Les 15 premiers départements ayant subi la mise en place du couvre-feu à 18h, dès le 2 janvier, recensent une baisse du taux d'incidence des cas de contaminations liés au Covid-19. L'intégralité du territoire aura-t-elle la même tendance ? Les premiers résultats devraient être visibles dans les 15 prochains jours.
Les proches aidants des résidents en Ehpad se réunissent et tentent d'améliorer les conditions de vie des personnes résidentes. Dans les conditions de pandémie actuelle, les visites et les sorties sont davantage restreintes voire annulées, laissant les résidents dans une extrême solitude. Sabrina Deliry, cofondatrice du CPAE, était l'invitée de Première édition ce mardi.
Ce sont des hommes, des femmes, investis d’une mission. Nous sommes allés à la rencontre de ceux qui vaccinent, au quatre coins de la France… À Marseille, Paris et Valenciennes. Depuis ce lundi, c’est au tour des plus de 75 ans et des personnes aux pathologies dites à haut risque.
Le masque FFP2 devient obligatoire dans les transports en commun et les magasins, en Bavière en Allemagne. Il le sera également en Autriche à partir du 25 janvier. Face aux variants du virus plus transmissibles, est-il nécessaire de troquer son masque chirurgical contre un masque FFP2 ?
Les Alpes-Maritimes font face à une situation critique. Tous les indicateurs liés au Covid-19 sont au rouge ces derniers jours et les élus s'inquiètent d'une pénurie de doses de vaccin.
Plus de 100.000 personnes ont été vaccinées en 24 heures, faisant passer le nombre total de personnes vaccinées à 585.664 patients vaccinés depuis le début de la campagne le 27 décembre dernier.
L'Agence régional de santé de la Provence-Alpes-Côte-D'azur parle de situation "non-stabilisée" concernant la réanimation dans les hôpitaux de la région. Pourtant, les Alpes-Maritimes a été l'un des premiers à avancer le couvre-feu à 18h. 17 jours plus tard, les chiffres baissent mais tout doucement. Le taux d'incidence est de 434 cas pour 100.000 habitants. Le département affichent toujours l'un des niveaux de contamination les plus élevé de France.
Le Haut Conseil de santé publique (HCSP), réuni ce week-end, recommande auprès du ministère de la Santé de ne plus porter de masque en tissu lavable aux normes Afnor de catégorie 2 dès l'âge de 6 ans pour faire davantage face au variant anglais, actuellement en circulation en France. Elle préconise à la place le port de masques chirurgicaux (jetable), en tissu de catégorie 1 ou FFP2, qui filtrent plus de 90% des nanoparticules.
Invité de BFMTV ce lundi soir, le professeur émérite de médecine infectieuse au CHU Grenoble Alpes, Jean-Paul Stahl, se dit "ravi qu'autant de personnes souhaitent se faire vacciner" contre le Covid-19.
Le professeur émérite de médecine infectieuse au CHU Grenoble-Alpes, Jean-Paul Stahl, s'est prononcé contre la généralisation du port du masque FFP2 en France. "Imaginer qu'on peut porter un masque FFP2 dans la vie courante me paraît totalement illusoire", explique-t-il ce lundi soir sur BFMTV.
Pour le Haut conseil de la santé publique, les masques faits maison ne seraient pas assez filtrants, pas assez protecteurs face aux différents variants du coronavirus. Il déconseille leur utilisation.
Alors que des variants du Covid-19 circulent en France, dont le Britannique, plus contagieux, le Haut conseil de la santé publique recommande d'éviter certains masques en tissu moins filtrants.
Jean-Daniel Lelièvre, chef de service des maladies infectieuses de l'Hôpital Henri-Mondor a affirmé au micro de France Inter que la France ne pourrait "pas éviter un nouveau confinement", mais "qu'il ne faut pas le mettre trop tôt."
Au-delà du nombre de morts qui a bondi en 24 heures en France, le nombre de patients hospitalisés en raison du Covid continue d'augmenter.
