Chaque matin, Apolline de Malherbe reçoit un invité au cœur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour du journaliste. Invité : André Vallini, secrétaire d'État à la Réforme territoriale.
Apolline de Malherbe a donné son point de vue sur l'annonce de la candidature de François Rebsamen à la mairie de Dijon. Le ministre de Travail a déclaré qu'il ne démissionnerait pas du gouvernement s'il était élu maire de Dijon le 10 août. "Tant que le président ne m'aura pas demandé de cesser mes fonctions, je les assumerai", a-t-il dit, ajoutant qu'il "remettra sa démission entre les mains du président et du Premier ministre, quand ses engagements ministériels seront terminés". Il a tout de suite rappelé à l'ordre par L'Élysée et Matignon. On ne peut pas être chef d'un exécutif et en même temps membre du gouvernement", a réagi Manuel Valls. "C'est un mauvais début de campagne", a estimé notre éditorialiste.
Chaque matin, Apolline de Malherbe reçoit un invité au coeur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour du journaliste. Invité : Jean-Marie Le Guen, secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement.
Apolline de Malherbe s'est intéressée au choix très attendu du gouvernement sur l'organisation de nouvelles capitales régionales. Elle estime que l'exécutif n'a pas tout à fait eu le courage d'aller jusqu'au bout de ses réformes.
Chaque matin, Apolline de Malherbe reçoit un invité au coeur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour du journaliste. Invité : Xavier Bertrand, député Les Républicains de l'Aisne.
Apolline de Malherbe, est revenue sur la décision de la cour d'appel de Versailles concernant le bras de fer qui oppose Jean-Marie Le Pen au Front national. Elle estime qu'avec cette bataille politique, le parti risquerait de s'enfoncer encore plus dans la crise. Pour les membres du FN, il n'est plus question de la France mais uniquement du statut.