par Santé Publique France.
La préfecture du Nord recommande "dans la mesure du possible, de limiter les déplacements vers et à l'extérieur" de la Communauté urbaine de Dunkerque et de la Communauté de Communes des Hauts de Flandre.
Jean-Damien Ricard, professeur de médecine intensive et de réanimation à l’hôpital Louis-Mourier à Colombes, dans les Hauts-de-Seine, s'est exprimé sur le premier cas d'un patient, soigné dans son établissement, réinfecté gravement par le variant sud-africain du Covid-19.
La directrice générale du CHR Metz-Thionville a réagi ce samedi midi sur BFMTV à la situation sanitaire en Moselle, où plusieurs centaines de cas de variants du Covid-19 ont été détectés ces derniers jours. Marie-Odile Saillard pense toutefois que la décision de ne pas prendre de nouvelles mesures "n'a pas été prise à la légère".
En septembre 2020, un homme, qui a des antécédents d'asthme, souffre de fièvre et a des difficultés à respirer modérées. Une infection au SARS-CoV-2 est diagnostiquée avec un test PCR. Les symptômes disparaissent en quelques jours et l'homme est testé négatif à deux reprises en décembre. En janvier, il est réadmis aux urgences de l'hôpital Louis-Mourier (AP-HP) de Colombes, près de Paris, pour des difficultés respiratoires et de la fièvre. Son test PCR est à nouveau positif, et le séquençage génétique montre la présence de mutations caractéristiques du variant sud-africain. Le Pr Jean-Damien Ricard a témoigné de son état de santé ce samedi sur BFMTV.
En septembre 2020, un homme, qui a des antécédents d'asthme, souffre de fièvre et a des difficultés à respirer modérées. Une infection au SARS-CoV-2 est diagnostiquée avec un test PCR. Les symptômes disparaissent en quelques jours et l'homme est testé négatif à deux reprises en décembre. En janvier, il est réadmis aux urgences de l'hôpital Louis-Mourier (AP-HP) de Colombes, près de Paris, pour des difficultés respiratoires et de la fièvre. Son test PCR est à nouveau positif, et le séquençage génétique montre la présence de mutations caractéristiques du variant sud-africain.
Guillaume Rozier, fondateur de CovidTracker, fait part d'une situation sanitaire qui s'améliore "très légèrement" en France, selon les derniers chiffres.
Fièvre, douleurs aux articulations, frissons... Une centaine de soignants ont développé des effets secondaires comparables à ceux de la grippe après leur première injection du vaccin AstraZeneca. Cela suscite de l'inquiétude chez certains mais la Haute Autorité de la Santé se veut rassurante.
La dernière étude de l’Institut Pasteur révèle que les transports en communs n'accroissent pas "le risque d’infection" contrairement au covoiturage. Pour l'épidémiologiste Arnaud Fontanet, c'est "sans doute car l’espace (y) est réduit et le port du masque pas systématique".
Une telle mesure permettrait d'injecter 15 doses du vaccin par flacon, contre 10 actuellement, et donc d'augmenter sensiblement la vitesse des campagnes de vaccination.
Au total, 461 foyers d'influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) ont été confirmés depuis le déclenchement de la crise en novembre, dont une très grande majorité (448) concernent des élevages du Sud-ouest, principalement des canards, détaille le communiqué.
Entre le 1er et le 7 février 2021, 306.000 tests PCR ont été réalisés dans les laboratoires Biogroup et parmi eux 22.545 se sont avérés positifs. Le variant britannique a été détecté au sein des tests de 3360 patients et les variants sud-africain et brésilien chez 313 personnes.
Une première mondiale en France. La Haute autorité de la santé recommande de ne proposer qu’une seule dose du vaccin contre le Covid-19 aux personnes l’ayant déjà contracté. L’autorité sanitaire conseille également d’attendre plus de trois mois après avoir contracté le virus avant d’inoculer le vaccin. Son avis n’a pas encore reçu l’aval du gouvernement.
Plus de tests. Plus de vaccination. Pas de fermeture d’écoles. Pas de confinement strict le week-end, pour l'instant. Les annonces d’Olivier Véran, ce vendredi, en Moselle. Le département fait face à une forte circulation de variants. 100 nouveaux cas y sont recensés chaque jour..
Marie-Odile Saillard, directrice générale du Centre hospitalier régional de Metz-Thionville, s'est exprimée sur BFMTV ce vendredi. La situation dans les hôpitaux du département, liée à l'expansion des variants, bouleverserait les soins apportés aux autres malades. "Nous sommes pratiquement à 50% de déprogrammations", assure-t-elle.
Marie-Odile Saillard, directrice générale du Centre hospitalier régional de Metz-Thionville, s'est exprimée sur BFMTV ce vendredi. Selon elle, l'expansion des cas de contaminations aux variants du Covid-19 devraient rendre la situation complexe dans les hôpitaux en Moselle.
Ces effets secondaires "ne remettent pas en cause la campagne de vaccination" qui devrait reprendre dans les heures à venir dans les établissements concernés.
Les experts de l'Organisation mondiale de la Santé ont estimé comme "hautement improbable" l'hypothèse selon laquelle le coronavirus s'est échappé d'un laboratoire chinois.
À Brest, plusieurs équipes du CHRU ont reçu leur première dose du vaccin AstraZeneca au même moment. Pour Thomas Bourhis, infirmier dans cet hôpital et secrétaire général CGT, "les effets secondaires ont été manifestement sous-évalués". En effet, un tiers des agents vaccinés auraient des effets secondaires "importants".
En septembre 2020, un homme, qui a des antécédents d'asthme, souffre de fièvre et a des difficultés à respirer modérées. Une infection au SARS-CoV-2 est diagnostiquée avec un test PCR. Les symptômes disparaissent en quelques jours et l'homme est testé négatif à deux reprises en décembre. En janvier il est de nouveau testé positif. Il s'agit du variant sud-africain.
La Haute Autorité de la Santé évoque dans un communiqué la possibilité d'explorer la technique du "poolage" en France, soit de faire des dépistages groupés, à partir de plusieurs échantillons de salive.
Selon le ministère de la Santé, la proportion du variant britannique augmente de 50% chaque semaine dans les tests positifs. Ce variant est présent dans toutes les régions de France. Selon les dernières données des laboratoires, Pfizer/BioNTech et Moderna ont certifié de la protection de leur vaccin contre les variants britannique, sud-africain et brésilien. Celui du laboratoire Astrazeneca serait moins efficace.
Si le Covid-19 restait parmi nous, il ne s'agirait toutefois pas d'une caractéristique inhabituelle pour un virus.
Selon Daniel Floret, vice-président de la Comission Technique des Vaccinations à la Haute Autorité de Santé, la vaccination pourrait être retardée pour les personnes déjà touchées par le Covid-19. En efftet, elles seraient protégées pendant plusieurs mois.
Le ministre des Solidarités et de la Santé est en déplacement en Moselle, où les cas du variant sud-africain se multiplient.
En moyenne, 2080 décès, toutes causes confondues, ont été comptabilisés chaque jour pendant la seconde quinzaine de janvier.
Les associations réclament un "retour à la normale" concernant les visites de proches et de pouvoir les recevoir en "toute liberté et intimité."
L'avis rendu par la Haute autorité de santé doit encore recevoir l'aval du gouvernement.
"Les volumes des premières livraisons destinées aux médecins de ville sont faibles", prévient la DGS. Par conséquent, les vaccinations se feront dans un premier temps au compte-goutte.