Mylène Ogliastro, virologue et chercheuse à l'INRAE explique que les laboratoires Pfizer/ BioNtech se sont engagés à adapter le vaccin aux variants du Covid en seulement "six semaines", sans avoir à repasser par les différentes phases de tests.
Selon une étude préliminaire réalisée par des chercheurs de l'Inserm, le variant anglais du Covid-19 pourrait devenir "dominant" en France d'ici "fin février/mi-mars". Mais l'étude n'a pas pris en compte la vaccination.
Certains maires ont regretté ce lundi d'avoir reçu un "nombre limité" de vaccins voire dénoncé une contradiction avec les "annonces gouvernementales", les obligeant à reporter des rendez-vous.
Face au rebond de l'épidémie de Covid-19 en Allemagne, la région de la Bavière impose désormais le port du masque FFP2 dans les transports en commun et dans les commerces. Plus contraignant à porter mais plus protecteur, comment bien choisir son masque FFP2 ?
La Norvège a souligné ce lundi qu'il n'y avait pas de lien établi entre le vaccin Pfizer/BioNTech et la mort de personnes vaccinées. Le Royaume recommande toutefois une évaluation médicale avant de vacciner les personnes âgées et très fragiles.
Des recommandations ont été émises ce week-end quant à l'efficacité des masques chirurgicaux ou en tissus de catégorie 1.
Le professeur Didier Lepelletier, co-président du groupe de travail permanent Covid-19 du Haut conseil de la santé publique (HCSP) et chef du service de bactériologie et hygiène hospitalière au CHU de Nantes, explique que le conseil envisage de recommander une distance de deux mètres au lieu d'un.
La vaccination des plus de 75 ans contre le Covid-19 a débuté ce lundi. Pour Aurélien Rousseau, directeur général de l’ARS Île-de-France, "sur 109 centres, il y en a environ 100 sur lesquels il n'y a pas de difficulté majeure".
Contrairement au variant britannique, qui peut être détecté en utilisant une technique spécifique de PCR, la tâche est plus ardue pour le variant sud-africain.
Un arrêté préfectoral annonce la fermeture immédiate d'une école élémentaire du Plessis-Belleville pour une durée de 8 jours, à la suite du recensement d'une dizaine de cas de Covid-19 chez des élèves et des professeurs.
La préfecture a pris un arrêté, l'école qui ouvert ce matin malgré les nombreux cas positifs fermera cette après-midi.
Joëlle Micallef-Roll, chargée par l'Agence nationale de sécurité du médicament de suivre les effets secondaires du vaccin Pfizer, en évoque une trentaine, "attendue" pour tout type de vaccination.
Invité de Franceinfo ce lundi matin, le président du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis regrette des "stocks gérés au compte-goutte" malgré l'"engouement" pour le vaccin.
Alors que la vaccination contre le Covid-19 s'élargit ce lundi à toutes les personnes âgées de plus de 75 ans, le gouvernement prend des précautions de langage pour justifier les lenteurs.
Joëlle Micallef-Roll, pharmacologue, chargée du suivi des effets secondaires du vaccin Pfizer, est l'invitée du Live Toussaint.
"Avec l'accélération de la campagne de vaccination dans les Ehpad. Nous aurons largement atteint le million de Français vaccinés d'ici la fin du mois", estime le ministre.
En déplacement à Grenoble, Olivier Véran fait le point sur la situation vaccinale en France.
En déplacement à Grenoble, Olivier Véran fait le point sur la situation vaccinale en France.
Plusieurs rumeurs ont affirmé que la retraitée, âgée de 78 ans, est morte après avoir été vaccinée, le 27 décembre dernier. Toujours en vie, elle s'apprête à recevoir sa seconde injection.
Flux d'élèves, brassage entre classes et non port du masque, la cantine est considéré comme un lieu à risque en période d'épidémie de Covid-19.
