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Macron promet des revalorisations de salaire: des nouvelles images du déplacement agité à la Pitié-Salpêtrière

Macron promet des revalorisations de salaire: des nouvelles images du déplacement agité à la Pitié-Salpêtrière

Emmanuel Macron est revenu hier à l'hôpital la Pitié-Salpétrière. Il a été interpellé par des soignants, un échange qui était souvent assez tendu. Le Président était souvent sur la défensive, reconnaissant que des "erreurs" avaient été faites, que c'était parfois même cruel pour lui même d'avoir eu du mal à se faire comprendre. Dans ce document BFMTV, on y voit Emmanuel Macron annoncer qu'il y aura une revalorisation salariale

Pourquoi le déconfinement a failli être reporté

Pourquoi le déconfinement a failli être reporté

Le déconfinement a failli ne pas avoir lieu le 11 mai. Tout démarre la veille lorsque l'exécutif apprend que le Conseil constitutionnel ne pourra, faute de temps, donner son avis sur la prolongation de l'état d'urgence sanitaire. Et sans avis, il ne peut pas y avoir de promulgation de la loi. Et sans promulgation, il ne peut pas y avoir de déconfinement le lundi 11 au matin. Dans ce contexte, le Premier ministre envisage alors de le décaler de 24h. Mais finalement, un compromis a été trouvé. Un décret est publié le soir même et le déconfinement ne sera finalement pas reporté.

Le mea culpa d'Emmanuel Macron face aux soignants de la Pitié Salpêtrière

Le mea culpa d'Emmanuel Macron face aux soignants de la Pitié Salpêtrière

En visite à l'hôpital parisien de la Pitié Salpêtrière, Emmanuel Macron a insisté qu'il fallait "mettre fin" à la "paupérisation" des personnels soignants et a reconnu une "erreur" sur la réforme du système de santé engagée il y a deux ans. "On a sans doute fait une erreur dans la stratégie annoncée" car elle ne "portait pas assez de sens" et avait une "ampleur" et un rapport au temps "pas du tout suffisants compte tenu de l'état où était l'hôpital", a-t-il affirmé. "J'étais convaincu qu'on était en train de changer les choses" et "c'est très cruel pour moi-même", a-t-il ajouté, jugeant que "c'était une super stratégie mais à faire dix ans plus tôt". Mais "je n'ai pas envie non plus qu'on revienne à l'étape d'avant", a-t-il ajouté. C'est pourquoi "oui, on va investir", a promis Emmanuel Macron qui a affirmé avoir "demandé au ministre un travail express" sur le sujet. "C'est un investissement et pas une dépense", a-t-il estimé.

Municipales: une étude conclut que le premier tour n'a pas "accéléré" la propagation du coronavirus

Municipales: une étude conclut que le premier tour n'a pas "accéléré" la propagation du coronavirus

Une étude publiée par Le Monde et menée par des épidémiologistes et statisticiens conclut que la tenue du premier tour, le 15 mars dernier, n’a pas accéléré statistiquement la circulation du virus. "Elle ne dit pas qu'il n'y a pas eu de nouvelles contaminations qui aurait pu être évitables pendant le vote (...) Mais elles n'ont pas contribué à accélérer l'épidémie", précise l'épidémiologiste Pascal Crépey sur BFMTV ce vendredi.