Macron crédité de 59% des intentions de vote
Le candidat d’En Marche! confirme sa position d’ultrafavori face à celle du FN, selon une étude d’Ipsos rendue publique ce mercredi. Même si certains chiffres ont de quoi inquiéter Emmanuel Macron.
Le candidat d’En Marche! confirme sa position d’ultrafavori face à celle du FN, selon une étude d’Ipsos rendue publique ce mercredi. Même si certains chiffres ont de quoi inquiéter Emmanuel Macron.
Depuis son ralliement à Marine Le Pen en vue du second tour de l'élection présidentielle, Nicolas Dupont-Aignan est contesté dans sa ville de Yerres, où il est élu maire. Des manifestations que l'ancien candidat dénonce tout en assumant son choix.
"Le programme de Marine Le Pen, c'est la ruine collective, a expliqué Dominique de Villepin qui soutient Emmanuel Macron sur BFMTV et RMC. Elle va se nourrir à crédit sur le dos des Français".
Ce mercredi soir se tient le débat attendu de l'entre-deux-tours entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Jamais les deux candidats n'ont participé à un tel exercice dont l'enjeu est de convaincre les derniers indécis.
Moment symbolique et historique fort, le duel télévisé ne pèserait toutefois pas dans le rapport de force entre les finalistes à la présidentielle, selon Christian Delporte. BFMTV.com a analysé le phénomène avec l’historien des médias.
Avant Emmanuel Macron et Marine Le Pen mercredi, les finalistes des précédentes élections présidentielles ont tenté de l’emporter par des formules marquantes lors des débats télévisés d’entre-deux-tours.
"Je ne juge pas la candidate, la campagne, les phrases. Je juge une seule chose qui est le poison que porte la proposition de Marine Le Pen. Ce poison-là, je suis déterminé à l’écarter. Ce que Marine Le Pen annonce pour notre pays, de manière de plus en plus chaotique et désordonnée, est mortel", a estimé ce mardi 2 mai sur BFMTV François Bayrou, maire MoDem de Pau et soutien du candidat d’En marche ! à l’élection présidentielle Emmanuel Macron
Les deux candidats à la présidentielle s’affrontent pour la première fois seuls à seuls mercredi.
La paroisse Saint-Merry dans le 4e arrondissement a décidé d’appeler à voter Emmanuel Macron pour faire barrage au Front national. Une prise de position qui contraste avec la position officielle de l’Eglise qui par le biais de la Conférence des évêques de France a décidé de ne pas se positionner.
Yves de Gaulle a dénoncé lundi dans une tribune ceux qui "défendent le côté obscur de la France" en se cachant derrière un "prétendu gaullisme".
Pour participer à la future majorité qu'entend incarner le leader de En Marche ! il faudra être candidat sous ses couleurs aux législatives, a expliqué le candidat qui envisage d'ores et déjà la transformation de son mouvement en parti politique.
Le candidat d'En Marche! a rappelé qu'il prônait la tolérance zéro à l'égard de ceux qui s'en prennent aux forces de l'ordre.
Dans un dernier sondage Kantar Sofres-OnePoint réalisé pour Le Figaro paru ce week-end, 4% des électeurs d'Emmanuel Macron au premier tour ne mettront pas le bulletin du candidat d'En Marche! dimanche prochain.
Emmanuel Macron a répondu, ce lundi, aux propos de Jean-Marie Le Pen un peu plus tôt dans la journée. "Il nous parle d’avenir mais n’a pas des enfants", a déclaré le fondateur du Front national lors de son traditionnel discours du 1er mai. Le candidat d'En Marche! a assuré en meeting à Paris qu'il assumait pleinement le fait d'avoir une famille "un peu différente". "Monsieur Le Pen m'a dit, vous n'avez pas le droit de parler d'avenir parce que vous n'avez pas d'enfants. Monsieur Le Pen, j'ai des enfants et des petits-enfants de cœur", a-t-il rétorqué.
Le candidat d'En Marche! recueille 59% des intentions de vote, contre 41% pour Marine Le Pen, selon un sondage Kantar Sofres-OnePoint, réalisé pour LCI et Le Figaro, publié ce lundi.
Marine Le Pen a mené une charge frontale contre Emmanuel Macron lors de son meeting à Villepinte ce lundi, le présentant comme le "poulain de François Hollande".
Le candidat d’En Marche! multiplie depuis plusieurs jours les déplacements sur des lieux de mémoire symboliques, l’occasion pour lui de rappeler subrepticement l’histoire du FN.
Le président de Debout la France a également annoncé ce lundi sur BFMTV-RMC avoir reçu 450.000 euros de dons pour éponger ses frais de campagne présidentielle.
Le leader de Debout La France, soutien affiché de Marine Le Pen depuis sa défaite lors du premier tour de l'élection présidentielle, était l'invité de Jean-Jacques Bourdin ce lundi matin sur BFMTV et RMC. Réaffirmant son ralliement à la candidate frontiste, il a déclaré choisir le "préférable à Emmanuel Macron".
Après avoir rendu hommage à Brahim Bouarram, jeune Marocain assassiné par des militants d'extrême droite, le candidat à la présidentielle s'en est ouvertement pris au Front national, dont les "racines" extrémistes restent "vivaces".