Ce lundi sonne le début de la vaccination pour les personnes de plus de 75 ans et celles présentant une pathologie lourde mais les files d'attente s'allongent inexorablement.
Plus de 420.000 personnes ont été vaccinés depuis le début de la campagne. À partir de ce lundi, la vaccination s'ouvrent également aux patients souffrant de maladie graves et étant en cours de traitement. Mais dans cette liste ne figure pas les insuffisants respiratoires chroniques.
Pour se protéger des variants du Covid-19, les DROM-COM serrent la vis pour les voyageurs. 100 000 personnes s'étaient rendus en Martinique par exemple, pendant les vacances de fin d'année. Désormais, en plus du test PCR négatif, les voyageurs devront effectuer un isolement de 7 jours, avant de réaliser une nouveau test PCR.
26 cas recensés en une semaine. La multiplication de cas de Covid-19 dans une école du Plessis-Belleville dans l'Oise, inquiète au niveau local, notamment parce que l'établissement, malgré le signalement de plusieurs contaminations, reste ouvert.
Une opération de dépistage massive a été déclenché à Colombes, dans les Hauts-de Seine, après le recensement d'un cas contact au variant sud-africain dans une école. 8000 personnes à tester en 4 jours.
Alors que la vaccination est étendue à partir de ce lundi aux personnes de plus de 75 ans et ne résidant pas en Ehpad, ainsi qu'à celles atteintes de pathologies graves, la question du maintien du rythme de la vaccination se pose. De nombreux Français sont déjà placés sur liste d'attente, sans avoir de visibilité sur la possibilité de se faire vacciner.
La cantine et le péri-scolaire sont fermés au moins jusqu'au 20 janvier, mais le reste de l'établissement scolaire reste pour le moment, ouvert.
Pour tenter d'enrayer l'épidémie, la course contre la montre se poursuit pour vacciner la population, après un démarrage poussif et critiqué. Lundi, la campagne va s'élargir aux personnes de plus de 75 ans ne vivant pas en Ehpad, ainsi qu'à près de 800.000 personnes présentant des pathologies à "haut risque". Un coup d’accélérateur pour tenter de gagner une rude bataille contre le virus, qui a déjà fait plus de 70.000 morts.
À Courbevoie dans les Hauts-de-Seine, un centre de vaccination géant ouvre ses portes aujourd'hui. 3 000 personnes pourraient être vaccinées chaque semaine, mais les doses manquent. La municipalité fustige la lenteur et le manque de communication de l'ARS Ile de France.
Les rendez-vous pour se faire vacciner ont été pris d’assaut. Dès vendredi, les plages horaires se sont remplies rapidement, et les lignes de téléphone ouvertes localement dans les mairies ont saturé. Pour le premier jour de vaccination à destination du grand public pour les personnes âgées de plus de 75 ans, la préfecture du Var rapporte que tous les rendez-vous sur les sept centres de vaccination varois ont été réservés pour les quatre semaines à venir.
26 cas de Covid-19 ont été recensés en quelques jours dans une école du Plessis-Belleville dans l'Oise. Ils proviennent de 4 classes. Pourtant cette école est toujours ouverte.
Au total, 6,4 millions de personnes sont actuellement appelées à se faire vacciner sur fond de craintes de pénurie.
Réservée jusque là à certains publics prioritaires, la vaccination est désormais accessible aux plus de 75 ans ne vivant pas en maison de retraite, soit 5 millions de personnes.
Plus de 16.600 personnes supplémentaires ont été testées positives au Covid-19 en 24 heures en France, et plus de 25.200 personnes sont désormais hospitalisées sur le territoire.
Depuis le début de la campagne vaccinale, plus de 422.000 personnes ont été vaccinées en France contre le Covid-19.
Les conditions d'entrée en Martinique, en Guadeloupe, à la Réunion, à Mayotte ou encore en Guyane se durcissent, en raison de la crainte d'une propagation des nouveaux variatns du Covid-19.
